Connexion
Pour récupérer votre compte, veuillez saisir votre adresse email. Vous allez recevoir un email contenant une adresse pour récupérer votre compte.
Inscription
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation du site et de nous vendre votre âme pour un euro symbolique. Amusez vous, mais pliez vous à la charte.

Un Rédacteur Factornews vous demande :

 
TEST

Kingdom Come: Deliverance II, audaces fortuna juvat !

Rozzo par Rozzo,  email
Développeur / Editeur : Warhorse Plaion
Supports : PC / PS5 / Xbox Series
À titre personnel, j’ai longtemps entretenu une relation d’amour/haine envers Kingdom Come: Deliverance premier du nom. Sorti en 2018 au terme d’une campagne Kickstarter très fructueuse, il avait réussi à tirer son épingle du jeu grâce à la radicalité de sa proposition : nous faire vivre le Moyen Âge, le vrai.

Ex nihilo nihil

À l’époque, j’étais parmi les premiers curieux à m’aventurer en terres de Bohême. KCD1 se présentait comme un jeu de rôle avec un système proche des Elders Scrolls dans son ADN, mais s’éloignant très vite de ce père spirituel à la faveur d’un portrait pragmatique du monde médiéval du XIVe siècle. La découverte de la destinée d’Henry de Skalice (le protagoniste que l’on campe) ainsi que la promesse d’immersion dans ce monde criant de réalisme avaient tout pour me plaire. Au début, ça a été le cas mais, peu à peu, le vernis s’est effacé face à un objet dont le poids était peut-être trop lourd pour Warhorse Studio, dont c’était la première œuvre. 



Contrairement à beaucoup de jeux de rôle qui vous font incarner un personnage dont l’héroïsme ne demande qu’à se révéler à l’univers avec votre aide, en tant que joueur, KCD1 lui, prenait le chemin inverse. Au début, vous n’étiez rien de plus qu’un réfugié, un mendiant. Diantre, on ne savait même pas lire ! Et peu à peu, on parvenait à conquérir ce confort-là, cette place dans une société violente et bourrée de principes. On commençait paysan incapable de tenir une lame et on le terminait chevalier en armure de plates sur une monture rutilante. 

Aurea mediocritas

Pourtant, cette grâce-là n'était destinée qu'aux joueurs les plus audacieux, mais surtout aux plus résilients. Parce qu’il fallait en avaler des vertes et des pas mûres pour en arriver là. Il fallait en bouffer, des bugs bloquants, des quêtes obscures, des marches à n’en plus finir dans les bois et des séances de gameplay lourdes. Si bien que le titre m’est tombé des mains, plus d’une fois. 

Il m’aura fallu la venue du deuxième opus pour m’auto-infliger un coup d’éperons et, dans une démarche de journalisme total, terminer le premier afin d’accueillir dignement le second. Et secrètement, j’espérais une forme de confirmation pour le studio qui lui offrirait la place qu’il mérite dans le cœur des joueurs. Autant dire que j’ai été servi. 

Veni, vidi, vici

Pourquoi une si longue introduction ? Parce que Kingdom Come: Deliverance II est une suite on ne peut plus directe du premier opus : il commence sur le même trajet à cheval qui clôt son prédécesseur. Après moult péripéties du premier qu’on va se garder de spoiler, Henry et son seigneur Hans Capon, un jeune noble bien égocentrique, se retrouvent porteurs d’un message pour un baron d’une région limitrophe à celle du premier jeu. Bien que le titre aime s’adonner au name-dropping de son lore « réaliste » (beaucoup des personnages ont « vraiment » existé), il n’y a finalement pas de grandes difficultés à comprendre les enjeux. 

Globalement, Henry a vu son village natal, Skalitz, rasé et ses parents abattus sous ses yeux, pris dans une guerre civile fratricide pour la couronne du royaume de Bohême entre deux rois potentiels. Dans le premier, ses objectifs étaient simples : récupérer l’épée de son père et venger ses semblables en tuant les responsables de son pillage. Dans le deuxième, son but reste le même, seulement sa position sociale, plus proche de la noblesse (en apparence), semble lui donner enfin les moyens de ses ambitions. 



C'est l’occasion de découvrir les efforts graphiques fournis par Warhorse depuis le premier titre. Tout y est plus fin, plus beau. Les décors naturels de la même manière que les villes sont bien plus riches et l’immersion n’en est que renforcée. Artistiquement, le jeu est une pure réussite qui en plus se permet de tourner comme un charme

Très vite, cette excursion qui s’annonçait comme une baladounette diplomatique part en vrille lorsque Henry, Hans, et leur escorte se font embusquer par des scélérats. Une mésaventure en entraînant une autre, le prologue d’une à deux heures fort bien réalisé au demeurant se termine avec mos deux protagonistes cloués au pilori, se prenant les tomates pas mûres d’une foule hargneuse. Et c’est au moment de notre libération que la tribulation commence vraiment : en loques, sans aucun équipement, au milieu d’un village qui nous déteste et dans une région éloignée. 



Si ce retour à la case départ aurait de quoi frustrer de prime abord, les afficionados du premier titre ne peuvent que s’en rassurer, car c’est dans cette position-là que le jeu est à son meilleur. Parce que sous ses airs de « Skyrim réaliste », Kingdom Come cache bien son genre, à savoir celui de l’Immersive sim. 

Sic itur ad astra

Si Henry possède un passé et une personnalité qui lui sont propres, c’est à vous de choisir comment parvenir à vos moyens. Prenons le début de jeu par exemple. Allez-vous œuvrer pour le forgeron d’un village limitrophe et marteler des fers à cheval pendant quelques jours le temps d’avoir assez d’argent pour avoir un peu de matériel ? Ou bien allez-vous travailler pour le meunier et porter des sacs de farine ? Allez-vous prendre le raccourci du larcin et vous faufiler dans la maison du bailli pour y voler l’équipement d’un garde ? Et pourquoi ne pas braconner finalement ? Cette multiplicité des approches est servie par les piliers de gameplay que sont l'exploration, le combat, l'nfiltration, et des relations sociales très solides. Passons-les en revue. 

Comme dans le premier opus, le jeu fait la part belle à la découverte. Là où le premier titre n’offrait que des petits villages et châteaux, ici, la carte est deux fois plus grande. Si les environnements sont magnifiques, mais peu variés (véracité historique oblige), chaque bourgade possède sa personnalité et Warhorse s’est même autorisé à nous faire évoluer dans une vraie ville médiévale. On va donc battre la campagne à pied, accompagné de notre chien (qui était présent en DLC dans le premier) et de notre fidèle destrier.

Les combats sont désormais bien plus dynamiques. On passe de six directions offensives à quatre, ce qui permet de se concentrer sur le rythme des parades et contre-attaques plus facilement. Avec un peu de maîtrise, on arrive à injecter quelques combos bien sentis, on se replace mieux, et on apprend quand frapper juste. S’il ne plaît pas à tout le monde, la réponse que ce système apporte au sempiternel débat sur le manque d’intérêt du combat au corps à corps en vue FPS m'a conquis. 



L’infiltration est bien plus tolérante que dans le premier jeu. On parvient plus facilement, avec le bon équipement (des vêtements sombres, qui ne sortent pas de l’ordinaire) à se faufiler et à exécuter nos basses œuvres. Attention toutefois car le dispositif judiciaire a lui aussi connu une nette amélioration. Si un villageois vous voit rôder autour de chez lui, il ira faire le tour de ses possessions et, si une chose vient à lui manquer, il n’omettra pas d’aller prévenir la garde. Entre la fortune et le gibet, il n’y a qu’un pas. Comme dans le premier titre, l’excellence s’acquiert par la répétition et chaque acte donne au joueur de l’expérience dans des statistiques et compétences nombreuses, qui permettent ensuite d’acheter des habiletés particulières. Cette fois, tout semble utile et on se prend à hésiter avant de choisir où investir cette précieuse expérience. 



Jeu de rôle oblige, les dialogues sont prépondérants et occupent une grande place pendant toute l’aventure. Un système de réputation va influer sur comment les gens vous perçoivent et votre manière d’interagir avec eux ne laisse rien au hasard. Vous ne vous êtes pas lavé depuis deux jours ? Les foules vous le diront. Essayez d’être un peu propre enfin ! Vous allez pouvoir puiser dans vos compétences lors des discussions. Mais attention, ce n’est pas parce qu’une option est présente que c’est obligatoirement la bonne réplique à articuler. Par exemple, certaines choix de dialogue à des moments importants peuvent être des allers simples pour le gibet. Game over.

Carpe diem

Cette liberté d’approcher l’espace de jeu comme on l’entend était déjà une force dans le premier titre et elle s’exprime encore mieux dans le deuxième. Toutefois, il faut être prêt à souffrir, car le gameplay reste exigeant, parfois un peu abstrait, et le système de sauvegarde hérité du premier qui a fait couler tant d’encre est toujours présent. Globalement, elle s’effectue de trois manières : en buvant une boisson spécifique nommée "Schnaps", en dormant et lors de moments majeurs dans les quêtes. Ici, le syndrome de la recharge de sauvegarde à outrance n’a pas sa place. Si ce choix a de quoi dérouter, il donne de l’importance à chaque instant, à chaque manœuvre, et rend tout plus intense. De plus, la présence plus régulière de Schnaps de sauvegarde fait que l’on se retrouve rarement en manque. Et dans le pire des cas, des mods existent pour ceux que ce système rebute.

Amor fati

Si le prologue explique les bases des contrôles, du combat et de l’infiltration, les premières heures libres dans le monde ouvert nous guident grâce à des quêtes. Via celles-ci, on va apprendre à forger ses propres lames, à pratiquer l’alchimie, à crocheter des serrures, bref, à découvrir différents pans de l’expérience. Et là où le deuxième opus surpasse clairement son aîné, c’est sur la qualité d’écriture de ces mêmes quêtes. Un peu comme dans The Witcher 3 ou Cyberpunk 2077 (de belles références tout de même !), chaque mission va avoir droit à son petit twist, son personnage parfois grave, d'autre fois loufoque. Je me suis surpris à plus d’une occasion à en faire certaines, non pas pour la récompense promise, mais surtout pour voir comment celles-ci allaient finir. Et si l’humour est une affaire de goût, j’ai rarement autant ri dans un jeu, qui sait ricaner de lui-même et faire preuve d’une bouffonnerie souvent grasse, souvent très juste. 



Cette qualité d’écriture se retrouve également dans les quêtes principales, qui sont des segments n’ayant pas peur d’être linéaires pour se raconter. La mise en scène des cinématiques n’a pas à rougir face aux ténors du genre et certaines missions resteront dans les annales des grands RPG. Henry va rencontrer via celles-ci toute une galerie de personnages hauts en couleur qui servent à la fois à crédibiliser l’ancrage historique du jeu et à faire monter les enjeux de la lutte fratricide au cœur de l’histoire. Entre infiltration de châteaux, batailles rangées, sièges, fuites dans les bois, enquêtes dans les métropoles, il y a de quoi faire. Si, dans le premier titre, il pouvait sembler presque absent de sa propre histoire, ici Henry s’affirme et on s’attache vraiment à sa quête de vengeance. 

Errare humanum est

Porté à la fois par un monde immersif, un coeur de gameplay solide et une narration excellente, il est difficile, si l’on adhère à sa proposition, de ne pas être happé. Ce n’est qu’à l’usure, à force de jouer, que les fêlures se mettent à apparaître

Ces petits bugs, tout d’abord, propres aux open worlds, qui peu à peu nous frustrent. Un PNJ qui se prend un mur, une patrouille qui ne se déclenche pas. Le système de zones accessibles ou non qui fait des siennes. Parfois, on se retrouve à se faire virer sans sommation d’endroits que l’on ne souhaitait que traverser. On dort dans le mauvais lit, pour être réveillé par un garde à trois heures du matin qui veut nous coller une amende. Notre chien clippe à travers tout et rien et notre cheval semble déterminé à nous faire choir de selle.



Les doublages français, qui ont fait déjà couler beaucoup d’encre, finissent aussi par avoir raison de notre patience. C’est simple : KCD2 n’a pas du tout eu droit à un doublage à la hauteur de la qualité du reste du titre,  À l’exception des personnages principaux qui sonnent plutôt correctement, les voix des autres protagonistes semblent avoir été interprétées par des amateurs, sans mise en situation. Le point embêtant, c’est que beaucoup de dialogues importants se lancent en dehors des cinématiques avec des textes flottants et c’est un vrai confort de les entendre dans notre langue. Sur la version presse, seul le français était disponible, mais depuis la sortie du jeu, le joueur a le choix entre de bonnes voix dans un dialecte étranger, quitte à perdre une partie de la richesse du monde, ou des voix françaises ratées qui sonnent faux. Au moins, Warhorse serait déjà en train de rattraper cette version française calamiteuse. 

On pourrait également mentionner un inventaire simultanément clair et bordélique, des interactions pas toujours évidentes, ou encore un penchant pour la « baufferie » parfois un peu trop prononcé.



Mais son plus grand défaut, à mes yeux, était déjà celui de son prédécesseur, à savoir son équilibrage. Dans un jeu où la progression est si valorisante, la tâche de maintenir cette gratification sur toute la durée est dantesque. Comment créer une expérience qui satisfasse à la fois les joueurs qui vont se contenter de l’aventure principale et ceux qui vont faire beaucoup de contenu annexe ? Le jeu n’a pas la réponse. Après une cinquantaine d’heures, j’ai la meilleure épée, la meilleure armure, le meilleur cheval et finalement, il n’y a plus que l’écriture des quêtes qui me pousse à les faire. Cette sensation d’arriver au bout de la progression avant d’avoir terminé l’œuvre ne gâche pas tout, mais on en vient presqu'à regretter ces moments du début où l’on était dans la misère, où chaque petite victoire était une récompense en soi. 

Ce test est déjà bien trop long et pourtant j'ai le sentiment de n'avoir qu'effleuré la surface de ce que Kingdom Come: Deliverance II nous propose. J’aurais adoré vous spoiler certaines quêtes, vous raconter certaines mésaventures. J’aurais aimé vous mentionner le moindre minuscule détail qui enrichit et rend ce monde palpable, immersif, mais la bienséance m’oblige à rester en surface pour respecter votre temps et votre attention.

Mais alors, comment savoir si le jeu est fait pour vous ? 

Le jeu est fait pour vous si : 
  • vous êtes passionnés d’histoire médiévale, plus particulièrement du Saint Empire Romain Germanique au XIVe siècle ;
  • vous recherchez une expérience qui se veut authentique mais grand public de la vie de l’époque ;
  • vous aimez les balades bucoliques en forêt et la vue d'un cerf vous ravit ;
  • devenir un chevalier et manier l'épée est un fantasme de l’enfance inassouvi ;
  • vous avez envie de vivre une aventure palpitante à la croisée des contes chevaleresques et de Game of Thrones ;
  • les mots tels que “occire”, “séant”, “ribaude” vous font marrer ;
  • l’hygiène est une chose importante que vous voudriez voir retranscrite fidèlement dans une œuvre vidéoludique ;
  • avoir un chien qui vous répond au doigt et à l'œil est quelque chose que vous n’êtes pas parvenu à accomplir dans la vraie vie et le vivre par procuration vous enchante ;
  • vous avez aimé Crusader Kings 3 ;
  • avoir l’air d’un plouc pendant 30 heures de jeu pour survivre ne vous dérange pas (c’est vrai quoi, ce casque a l’air con, mais au moins vous mourrez en deux coups au lieu d'un).

Le jeu n’est pas fait pour vous si : 
  • l'époque féodale ne vous intéresse pas ;
  • vous aimez vous sentir puissant, tout de suite, là, maintenant ;
  • vous jouez aux jeux pour vous détendre, pas pour vous faire racketter par trois pelés les  quelques pièces que vous aviez péniblement gagnées après avoir tapé trois minutes sur un bout de métal ;
  • vous aimez être accompagné dans votre expérience de jeu et vous paniquez dès qu’on vous lâche la bride (foutu jeu, reprends-moi en main !) ;
  • gérer votre faim, votre soif, votre hygiène vous ennuie (c’est déjà chiant dans la vie, pourquoi s’emmerder dans un jeu ?) ;
  • les longs dialogues mal doublés vous rebutent (pourquoi le roi a une voix d'adolescent de 16 ans ?) ;
  • les jeux d’Europe de L’Est et leur manque de finition légendaire vous lassent (c’est bon quoi, vous venez de vous fader S.T.A.L.K.E.R. 2, c’est pas pour remettre la tête dedans !)
  • gérer un inventaire qui devient de plus en plus gros et lourd à manoeuvrer vous débecte ;
  • s’engager sur 60/120h de jeu vous lasse d’avance.

 
Dire que c’est globalement « le premier, mais en mieux » ne serait pas faire honneur au pas de géant qu’a réussi à accomplir Warhorse, tant la marche était haute à gravir. Une fois de plus, le studio nous livre un jeu radical, d’une ambition folle, même s'il ne plaira pas à tout le monde. La chance sourit aux audacieux, et aujourd’hui ils peuvent festoyer, car ils sont à la table des seigneurs.
 

Commentaires

Masquer les commentaires lus.
kakek
 
M'engager dans 50h de jeux minimum, et encore, pas en session trop courtes a cause du systeme de sauvegarde, et l'absence de tout élément fantastique, me rebutent beaucoup.
Mais en même temps, dans ce qu'il fait le titre a l'air d'une qualité folle.

Raaaah ... je sais pas.
Captain America
 
Merci pour le test.

C'est un peu pénible qu'ils aient conservé ce système de sauvegarde bancal (dans le premier, c'était compliqué d'obtenir ses premières bouteilles de schnapps...).
Ça se corrigera à coups de mods.

Pour le reste, c'est bien ce que j'attendais du titre. Du coup, je m'y collerais après avoir fini FF7 rebirth.
Ulf
 
Qui d'autre que moi a developpé une addiction à la forge, ses effets visuels et son rythme ?
Big Apple
 
Merci pour ce test détaillé, ça donne très envie même si à la base, je préfère le lore des univers d'heroic-fantasy.
D'une certaine manière, entre les personnages hauts en couleur, les dialogues de qualité et le "réalisme" des situations, j'ai l'impression que le jeu se rapproche plus dans l'esprit d'un RDR2 que d'un Elder Scroll.
XoBaR
 
Captain America a écrit :
C'est un peu pénible qu'ils aient conservé ce système de sauvegarde bancal (dans le premier, c'était compliqué d'obtenir ses premières bouteilles de schnapps...).
Ça se corrigera à coups de mods.


Un mod est dispo depuis le premier jour en fait : https://www.nexusmods.com/kingdomcomedeliverance2/mods/52
aelzhu
 
Merci pour ce test !

J'avais beaucoup aimé le premier opus mais certains points m'avaient donné du fil à retordre mais j'ai le plaisir de lire qu'ils ont été améliorés voire corrigés.
Je pense que je vais quand même attendre que la VF soit corrigée avant de me le procurer car dans un jeu aussi immersif, si les doublages sont médiocres ça va me sortir du jeu.
Laurent
 
Je suis content d'apprendre que la vf va être refaite, car en l'état actuel, les doublages de La Classe Américaine sont meilleurs.
Vous devez être connecté pour pouvoir participer à la discussion.
Cliquez ici pour vous connecter ou vous inscrire.
SLICE Les plus beaux screenshots de la communauté
Soutenez Factornews.com

Tribune

Le vertueux
(00h21) Le vertueux rEkOM > Y a plus qu'à construire des crt neuves maintenant...
Saturday 29 March 2025
rEkOM
(23h58) rEkOM Un adaptateur écran CRT et rasperry pour ses emuls
rEkOM
(23h57) rEkOM [rom-game.fr]
BeatKitano
(23h17) BeatKitano En tout cas la démo m'a convaincue de prendre le jeu complet et pour le moment je regrette pas. Les checkpoints sont généreux donc le process "meurt et tappe toi tout le niveau en rageant" est au minimum. Du coup je comprend ceux qui aiment.
BeatKitano
(23h16) BeatKitano Bon bah moi qui lache tous les souls-like au bout d'une heure je viens d'en passer trois sur First Berserker:Khazan et je suis tr-s surpris. Ça doit être super facile ou alors ça répond bien contrairement a tout ce que j'ai essayé jusqu'a présent.
Big Apple
(22h50) Big Apple Du coup, il va confirmer à Donald Trump qu'il n'y a pas de réchauffement climatique.
BeatKitano
(16h34) BeatKitano Aujourd'hui JD Vance a découvert qu'au Groenland... il fait froid.
BeatKitano
(16h09) BeatKitano C'est ce qui se passe quand ta définition de perenne c'est plus ou moins "des jeux jouables 5 ans"
choo.t
(16h08) choo.t Je capte pas comment dans sa conclusion il peu parler des consoles comme d'une base pérenne alors qu'on est sur une gen avec un refresh midgen, et que de toute façon, le hardware n'est pas plus pérenne qu'un PC…
thedan
(14h48) thedan A lire : [patreon.com]
Laurent
(11h38) Laurent Zaza le Nounours > Yep, j'ai vu ça juste après l'avoir postée et je l'ai changé
Zaza le Nounours
(10h01) Zaza le Nounours Laurent > t'as pas utilisé le bon format d'article pour la news sur The Precinct.
Friday 28 March 2025
BeatKitano
(18h51) BeatKitano Un film Zelda en live action... ok je vais me retenir de rire pour le moment.
BeatKitano
(15h30) BeatKitano Ok clarification: ça va pas changer vos fps mais ça risque de rendre le frame pacing bien plus agréable.
BeatKitano
(15h21) BeatKitano Je sens que certains vont réellement apprécier leur steamdeck sur des jeux plus anciens :D
BeatKitano
(15h20) BeatKitano Linux kernel 6.14 [i.imgur.com]
Thursday 27 March 2025
CBL
(05h57) CBL Y'a que deux univers où les US et le Canada se détestent : South Park et Fallout
CBL
(05h56) CBL Une grande partie des devs étant canadiens, ils doivent être bien remontés en ce moment contre leurs voisins
BeatKitano
(04h55) BeatKitano Oh Ubi tu remontes dans mon estime [imgur.com]
Monday 24 March 2025
Laurent
(15h53) Laurent rEkOM > stylée
rEkOM
(14h24) rEkOM Classe la console : [minimachines.net]
Sunday 23 March 2025
noir_desir
(15h19) noir_desir Je parlais du volet sur les salariés
BeatKitano
(15h18) BeatKitano Mais… c’est Jordan Raynal Ancel non ?
choo.t
(13h47) choo.t Je capte même pas pourquoi il parle du premier PoP aussi, je ne sais pas si il se rend compte que ce n'était pas un jeu français.
BeatKitano
(13h28) BeatKitano choo.t > (12h21) Voilà.
BeatKitano
(13h28) BeatKitano CNC pas CIC. Merci choo.t je me suis même pas rendu compte.
choo.t
(12h21) choo.t Et le fait de ne citer que des titres Ubi alors que le groupe est en galère financièrement, ce n'est pas anodin non plus.
choo.t
(12h14) choo.t En plus, le JV est déjà un peu dans cette "exeption culturelle française" vu qu'il peut recevoir du blé du CNC.
choo.t
(12h13) choo.t Et encore plus con, citer le fait que tel ou tel jeu a reçu un Pégase d'or pour signifier sa valeur à l'international, alors que le Pégase est une récompense spécifiquement Français uniquement pour les jeux français.
choo.t
(12h11) choo.t noir_desir > Je capte même pas ceux qu'il propose, "exception culturelle française" ce n'est pas une loi, c'est une expression.
BeatKitano
(11h36) BeatKitano Il aurait parlé de studios plus modestes j'aurais été plus réceptif.. mais là ça pue le clientelisme.
BeatKitano
(11h35) BeatKitano noir_desir > J'en pense que quand je vois la poignées de connards qui pompent les fonds du CIC pour nous pondres les mêmes petits films prétentieux et chiants... J'ai pas envie de financer ubisoft.
noir_desir
(11h32) noir_desir Sur le jeux vidéo
noir_desir
(11h32) noir_desir Que pensez vous de la tentatives de proposition de Rufin ?
noir_desir
(11h31) noir_desir [instagram.com]
BeatKitano
(10h41) BeatKitano Et tu peux définir quel stores.
choo.t
(10h40) choo.t et tu peux spécifié quand être notifié, genre quand le jeux est à > -60% etc.
choo.t
(10h39) choo.t Nicouse > Is there Any deal.
Nicouse
(10h07) Nicouse Et je n'ai fini que 30 jeux en 2024, la plupart de moins de 5h...vivement al retraite ahaha
Nicouse
(10h06) Nicouse Laurent > dont 80% de point & click :-D, mais il faut que je fase du ménage...
Nicouse
(10h06) Nicouse BeatKitano > Ah oui, merci !
Laurent
(09h56) Laurent Nicouse > sacré backlog
BeatKitano
(08h43) BeatKitano [gog.com]
Nicouse
(07h50) Nicouse J'aimerai acheter plus vers GOG mais j'ai +350 jeux en wishlist sur steam. Ça existe un soft ou un site qui permet d'avoir une wishlist commune avec les prix des différentes plateformes ? Gog Galaxy fait ça (j'ai rien vu sur le site) ?
Saturday 22 March 2025
BeatKitano
(18h54) BeatKitano Le remaster de system shock 2 a l'air propre. Mais perso ça a juste le cul entre deux chaises "fidèle propre" et "pas assez moderne, ça mérite un remake". [youtube.com]
toof
(12h45) toof BeatKitano > c’était plutôt côté design. Dans mon souvenir, Painkiller ça consiste à planter des prêtres sur les murs à coups de lance pieu
BeatKitano
(11h35) BeatKitano "Clickbait pour AI" n'était pas sur ma carte de bingo de l'année.
BeatKitano
(11h35) BeatKitano Dead Internet Theory step 133454: [arstechnica.com]
BeatKitano
(10h02) BeatKitano choo.t > Ça depend. C'est dev par Ankshar mais y'a saber derrière je serais pas étonné que ce soit leur moteur derrière et quake champions est une bonne base... :D
choo.t
(09h43) choo.t Le gros redflag, c'est que c'est un trailer console. Adieu le bunny hopping.
BeatKitano
(06h13) BeatKitano toof > je sais pas qui a voulu faire quoi parce que painkiller c’était bien le proto de doom eternal au fond.
BeatKitano
(06h11) BeatKitano Laurent > pour moi il tire pas donc difficile à dire.
Friday 21 March 2025
Le vertueux
(22h53) Le vertueux Si seulement on pouvait choisir son style de musique en mettant des mp3 dans des répertoires selon l'action.
toof
(22h01) toof On dirait qu'ils ont voulu faire du Doom
Laurent
(21h30) Laurent BeatKitano > même au ralenti, ça ressemble à une boule de feu
BeatKitano
(21h12) BeatKitano 0:45
BeatKitano
(21h12) BeatKitano Laurent > Et sinon t'as tort: 0/45
BeatKitano
(21h07) BeatKitano Laurent > Marrant moi c'est "C'est pas Adam Skorupa a la BO"...
Laurent
(21h04) Laurent BeatKitano > y-a pas de lance-pieux : 0/10
BeatKitano
(19h58) BeatKitano Nouveau painkiller [youtube.com]
BeatKitano
(19h26) BeatKitano Bye bye VBucks et autre monnaie de singe [ec.europa.eu]
Thursday 20 March 2025
Darkigo
(22h34) Darkigo Non mais c'est une blague ! On dirait un vieux mod pour tribes
Laurent
(21h40) Laurent (15h57) (21h20) Vous plaignez pas, le premier trailer était pire [youtube.com]
Darkigo
(21h20) Darkigo BeatKitano > non mais ce trailer de la honte !!
BeatKitano
(18h10) BeatKitano Ah oui, je comprends mieux pourquoi ils montré cette merde. La vraie merde est encore plus impressionnante [store.steampowered.com]
BeatKitano
(15h57) BeatKitano Wow Ark a toujours été un peu de la merde pour moi mais là on atteint des sommets de rien a foutre: Ark Aquatica le tr-AI-ler [youtube.com]
BeatKitano
(03h55) BeatKitano Le seul moment ou ça arrive c’est quand on a tous la fibre et. On achète une merdouille pour jouer en deporté.
BeatKitano
(03h54) BeatKitano Le Greg a raison.
BeatKitano
(03h53) BeatKitano Un pc vendu en masse qui n’évolue pas, qui satisfait tout l’industrie et tous les acteurs technologiques SIMULTANÉMENT.
Wednesday 19 March 2025
CBL
(21h40) CBL Au fond on en est pas loin : la PS5 et la Xbox Cerises sont déjà quasiment identiques. C'est juste des PCs verrouillés en fait
CBL
(21h40) CBL Ce ne serait pas un standard à proprement parler mais un PC vendu en masse où tous ceux qui l'achèteraient auraient les memes specs. Comme le Steam Deck
LeGreg
(21h31) LeGreg XKCD comic : "un nouveau standard"
CBL
(21h04) CBL Valve bosserait sur un "Steam Deck de bureau" qui serait exactement cela
CBL
(21h04) CBL Je ne pense pas que ça va changer mais je vois bien Sony et Microsoft faire un genre de PC "standard" pour leur prochaine console
LeGreg
(20h36) LeGreg Le VHS, les lecteurs MP3 ou de DVD sont codifiés à l'extrême, mais ça ne fait qu'une seule chose.
LeGreg
(20h35) LeGreg C'est un écosystème qui autorise les accélérateurs graphiques, les cartes sons, les headsets VRs, les SSDs et tous les formats de RAM que vous voulez.
LeGreg
(20h27) LeGreg La grandeur du PC c'est qu'il autorise le matos propriétaire
Tuesday 18 March 2025
Le vertueux
(23h36) Le vertueux Et la différence entre les constructeurs seront minimes comme pour les lecteurs de vhs.
Le vertueux
(23h35) Le vertueux choo.t > (15h07) ah oui j'avais oublié de répondre, CBL a parlé.
CBL
(23h23) CBL (15h07) choo.t > Un PC oui, mais standard. Où tout le monde a le même matos. Comme le Steam Deck.
choo.t
(22h59) choo.t noir_desir > du béhourd ?
Le vertueux
(22h58) Le vertueux Vu les règles, c'est à peine plus dangereux que de l'escrime olympique.
Le vertueux
(22h56) Le vertueux noir_desir > Ça fait bien 20 ans que ça existe et il y a beaucoup de ligues européenes, c'est pas du tout propre aux usa.
noir_desir
(22h43) noir_desir Euh, ou il a vu qu'en europe (si c'est notre culture ? ), se battre pour de vrai avec des armures dans une arène... Non mais des fois, je me dis qu'il y a une telle différence culturelle au usa, avec l'europe...
noir_desir
(22h41) noir_desir je viens de tomber sur une video de mma armé au usa.. Les mecs se battent en armure de chevalier dans une arène, avec des vrais armes d'hast..... En commentaire, un dit "tu ne peux pas comprendre, c'est pas ta culture"..
BeatKitano
(18h45) BeatKitano ¯(°_o)/¯
Big Apple
(18h12) Big Apple On dirait vaguement Avril Lavigne. Un truc de teenager(tm)
BeatKitano
(17h36) BeatKitano Je suppose que ça rentre dans le même plaisir coupable qu'un Baby metal / Band-maid.
BeatKitano
(17h34) BeatKitano Dans le registre "j'arrive après la guerre et je sais pas si je dois avoir honte d'aimer ça ou pas": poppy - negative spaces
choo.t
(15h07) choo.t Le vertueux > Un… PC ?
kirk.roundhouse
(12h01) kirk.roundhouse Je n'ai plus qu'à croiser les doigts et espérer ne pas avoir de coupure de jus sur mes serveurs, en attendant...
kirk.roundhouse
(12h01) kirk.roundhouse En 2025 il y a encore des SAV efficaces. La batterie de mon onduleur perso a cramée. 1,6KVA tout de même. Et Schneider Electric m'envoie un onduleur de rechange, tout en me laissant garder l'ancien. Je n'ai plus qu'à remplacer la batterie de l'ancien.
BeatKitano
(08h08) BeatKitano CBL > (20h49) parce qu’on a le choix. Regarde les se priver de sorties pour payer Netflix …
LeGreg
(01h55) LeGreg (04h24) C'est pas Sony, c'est juste un ancien executif qui n'a probablement aucune influence sur la direction actuelle de Sony.
Le vertueux
(00h49) Le vertueux Une console universelle comme pour les lecteurs de vhs ou de dvd.
Monday 17 March 2025
Laurent
(20h52) Laurent (17h48) je pensais plus à du always online. Donc tu télécharges ton jeu mais ne peux l'utiliser que si l'internet est accessible, ce qui est déja de plus en plus fréquent.
CBL
(20h49) CBL Aucune idée mais l'abonnement n'est pas la solution. Si ca ne fonctionne pas maintenant, je vois mal pourquoi ça fonctionnerait dans le futur
BeatKitano
(20h38) BeatKitano CBL > bah tu veux qu’ils fassent quoi s’ils ont pas de hardware proprio pour faire de la thune ? Ça peut que passer par un service de souscription
Zaza le Nounours
(20h22) Zaza le Nounours (Apple et Netflix les premiers.)
CBL
(20h12) CBL Mais ça non plus je n'y crois pas. Les chiffres montrent que ça ne fonctionne pas non plus. La croissance du Game Pass est limitée et tout le monde se tape d'Apple Arcade et de Netflix Games
Rechercher sur Factornews