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Stellaris : le Guide du Conquérant Galactique

Nicaulas par Nicaulas,  email  @nicaulasfactor
Développeur / Editeur : Paradox Paradox interactive
Support : PC
On vous avait déjà parlé du mode de fonctionnement de Paradox lorsqu’on avait évoqué, avec beaucoup de retard, Crusader Kings 2 : un moteur maison réutilisé dans tous les jeux du studio (le Clausewitz Engine), chaque jeu se concentre sur une période historique et une zone géographique spécifiques, chaque aspect de la stratégie est simplifié ou au contraire densifié selon le contexte (la diplomatie pour Crusader Kings, la stratégie militaire pour Hearts of Iron, un peu de tout pour Europa Universalis…), et les jeux les plus populaires sont transformés en vaches à lait par l’intermédiaire d’une usine à DLC. Sauf que leur dernière production change radicalement la donne : Stellaris se déroule dans le futur, et à l’échelle de la galaxie. Forts de ce surplus de liberté, les suédois tentent de nous livrer leur jeu de stratégie ultime.
 
Dans Stellaris, on contrôle une civilisation maîtrisant le voyage spatial et cherchant à s’étendre à travers la galaxie, en développant son économie et ses forces militaires. Forcément, on va y croiser tout un tas d’autres bestioles plus ou moins amicales et se créer un espace diplomatique en conséquence.

So say we all

La première bonne surprise vient du créateur de civilisation en début de partie, qui emprunte beaucoup au créateur de personnage de Crusader Kings 2 en ce sens qu’on y choisit des attributs cosmétiques, mais également des traits culturels et un mode de gouvernance politique. Il est certes possible de sauter l’étape et de se contenter d’un pre-set prévu par les développeurs, mais outre l’aspect comique inhérent à la génération de personnages (comme créer une civilisation de Cthulhus de l’espace), ce serait se passer d’un élément de gameplay impactant la physionomie de toute votre partie. En effet, là où les traits de caractères disparaissaient à la mort de votre personnage dans Crusader Kings 2, ceux-ci étant liés à l’éducation de votre héritier et non à la génétique, les us et coutumes civilisationnels définis en début de partie de Stellaris persisteront bien plus longtemps, et ne seront modifiés que marginalement et très lentement au fur et à mesure de votre expansion (les colons des planètes colonisées pouvant développer des traits de caractères qui leurs sont propres). Il est certes possible de modifier le fonctionnement de votre empire de façon plus profonde, mais cela passera par des prises de décisions lourdes de conséquences qui mettront votre avenir en péril. On ne transforme pas des chefs de guerre esclavagistes en scientifiques hippies en un tour de main.



Une fois nos choix arrêtés, on se lance pour de vrai dans la partie, et on retombe très vite sur nos pattes, pour peu qu’on ait déjà posé un jour ses mains sur un jeu Paradox. Pour d’évidentes raisons pratiques, Stellaris s’accommode un peu de la réalité et propose des galaxies exclusivement planes, afin d’avoir une carte en 2D se manipulant facilement. Deux niveaux de cartes s’entremêlent : la carte galactique, qui va représenter… bah la galaxie dans son ensemble, et les cartes de systèmes, qui s’ouvrent quand on clique sur une étoile et permettent d’afficher les planètes orbitant autour de celles-ci. Même si à l’usage on s’aperçoit très vite que c’est sur la carte galactique qu’on passera le plus clair de notre temps, le niveau de zoom au sein des systèmes permet de faire de jolis screenshots de bagarres spatiales sur fond de grosses naines bleues. Mais c’est surtout l’interface qui rappelle des souvenirs, avec des menus accessibles en un clic et l’alternance clic gauche et clic droit pour les différentes actions. Une interface peaufinée au fil des jeux  précédents. C’est simple, accessible, efficace. Même si vous n’êtes pas familier avec Paradox ou même la stratégie en général, pas de panique : pour la première fois dans l’histoire du studio, le tutoriel est excellent, et surtout complet.

Vive l’Imperium !

Une aide bienvenue, tant il y a de choses à faire dans Stellaris. Comme souvent en stratégie, le cœur du jeu réside dans l’équilibre des ressources, qui sont ici les crédits énergétiques et les minéraux. Pour en obtenir, deux possibilités : construire des stations de minage en orbite autour des planètes, lunes et asteroides présentes à l’intérieur de nos frontières, ou alors construire des bâtiments de production sur les planètes colonisées. Ce qui permet de mettre en évidence l’intrication entre l’expansion territoriale et l’expansion économique : pour obtenir plus de ressources, il faut avoir accès aux planètes qui en possèdent ou bien qui sont colonisables, et donc s’étendre géographiquement sous peine de voir son économie végéter. La rythmique du gameplay devient alors évidente : on dépense des ressources pour étendre ses frontières, puis on reconstitue les stocks grâce aux ressources nouvellement accessibles, et c’est reparti pour un tour… Jusqu’à ce que l’ensemble de la galaxie bosse pour nous.



La base de Stellaris est donc enfantine et répétitive, mais le jeu surprend par le nombre et la variété des éléments venant impacter son déroulement, certains étant ouvertement inspirés des 4X. Tout détailler par le menu serait absurde : on trouve pêle-mêle un volet diplomatique synthétisant vos relations avec les autres empires galactiques (alliances, accords commerciaux, déclaration de guerre…), un module de création de vaisseaux, une liste de quêtes annexes, différents projets de recherche scientifique pour améliorer tout un tas d’aspect de son empire, des ressources rares débloquant des bâtiments spécifiques, un gestionnaire de flotte, un gestionnaire de planète, un système de leaders à recruter, des changements périodiques de politiques internes, de la gestion de populations autochtones, et ainsi de suite. Sur le papier, on est donc face à un jeu complet qui multiplie les éléments de gameplay interconnectés, au point que les toutes premières heures de jeu sont égayées de « Ah, on peut faire ça aussi ?! »

C’est beau parce que c’est loin

C’est d’autant plus intéressant que chaque élément apporte logiquement et efficacement sa pierre à l’édifice, avec toujours en toile de fond ce mouvement de va et vient entre expansion et stabilisation. Par exemple, pour gérer l’absurdité d’un empire colossal aux dimensions galactiques qui serait laissé aux mains d’une seule personne, Paradox a repris les grandes lignes du système féodal de Crusader Kings 2, à savoir des limites maximales de possessions en propre. Au bout de, par exemple, cinq planètes sous votre joug direct, toute colonisation supplémentaire entraînera un malus de production, le jeu vous proposant alors de découper votre empire en « secteurs » partiellement autonomes. A l’instar d’un duc vassal du roi, les systèmes vous appartiennent et payent leurs tributs en ressources mais vous perdez le contrôle direct des planètes et stations qui s’y trouvent. A vous de répartir correctement  vos possessions entre les secteurs, car si ces derniers n’ont pas suffisamment de ressources à l’intérieur de leurs frontières, ils péricliteront. Il faut alors réfléchir au coût marginal de l’expansion, c’est-à-dire se poser la question « Combien me coûtera cette colonisation supplémentaire ? ».
 

Pourtant, malgré cette richesse apparente, Stellaris n’est pas aussi subtil qu’on le souhaiterait. A bien des égards, le jeu évoque un ancêtre méconnu, Superpower 2. Cette honorable simulation géopolitique (qui va sur ses 12 ans, je me sens si vieux tout à coup) commençait par perdre ses joueurs dans un dédale de tableaux et de graphiques, mais au bout de quelques heures de manipulation on en maîtrisait sans peine les rouages. Au point de faire craquer le réalisme voulu par les développeurs : un peu de patience suffisait à faire de la Somalie un empire mondial. Sans être aussi absurde et offrant plus de résistance aux joueurs, Stellaris souffre des mêmes tares : une fois passée la découverte de tout ce qu’il y a à faire, on s’aperçoit que le jeu manque de subtilité et de profondeur, les mêmes actions se répétant en boucle à l’infini, la richesse entrevue laissant place à la circonspection. Toutes les races possèdent les même technologies, la diplomatie, la politique et la culture sont au service de la conquête militaire qui est le seul critère de victoire... Si on le compare à d’autres productions similaires, il fait même pâle figure. En restant chez Paradox, le strategos tatillon à la recherche de challenge lui préfèrera largement Europa Universalis. Ailleurs, la variété d'approches et de tactiques valables (culture, technologie, diplomatie...) d'un Civilization offre bien plus de possibilités.

5ème loi de la robotique : les robots ont le droit d'être aussi cons que les humains

Dans la liste des regrets, impossible de ne pas mentionner l'IA, qu'on qualifiera poliment d'intellectuellement déficiente. Les civilisations ennemies, bien que globalement cohérentes avec elles-mêmes (les belliqueux se montrent plus agressifs, etc.) prennent parfois des décisions surprenantes à votre égard. Vouloir castagner la galaxie entière comme le premier Mandalorien venu, pourquoi pas, mais quand on est une petite étoile miséreuse encerclée par un empire aux ressources militaires incomparables, est-ce qu'on ne devrait pas la jouer profil bas ? Plus embêtant, c'est l'IA alliée qui risque de vous jouer des tours. Dans le cas des secteurs mentionnés plus haut, leur création signifie confier la gestion des planètes concernées à l'IA. Or, celle-ci n'est pas des plus efficace dans son management des ressources, et a tendance à faire un peu n'importe quoi. On peut contourner le problème en ne fournissant aux secteurs que des planètes remplies à ras-bord, mais c'est un peu dommage de se retrouver confronté à ce genre de problèmes dans une feature se trouvant au coeur du jeu.



Malgré cela, on passe volontiers de longues heures en jeu. Parce qu’il est joli et titille nos fantasmes d’exploration spatiale. Parce qu’il évoque en creux tout un pan de notre culture, d’Asimov à Battlestar Galactica en passant par toutes les œuvres ayant les étoiles pour toile de fond. Parce que des compositions musicales tout à fait dans le ton (bien qu’un poil répétitives avec 2 heures de musique pour des dizaines d'heures de jeu) viennent appuyer tout ça. Et surtout, parce que si Stellaris manque de subtilité, il réussit l’exploit de n’être jamais chiant : il y a toujours quelques chose à faire et les tâches s’enchaînent sur un rythme maîtrisé et entêtant. Comme dans d’autres jeux du genre, la phrase qu’on prononce le plus dans Stellaris est « Allez, je finis ça et je quitte. » 
A défaut d’être le jeu de stratégie ultime qu’on espérait, Stellaris réussit tout de même à exporter dans l’espace et avec succès les principes de Crusader Kings 2, en remplaçant les complots infanticides par une gestion économique et militaire un peu plus poussée. Le jeu évoque beaucoup Superpower 2, en ce sens qu’on atteint rapidement les limites du gameplay, mais qu’on ne se lasse jamais et que le tout s’avère épouvantablement chronophage. A noter également que le suivi du jeu est pour l'instant très intéressant et prometteur.

SCREENSHOTS

 

Commentaires

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neirim
 
Excellent test !

Petite question, tu dis que le jeux est répétitif, mais que ça passe, par rapport à endless space +/- ? Avec ce dernier un endgame et puis c'est bon, changé de race, n'apporte pas tant de différence que ça et il faut rusher la même chose jusqu'au premier contact avec son voisin, après il peut y avoir des différences, mais ça reste léger.
Nicaulas
 
Je dois avouer (honteusement) que je n'ai jamais joué à Endless Space, même s'il est sur ma wishlist. Sur ce que tu décris, ça me semble assez proche.
Fougère
 
Le fait que l'EM Drive marche et nous permet d'envisager l'exploration du système solaire, on en parle ou pas ?
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Tribune

Samax
(21h33) Samax kirk.roundhouse > Ok merci ! Parfait, ça pourra me servir pur mon installation de Jellyfin :)
kirk.roundhouse
(20h54) kirk.roundhouse Ou alors assigner matériellement des disques de stockage à une VM qui va servir de support pour un OS NAS, et faire des pool ZFS
kirk.roundhouse
(20h52) kirk.roundhouse Samax > le passthrough c'est le fait d'assigner matériellement un périphérique à une VM pour qu'elle l'utilise comme sur un système bare metal. C'est pratique par exemple pour assigner une CG à une VM qui ferait du transcodage, du calcul tensor ou cuda
CBL
(20h30) CBL wizzim > le pire c'est qu'Nvidia pourrait écrire un wrapper 32 bit -> 64 bit.
Samax
(20h24) Samax skör > Quand tu parles de passthrough, c'est en opposition avec LXC j'imagine ? Bon je vais me renseigner sur le sujet en tout cas.
Samax
(20h23) Samax CBL > kirk.roundhouse > BeatKitano > skör > Merci pour les infos :) Je vais privilégier Debian alors. Etpour arch j'ai des mauvais souvenirs avec pacman donc je préfère une distro avec apt en effet
wizzim
(18h31) wizzim La conservation du jeu vidéo, c'est vraiment pas ça...
wizzim
(18h30) wizzim Vidéo intéressante sur NVidia qui "abandonne" PhysX: [youtube.com]
Wednesday 12 March 2025
skör
(19h44) skör Samax > Tout est dit :) LXC c'est top. J'utilise également Debian dessus avec 5go de disque pour des petits services. Proxmox gère très bien le Passthrough aussi.
Laurent
(18h31) Laurent (18h07) merci pour ton oeil affuté
BeatKitano
(18h10) BeatKitano toof > "Moraleees, moraaaleeeeesEUH"
toof
(18h07) toof Frostis : «  voirE le premier » (désolé je suis relou et je vais pas faire un commentaire à chaque fois :)
BeatKitano
(17h29) BeatKitano Sinon oui pour un particulier c'est pas un mauvais moyen. Mais si ça merde, faut pas mettre ça sur le dos de la distro nécessairement.
BeatKitano
(17h28) BeatKitano CBL > Heu... quand ça couille pas totalement le montage des disques parce que le kernel aime pas WSL (j'ai déjà eu le cas de disques qui dégageaient sans raison au bout de X minutes)
CBL
(17h22) CBL A noter que le meilleur moyen de tester une distro Linux pour serveur est d'utiliser WSL
BeatKitano
(17h07) BeatKitano (je parle de arch). Pour le reste ouais, en headless du moment que ça fait tourner ce que tu veux et que les updates sécu sont serieuses, ça n'a pas d'importance.
BeatKitano
(17h06) BeatKitano CBL > (16h21) Ouais enfin les rolling release c'est pas franchement une super idée pour un serveur qui fait juste tourner quelques services en local.
kirk.roundhouse
(16h50) kirk.roundhouse Samax > (14h28) les repo essentiellement. S'il n'y a pas un paquet dans les repo Debian, il est souvent dispo sur Ubuntu. Je préfère ça que d'installer les paquets à la main, ou ajouter des repo "officieux". Et je priorise Debian.
CBL
(16h24) CBL Alors que Node est un binaire tout con sans la moindre dépendance
CBL
(16h24) CBL La seule distro qui m'a fait des misères est RHEL. Impossible de mettre à jour Node sans changer de version majeure de RHEL
CBL
(16h22) CBL J'utilisais pas mal Ubuntu mais vu que je déploie sur AWS, je suis passé sur la distro d'Amazon
CBL
(16h21) CBL Pour avoir essayé pas mal de distros côté serveur, y'a finalement pas des masses de différences mis à part le gestionnaire de paquets
Samax
(15h36) Samax BeatKitano > Ok merci, c'est parfaitement clair. Je vais partir sur du Debian alors
BeatKitano
(14h33) BeatKitano Debian me semble être un choix bien plus sage.
BeatKitano
(14h32) BeatKitano Je fais actuellement tourner un de mes nas sur arch (parce que j'avais que ça sous la main et que j'avais pas envie de me prendre la tête) mais j'oublie de faire les majs de temps en temps et je recommande pas.
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Du coup faut assurer la maintenance et en headless ça peut vite devenir chiant quand t'as des interventions manuelles a faire [wiki.archlinux.org]
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Samax > Un bureau tu le mets a jour régulièrement pour diverses raisons. Un serveur headless tu veux un truc stable et tu vas pas installer des tas de trucs souvent (du moins un serveur arr).
Samax
(14h28) Samax Et quelle est la différence concrète entre Ubuntu et Debian pour du headless? Ubuntu est basée sur debian donc ça doit être peu ou prou la même chose non?
Samax
(14h27) Samax BeatKitano > Ok merci pour la précision. Mais pourquoi c'est pas la plus adaptée exactement?
Samax
(14h26) Samax kirk.roundhouse > Nickel merci pour les infos !
BeatKitano
(14h23) BeatKitano Samax > Pas du arch pour un serveur en tout cas. J'adore la distro mais c'est pas la plus indiquée pour un serveur arr*
kirk.roundhouse
(14h20) kirk.roundhouse Et j'en crée sur base Arch, Ubuntu et Debian, selon mes besoins.
kirk.roundhouse
(14h18) kirk.roundhouse Samax > avec proxmox tu as la possibilité de créer des conteneurs LXC. Je n'utilise que ça en headless : [pve.proxmox.com]
Samax
(13h52) Samax skör > kirk-roundhouse m'a conseillé ça aussi, du coup je pense que je vais tenter, mais tu conseillerais quoi comme distro linux pour du headless (essentiellement pour faire tourner des serveurs pour mon réseau local)?
skör
(08h54) skör Dragonir > Proxmox depuis quelques années. Ca marche très bien
Tuesday 11 March 2025
Zaza le Nounours
(23h41) Zaza le Nounours Nicouse > si t'as envie de tester Linux en condition réelles, plutôt que de te faire chier avec des VM, trouve-toi un petit SSD sacrificiel et installe l'OS dessus.
kirk.roundhouse
(22h57) kirk.roundhouse Dragonir > Nutanix et proxmox
Nicouse
(22h46) Nicouse (22h13) kirk.roundhouse > possiblement, mais c'est d'abord mon ignorance de linux qui est prépondérante :-D
Dragonir
(22h35) Dragonir Tiens en parlant d'hyperviseur, vous les migrés vers quoi vos environnements VSphere d'entreprise ?
kirk.roundhouse
(22h13) kirk.roundhouse Nicouse > peut être. Mais peut être aussi que les problèmes que tu rencontres sont essentiellement dûs à l'hyperviseur que tu utilises.
Nicouse
(22h02) Nicouse kirk.roundhouse > (17h27) c'est juste pour tester avant de déployer sur un vrai pc (ou pas). Je vais pas m'emmerder à installer l'hyperviseur de W10.
LeGreg
(19h58) LeGreg MacOS -> limité à un seul vendeur de hardware. Windows -> coût des licenses et moins d'open source. Linux -> un sacré bordel mais gratuit et souvent open source. Android -> limité en dehors du support tablette/téléphone, écosystème google.
LeGreg
(19h54) LeGreg Mais c'est comme partout, on a dix solutions imparfaites et il faut faire son choix selon ce qui sera un point bloquant ou pas.
LeGreg
(19h53) LeGreg Si la gratuité et/ou l'open source est le critère principal, alors il n'y a pas d'alternative ou très peu (OSes plus obscurs et sans doute avec un support moindre).
LeGreg
(19h52) LeGreg Alors oui, c'est gratuit (pas de licence par machine), c'est flexible et le support hardware est suffisant (ou atteint la barre minimale au niveau hardware) pour que ça puisse être utilisé par une grande partie de l'industrie.
LeGreg
(19h49) LeGreg Dans mon expérience, les points mis en avant par les développeurs Linux sont souvent des points qui n'ont que peu d'intérêt ou sont au détriment de l'utilisateur final et aussi souvent des développeurs d'applications.
Alroc
(18h33) Alroc Portage GO de typescript : [x.com]
kirk.roundhouse
(17h27) kirk.roundhouse Faut utiliser un hyperviseur KVM si vous voulez faire tourner correctement des VM linux. Des VM tout court aussi d'ailleurs. Et pas cette cochonnerie de virtualbox.
Zaza le Nounours
(07h25) Zaza le Nounours Et c'est aussi pour ça du coup que si on fait que jouer sur son PC, les 9900X3D et 9950X3D ne servent littéralement à rien, puisque dans tous les cas on les utilisera qu'à moitié.
Zaza le Nounours
(07h24) Zaza le Nounours Et pour faire ça, ça passe par l'installation de la Xbox Game Bar, qui "optimise" le bordel en coupant le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(07h23) Zaza le Nounours Nicouse > le 9800 a qu'un seul CCD, alors que les 9900 et 9950 en ont deux, mais le Vcache est posé que que sur un seul des deux. Donc faut s'assurer que les jeux utilisent le CCD avec Vcache pour en tirer parti.
BeatKitano
(04h55) BeatKitano Et pour les drivers cpu: pas exactement vrai, y’a toujours le microcode à update. Sous arch c’est géré automatiquement à chaque update système.
BeatKitano
(04h52) BeatKitano J’ai toujours eu des merdes avec Linux +enviro de bureau sous les VMs (fenêtres lentes, bugs de store) des fois installer les pilotes hôte aident mais ça sera jamais aussi fiable que bare metal.
Nicouse
(00h14) Nicouse Et me vlà maintenant avec Arch...je viens de finir l'install sur ma VM à partir de l'iso. J'ai pu télécharger des packages durant l'install... et v'là que maintenant rebooté sous l'os installé, j'ai plus de réseau. 'tin c'est l'apprentissage the hard way.
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h51) merci CBL
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h25) lapin compris le CCD avec le Vcache :-o
Nicouse
(00h13) Nicouse merci, j'avais oublié l'existence du noyau et que les drivers cpu/chipset étaient dedans. J'ai dû lire ça... un jour...
CBL
(00h05) CBL (Juste t'assurer que ton noyau est à jour)
CBL
(00h04) CBL (c'est directement dans le noyau donc tu n'as rien à télécharger)
Monday 10 March 2025
CBL
(23h51) CBL Internet me dit que le support a été ajouté avec Linux 6.9 et amélioré avec Linux 6.13
CBL
(23h47) CBL Zaza le Nounours > Y'a bien des pilotes pour un CPU histoire d' en tirer partie
Zaza le Nounours
(23h26) Zaza le Nounours En gros : "it just works" (en théorie). Et de toute façon, t'auras bien d'autres prises de tête à venir.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours *parquer le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours Nicouse > y a pas vraiment de drivers pour les CPU. Et comme c'est "que" un 9800X3D, t'as même pas à te prendre la tête avec les histoires de Xbox Gamebar pour parsuer le CCD qui n'a pas de
Nicouse
(22h46) Nicouse Petite question en passant: je vais recevoir une config plutôt récente genre chipset AMD B650E avec un 9800X3D. Sur Amd.com je vois bien les pilotes pour windows, rien pour linux. Comment je sais que linux va tirer parti de mon matos ?
Nicouse
(22h45) Nicouse Vivement que je lance la VM d'Arch, ça va être la fête du slip...
Nicouse
(22h44) Nicouse Là je me suis dit, putain c'est pas gagné.
Nicouse
(22h43) Nicouse Au final, je m'aperçois au bout d'une grosse demi-heure, sans doute bien plus, qu'en fait ce con de synaptics avait conservé comme source de paquets l'iso d'install (cdrom). Il n'allait jamais chercher sur le net. Ce CON....
Nicouse
(22h42) Nicouse Toujours pas de paquet steam de trouvé. Je me dis, c'est pas possible il doit pas avoir accès au net ce con à travers la vbox. Mais non, je lance FF et me balade sur youtube.
Nicouse
(22h41) Nicouse Je me résous à regarder sur le net, je trouve même un tuto sur la v.12.9. Rien n'y fait..
Nicouse
(22h40) Nicouse Alors y'en a des évidents à éliminer, genre les langues. J'en essaie un ou deux.. je reboote, rien. J'insiste pas, ça me gonfle. Rien n'est évident. Je repasse à steam.
Nicouse
(22h39) Nicouse Je me dis bon je vais plutôt regarder pour le DE, on verra pour steam ensuite... et là le drame aussi (moins mais bon). Dans Synaptics, tu tapes KDE et là t'as trouze mille packages qui sortent.
Nicouse
(22h38) Nicouse Je me fous dans la ligne de commande, apt search blabla, apt update, apt upgrade, toujours pas de paquet steam.
Nicouse
(22h38) Nicouse je file dans Synaptics, je trouve pas le paquet steam.
Nicouse
(22h37) Nicouse Debian 12.9, je tente Xfce. En effet c'est minimaliste mais à la limite je n'ai jamais été à fond dans l'eye-candy. Cela dit j'aimerai bien installer un autre DE type KDE pour voir, et surtout tester Steam. Et là, c'est le drame.
Nicouse
(22h36) Nicouse Bon les deux Fedora, j'imagine que ça n'aime pas trop Vbox: la version xfce n'a jamais booté l'install, la version Wkstation plante au reboot d'install. Verdict: poubelle
Nicouse
(22h35) Nicouse Me voilà avec Debian 12.9, Fedora Wk 41, Fedora Wk 41 mais sous Xfce et enfin Arch.
Nicouse
(22h34) Nicouse Anecdote d'hier soir... je teste plusieurs distributions sous VirtualBox en prévision de mon futur PC qui est en transit.
Nicouse
(22h34) Nicouse Sinon...pour revenir à Linux, je plussoie quasiment 100% des posts de CBL. La diversité de Linux n'excuse pas l'herméticité.
Nicouse
(22h33) Nicouse C'est aussi ce qui fait que les US gardent toujours la main sur leurs matériels de guerre. Enfin la France aussi a sa propre régulation, la CIEEMG, mais a priori plus light.
Nicouse
(22h32) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse Pour ceux qui se posaient des questions sur le F35, n'oublions pas ITAR
Le vertueux
(22h10) Le vertueux ahhhh je ne sais pas...
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Ou alors que JE sois Robocop ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Non attends, est-ce que je ne préfèrerais pas vivre dans un monde où il existe réellement ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Je suis vraiment content de vivre dans un monde où Robocop a été inventé.
Le vertueux
(19h52) Le vertueux Ça rame bien fort et l'image n'est pas très belle sur ma 2080 ti mais ça reste malgré tout une meilleur expérience qu'en 2d. Je suis content d'être robuste et d'avoir une bonne vue pour ne pas souffrir de motion sickness.
Le vertueux
(19h51) Le vertueux Mon bug dans robocop VR venait du fait que je laissais mon pouce reposé sur un des capteurs du contrôleur -_-
BeatKitano
(19h30) BeatKitano Alroc > Ouais enfin méluche il est pote avec putin aussi apparemment donc bon...
Alroc
(19h08) Alroc si vous vous demandez comment aider, ben je sais pas :/
Alroc
(19h07) Alroc BeatKitano > Twitter est KO a cause d'une attaque cyber
Alroc
(19h05) Alroc BeatKitano > il a aussi chier sur les américains depuis le début. et l'autre homme politique qui fait la meme chose depuis plus de 20 ans c'est méluche, voila c'est dit !
BeatKitano
(18h28) BeatKitano Toujours pas.
Gurvy
(18h27) Gurvy [x.com]
Gurvy
(18h27) Gurvy Mais quelle triste nouvelle… [x.com]
BeatKitano
(18h22) BeatKitano (et avoir viré les américains du sol français mais bon ça tout le monde le rabache)
BeatKitano
(18h22) BeatKitano kirk.roundhouse > Ça doit être a peu près le seul point positif de tout ce que le type a fait: avoir conservé un semblant de souveraineté dans le materiel militaire.
kirk.roundhouse
(17h39) kirk.roundhouse Oui c'est la France, et pas n'importe laquelle, la France du Général De Gaulle.
Alroc
(17h10) Alroc C'est comme le lobbying tiens, quand au Zimbabwe on dit de la corruption mais quand c'est en France, ont dit du lobbying. Pas besoin de traduire les corrompu en justice si tu rends la corruption légale <3
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