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TEST

Gears of War 4 : Six heures d'attente

FrereT0c par FrereT0c,  email  @FrereT0c
Développeur / Editeur : Microsoft The Coalition
J’ai un gros passif avec la série Gears of War. Une série qui me ramène à mes années lycée où je passais mes mercredis après-midi, insouciant, à poncer le premier et le second opus avec un ami avant de retourner lire Death Note et mater des anime. Le bon vieux temps. Ce temps que l’on se rappelle avec un petit sourire satisfait et où on se dit que finalement la vie c'est pas si mal.

“J’ai passé plus de temps à le télécharger qu’à le finir…”

La saga Gears of War. Une série qui a dépoussiéré le genre du TPS sur console il y a déjà 10  ans (que le temps passe vite). Comme Halo qui introduisait l’auto-regen dans les FPS en son temps, Gears of War mettait au centre de son gameplay le defecus boxus©, le fameux système de couverture cher à la saga. Les fusillades étaient ainsi plus crédibles et haletantes. Ces jeux se dotaient en plus de moultes choses telles qu’un sens du spectacle qui faisait transpirer de bonheur Michael Bay, d’une galerie de personnages bourrins à la langue bien pendue et d’une ambiance subtile complètement assumée.



Après un téléchargement de presque 80 gigots sur l’enfant stupide de Games for Windows Live, nous voilà lancés dans cette suite qui promet beaucoup de choses. Pour ceux qui auraient la mémoire d’un poisson rouge sous anesthésie générale (ou qui n’ont simplement pas fait les autres), ce Gears of War 4 débute par une série de flashbacks recontextualisant l’histoire. Des guerres pendulaires au jour de l’émergence des Locustes, tout y passe. Ces séquences spectaculaires ont le mérite de mettre le joueur directement dans l’ambiance et dans de bonnes conditions pour apprécier la suite. A la fin de Gears of War 3, les Locustes étaient ainsi vaincus et nos héros principaux disparaissaient de la circulation. Dans ce nouvel opus donc, exit Marcus Fenix, Cole, Baird et compagnie. Gears 4 nous met dans les bottes du jeune JD, un blondinet dont on apprend assez vite qu’il est le fils de Marcus (JD pour James Dominic, petit hommage au pote tombé au combat, RIP in peace). Dès le début on nous balance quelques éléments de background du groupe composé de Del, le comic relief (qui est Noir, parce qu’autant y aller à fond dans les clichés) et Kait, la nana qui sert à rien à part donner un prétexte aux héros d’avancer. On comprend que Del et JD sont des Gears déserteurs et font partie maintenant des Etrangers, un groupuscule vaguement résistant qui vit en marge de la société. “Enfoirés de hippies” se disent les forces de la CGU (composées de robots uniquement), ils décident donc d’attaquer le camp principal des Etrangers ce qui donne lieu à une chouette phase de Tower Defense. L’attaque est repoussée, mais la nuit des créatures étranges attaquent et la mère de Kait, chef du camp, se fait enlever. Nos nouveaux héros ont besoin de Marcus pour résoudre cette nouvelle crise.



Ce sera tout pour le début, inutile de dévoiler plus le scénario, car le tout se boucle en 6h30 environ en Normal. Pour être tout à fait honnête, la campagne n’est pas le point fort de ce Gears of War 4. On s’ennuie ferme pendant 6h, en attendant qu’il se passe enfin quelque chose (autre que les tempêtes électriques violentes qui arrivent toujours aux mêmes moments), puis quand ça y est ça arrive… Fin. L’aura de mystère autour du scénario a un épilogue décevant. De quoi être terriblement frustré, surtout que le final est vraiment spectaculaire lui, avec des retrouvailles destinées aux fans et cela donne furieusement envie d’en savoir plus. Lors de cette campagne on rencontre trop de robots, ce qui n’est pas l’ennemi le plus sexy à affronter (surtout dans un Gears of War). Le bestiaire est globalement assez faible en fait, avec quelques gros ennemis faisant office de boss mais très peu de variantes d’adversaires plus conventionnels. On est loin de la folie d’un Gears of War 2 ou 3 sur ce point là. Concernant les personnages, ils sont à l’image de la campagne. Oubliables et prévisibles. Si le rapport père/fils entre un JD fringuant et un Marcus vieillissant marche plutôt bien, Del et Kait sont des personnages fonctions assez peu intéressants. Del est là pour faire des blagues qui tombent à plat et Kait donne un prétexte à JD pour avancer (retrouver sa mère). Cole, Baird et le reste de la clique manquent cruellement à cet opus pour marquer les esprits. On sent que les nouveaux gars de The Coalition n’ont pas encore saisi tout le sel de cette saga et ce qu’ils pouvaient en faire.

Prendre des vraies scies pour des lanternes

Le temps passe. Le premier Gears a 10 ans. Ce rappel temporel n’est pas laissé au hasard dans ce test. Il y a 10 ans, le gameplay de Gears of War premier du nom marquait un genre tout entier. Suite à ce succès, tout le monde voulait avoir son Gears. De ce fait, entre GoW1 et 4 on a eu Uncharted, Last of Us, Metal Gear Solid V, Max Payne 3 des TPS qui ont apporté chacun quelque chose de différent au genre. Mais voilà, jouer à Gears of War 4 c’est se taper un gameplay qui a pris un sacré coup de vieux car ça n’a pas bougé d’un iota. Au point qu’il y ait des risques pour que votre manette se mette à sentir la naphtaline de chez mamie. Les quelques ajouts de cet opus ne sont pas réellement utiles. Il est désormais possible de choper un ennemi placé directement derrière votre couverture actuelle pour le finir au couteau et de sauter par-dessus les barricades en plein sprint… et c’est tout. S’il est vrai que ce Gears of War favorise un jeu moins sédentaire et plus vif, les nouveautés restent faibles et donnent vraiment l’impression que la formule a des années de retard sur la concurrence.



Mais Gears of War c’est aussi des gros flingues et ça le quatrième en a à revendre. Outre les traditionnels Lanzor et revolver du terroir, les nouveautés sont à rechercher du côté de l’armement des robots. On trouve pêle-mêle le bien nommé Overkill, un fusil à pompe à la cadence de tir ultra rapide qui garde une cartouche en réserve tant que la gâchette n’a pas été relâchée. L’Ember quant à lui est un fusil de sniper électrique qui envoi des pruneaux très satisfaisants et qui one shot presque tout ce qui passe à sa portée. Le Dropshot est le comble de la discrétion car on parle d’un fusil qui balance des mini-foreuses explosives au-dessus du sol que l’on fait atterrir quand bon nous semble. On passera rapidement sur les différentes gatlings et autres lance-scies sauteuses : l’arsenal de Gears of War 4 n’a pas à rougir face à ses aînés et on sent qu’une attention particulière à été portée sur les pétoires.

“Toi, t’as pas une gueule de porte-bonheur”

C’est dingue à quel point Gears of War a été important sur la génération de console précédente. Car en plus de son gameplay relativement novateur, c’était aussi une vitrine technique pour l’Unreal Engine 3 qui a été utilisé dans de très nombreux jeux ensuite. Aujourd’hui, Gears of War 4 n’est pas le premier à utiliser l’Unreal Engine 4, mais qu’est ce qu’il en fait ? Et bien pas grand chose. S’il est indéniable que le jeu a un certain cachet sur quelques décors, le tout est masqué par un manque de variété incompréhensible. Le schéma pourrait se simplifier par grotte/ville dévastée/usine/ville/usine/usine/grotte. On a l’impression de traverser des usines pendant 75% du jeu. Et les usines dans les jeux vidéo c’est comme le niveau des égouts : une sacrée mauvaise idée. Le décor le plus mémorable se situe dès le début de l’Acte II, puis ensuite c’est le désert créatif. Un vrai gâchis quand on voit ce que le moteur est capable de cracher tout en restant à 60 fps constants sur une machine équipée d’une GTX 970 et d’un i7 6700k. Les décors manquent cruellement d’envergure et de ce côté gigantesque, spectaculaire propre à la saga.



Les modèles de personnages quant à eux sont plutôt détaillés mais rien de bien folichon non plus. Le jeu n’est pas raté techniquement, loin de là, mais on était en droit d’attendre autre chose pour le grand retour de la série. Quelque chose de plus grandiloquent, de moins conventionnel. On ne se sent jamais dominé par les décors, et une fois que les crédits de fin défilent, on ne se rappelle pas d’un endroit marquant en particulier en se disant “la vache, là ils ont assuré”. Une vraie déception.

“Alors ce solo ?” -”Bah il m’a mis Horde moi”

Pour le moment le constat n’est vraiment pas fameux n’est ce pas ? Permettez de contrebalancer un peu tout ça en parlant du multijoueur. Comme d’habitude, Gears of War est une expérience qui se vit à plusieurs. Le pouvoir de la coop c’est de rendre un truc pas folichon presque cool. Gears of War 4 ne fait pas exception et est un jeu taillé pour des parties entre potes. Même si pour le moment quelques soucis semblent toucher le crossplay entre Xbox One et PC. En effet, comme pour Forza Horizon 3, acheter le jeu sur l’un ou l’autre support permet de l’avoir sur les deux.



Mais le plus gros morceau de ce quatrième opus, c’est très certainement son tout nouveau mode Horde 3.0. La campagne introduisait quelques phases de Tower Defense plutôt sympathiques et ici c’est le coeur du gameplay. Lorsque la partie commence un Fabricator se trouve sur la carte et il faudra aller le récupérer pour le déposer quelque part. Ce Fabricator n’est ni plus ni moins qu’une grosse imprimante 3D qui permettra, moyennant quelques points, d’acheter des défenses. Ensuite, tel un petit Poucet très énervé, il sera possible de poser ça et là, des barbelés pour ralentir les ennemis, des tourelles automatiques, des râteliers d’armes qui rechargent les munitions… Ça fonctionne très bien et ce mode Horde (qui est pour rappel, un mode dans lequel les joueurs dégomment des vagues d’ennemis successives) est LE point fort de Gears of War 4. Ce système de défense permet des phases de gameplay émergent où il faut réellement penser sur le long terme, les protections coûtant de plus en plus cher à mesure que la partie progresse. Poser les bonnes barricades le plus tôt possible est donc primordial pour parvenir jusqu’à la fin.



De plus, il y a désormais un système de classes pour les personnages qui définit non seulement l’armement de départ (avec par exemple l’Ingénieur qui possède un chalumeau permettant de réparer les défenses) mais aussi divers bonus passifs. On parle là de cartes qui donnent des bonus comme des dégâts en plus, une réduction sur le Fabricator ou avoir plus de munitions... Pour obtenir ces cartes, Gears of War 4 se dote d’un modèle calqué sur celui d’Overwatch à savoir des caisses que l’on achète avec la monnaie du jeu ou de l’argent réel. A l’intérieur, des skins ou des cartes qui serviront à améliorer celles que l’on possède déjà. Si les micro-transactions ont toujours de quoi faire grincer des dents, l’argent s’accumule assez vite même s’il faudra grinder pas mal pour débloquer et améliorer la totalité de notre stock. Le mode Horde s’avère donc complet et amusant, une vraie réussite. Côté multijoueur plus classique, rien de neuf sous le soleil. Ce n’est pas le multi le plus intéressant du marché, et les fusils à pompe font toujours la loi sur le ladder (comme dans tous les Gears). Toutefois les modes sont plutôt nombreux et les maps bien fichues et variées.
Gears of War 4 est décevant. En oubliant d’être spectaculaire, il fait montre d’une campagne oubliable et trop conventionnelle. C’est toutefois l’opus doté du mode Horde le plus complet et amusant de la série. Un achat à envisager seulement si vous avez des potes pour le faire en coop.
 

Commentaires

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ElConnardo
 
J'espère qu'il y aura la mention "c'est super efficace" après un juggle 60% de barre.
JusdePoubelle
 
qu'est ce que c'est laid. Au secours.
Darkigo
 
Mais qu'est ce que c'est que ces décors pas du tout adaptés?! La DA est catastrophique...
mesterial
 
Pokemon, c'est "PEGI 3+"
Ca doit tout expliquer ou presque...
Chouxcoulat
 
Ca va être sympa à équilibrer si ils veulent tous les mettre. Mais ça m'étonnerais que ce soit dans le cahier des charges.
mOrbide
 
Darkigo a écrit :
Mais qu'est ce que c'est que ces décors pas du tout adaptés?! La DA est catastrophique...


Quelle DA ?
JusdePoubelle
 
C'est quand meme dommage, yaurait moyen de faire qlqchose de sympa avec les pokemon. Mais fallait pas filler ça aux mecs qui font tekken quoi. Quelle gachis.
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Tribune

Requiem
(05h47) Requiem Ayant fait le Remake du 2 y'a pas longtemps, qui m'a rendu très nostalgique, ça me rassure de voir ça, l'ambiance à l'air d'être la.
BeatKitano
(04h40) BeatKitano Silent Hill f. Je sais pas si le nom est bon mais le trailer est intriguant [youtube.com]
Thursday 13 March 2025
Samax
(21h33) Samax kirk.roundhouse > Ok merci ! Parfait, ça pourra me servir pur mon installation de Jellyfin :)
kirk.roundhouse
(20h54) kirk.roundhouse Ou alors assigner matériellement des disques de stockage à une VM qui va servir de support pour un OS NAS, et faire des pool ZFS
kirk.roundhouse
(20h52) kirk.roundhouse Samax > le passthrough c'est le fait d'assigner matériellement un périphérique à une VM pour qu'elle l'utilise comme sur un système bare metal. C'est pratique par exemple pour assigner une CG à une VM qui ferait du transcodage, du calcul tensor ou cuda
CBL
(20h30) CBL wizzim > le pire c'est qu'Nvidia pourrait écrire un wrapper 32 bit -> 64 bit.
Samax
(20h24) Samax skör > Quand tu parles de passthrough, c'est en opposition avec LXC j'imagine ? Bon je vais me renseigner sur le sujet en tout cas.
Samax
(20h23) Samax CBL > kirk.roundhouse > BeatKitano > skör > Merci pour les infos :) Je vais privilégier Debian alors. Etpour arch j'ai des mauvais souvenirs avec pacman donc je préfère une distro avec apt en effet
wizzim
(18h31) wizzim La conservation du jeu vidéo, c'est vraiment pas ça...
wizzim
(18h30) wizzim Vidéo intéressante sur NVidia qui "abandonne" PhysX: [youtube.com]
Wednesday 12 March 2025
skör
(19h44) skör Samax > Tout est dit :) LXC c'est top. J'utilise également Debian dessus avec 5go de disque pour des petits services. Proxmox gère très bien le Passthrough aussi.
Laurent
(18h31) Laurent (18h07) merci pour ton oeil affuté
BeatKitano
(18h10) BeatKitano toof > "Moraleees, moraaaleeeeesEUH"
toof
(18h07) toof Frostis : «  voirE le premier » (désolé je suis relou et je vais pas faire un commentaire à chaque fois :)
BeatKitano
(17h29) BeatKitano Sinon oui pour un particulier c'est pas un mauvais moyen. Mais si ça merde, faut pas mettre ça sur le dos de la distro nécessairement.
BeatKitano
(17h28) BeatKitano CBL > Heu... quand ça couille pas totalement le montage des disques parce que le kernel aime pas WSL (j'ai déjà eu le cas de disques qui dégageaient sans raison au bout de X minutes)
CBL
(17h22) CBL A noter que le meilleur moyen de tester une distro Linux pour serveur est d'utiliser WSL
BeatKitano
(17h07) BeatKitano (je parle de arch). Pour le reste ouais, en headless du moment que ça fait tourner ce que tu veux et que les updates sécu sont serieuses, ça n'a pas d'importance.
BeatKitano
(17h06) BeatKitano CBL > (16h21) Ouais enfin les rolling release c'est pas franchement une super idée pour un serveur qui fait juste tourner quelques services en local.
kirk.roundhouse
(16h50) kirk.roundhouse Samax > (14h28) les repo essentiellement. S'il n'y a pas un paquet dans les repo Debian, il est souvent dispo sur Ubuntu. Je préfère ça que d'installer les paquets à la main, ou ajouter des repo "officieux". Et je priorise Debian.
CBL
(16h24) CBL Alors que Node est un binaire tout con sans la moindre dépendance
CBL
(16h24) CBL La seule distro qui m'a fait des misères est RHEL. Impossible de mettre à jour Node sans changer de version majeure de RHEL
CBL
(16h22) CBL J'utilisais pas mal Ubuntu mais vu que je déploie sur AWS, je suis passé sur la distro d'Amazon
CBL
(16h21) CBL Pour avoir essayé pas mal de distros côté serveur, y'a finalement pas des masses de différences mis à part le gestionnaire de paquets
Samax
(15h36) Samax BeatKitano > Ok merci, c'est parfaitement clair. Je vais partir sur du Debian alors
BeatKitano
(14h33) BeatKitano Debian me semble être un choix bien plus sage.
BeatKitano
(14h32) BeatKitano Je fais actuellement tourner un de mes nas sur arch (parce que j'avais que ça sous la main et que j'avais pas envie de me prendre la tête) mais j'oublie de faire les majs de temps en temps et je recommande pas.
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Du coup faut assurer la maintenance et en headless ça peut vite devenir chiant quand t'as des interventions manuelles a faire [wiki.archlinux.org]
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Samax > Un bureau tu le mets a jour régulièrement pour diverses raisons. Un serveur headless tu veux un truc stable et tu vas pas installer des tas de trucs souvent (du moins un serveur arr).
Samax
(14h28) Samax Et quelle est la différence concrète entre Ubuntu et Debian pour du headless? Ubuntu est basée sur debian donc ça doit être peu ou prou la même chose non?
Samax
(14h27) Samax BeatKitano > Ok merci pour la précision. Mais pourquoi c'est pas la plus adaptée exactement?
Samax
(14h26) Samax kirk.roundhouse > Nickel merci pour les infos !
BeatKitano
(14h23) BeatKitano Samax > Pas du arch pour un serveur en tout cas. J'adore la distro mais c'est pas la plus indiquée pour un serveur arr*
kirk.roundhouse
(14h20) kirk.roundhouse Et j'en crée sur base Arch, Ubuntu et Debian, selon mes besoins.
kirk.roundhouse
(14h18) kirk.roundhouse Samax > avec proxmox tu as la possibilité de créer des conteneurs LXC. Je n'utilise que ça en headless : [pve.proxmox.com]
Samax
(13h52) Samax skör > kirk-roundhouse m'a conseillé ça aussi, du coup je pense que je vais tenter, mais tu conseillerais quoi comme distro linux pour du headless (essentiellement pour faire tourner des serveurs pour mon réseau local)?
skör
(08h54) skör Dragonir > Proxmox depuis quelques années. Ca marche très bien
Tuesday 11 March 2025
Zaza le Nounours
(23h41) Zaza le Nounours Nicouse > si t'as envie de tester Linux en condition réelles, plutôt que de te faire chier avec des VM, trouve-toi un petit SSD sacrificiel et installe l'OS dessus.
kirk.roundhouse
(22h57) kirk.roundhouse Dragonir > Nutanix et proxmox
Nicouse
(22h46) Nicouse (22h13) kirk.roundhouse > possiblement, mais c'est d'abord mon ignorance de linux qui est prépondérante :-D
Dragonir
(22h35) Dragonir Tiens en parlant d'hyperviseur, vous les migrés vers quoi vos environnements VSphere d'entreprise ?
kirk.roundhouse
(22h13) kirk.roundhouse Nicouse > peut être. Mais peut être aussi que les problèmes que tu rencontres sont essentiellement dûs à l'hyperviseur que tu utilises.
Nicouse
(22h02) Nicouse kirk.roundhouse > (17h27) c'est juste pour tester avant de déployer sur un vrai pc (ou pas). Je vais pas m'emmerder à installer l'hyperviseur de W10.
LeGreg
(19h58) LeGreg MacOS -> limité à un seul vendeur de hardware. Windows -> coût des licenses et moins d'open source. Linux -> un sacré bordel mais gratuit et souvent open source. Android -> limité en dehors du support tablette/téléphone, écosystème google.
LeGreg
(19h54) LeGreg Mais c'est comme partout, on a dix solutions imparfaites et il faut faire son choix selon ce qui sera un point bloquant ou pas.
LeGreg
(19h53) LeGreg Si la gratuité et/ou l'open source est le critère principal, alors il n'y a pas d'alternative ou très peu (OSes plus obscurs et sans doute avec un support moindre).
LeGreg
(19h52) LeGreg Alors oui, c'est gratuit (pas de licence par machine), c'est flexible et le support hardware est suffisant (ou atteint la barre minimale au niveau hardware) pour que ça puisse être utilisé par une grande partie de l'industrie.
LeGreg
(19h49) LeGreg Dans mon expérience, les points mis en avant par les développeurs Linux sont souvent des points qui n'ont que peu d'intérêt ou sont au détriment de l'utilisateur final et aussi souvent des développeurs d'applications.
Alroc
(18h33) Alroc Portage GO de typescript : [x.com]
kirk.roundhouse
(17h27) kirk.roundhouse Faut utiliser un hyperviseur KVM si vous voulez faire tourner correctement des VM linux. Des VM tout court aussi d'ailleurs. Et pas cette cochonnerie de virtualbox.
Zaza le Nounours
(07h25) Zaza le Nounours Et c'est aussi pour ça du coup que si on fait que jouer sur son PC, les 9900X3D et 9950X3D ne servent littéralement à rien, puisque dans tous les cas on les utilisera qu'à moitié.
Zaza le Nounours
(07h24) Zaza le Nounours Et pour faire ça, ça passe par l'installation de la Xbox Game Bar, qui "optimise" le bordel en coupant le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(07h23) Zaza le Nounours Nicouse > le 9800 a qu'un seul CCD, alors que les 9900 et 9950 en ont deux, mais le Vcache est posé que que sur un seul des deux. Donc faut s'assurer que les jeux utilisent le CCD avec Vcache pour en tirer parti.
BeatKitano
(04h55) BeatKitano Et pour les drivers cpu: pas exactement vrai, y’a toujours le microcode à update. Sous arch c’est géré automatiquement à chaque update système.
BeatKitano
(04h52) BeatKitano J’ai toujours eu des merdes avec Linux +enviro de bureau sous les VMs (fenêtres lentes, bugs de store) des fois installer les pilotes hôte aident mais ça sera jamais aussi fiable que bare metal.
Nicouse
(00h14) Nicouse Et me vlà maintenant avec Arch...je viens de finir l'install sur ma VM à partir de l'iso. J'ai pu télécharger des packages durant l'install... et v'là que maintenant rebooté sous l'os installé, j'ai plus de réseau. 'tin c'est l'apprentissage the hard way.
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h51) merci CBL
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h25) lapin compris le CCD avec le Vcache :-o
Nicouse
(00h13) Nicouse merci, j'avais oublié l'existence du noyau et que les drivers cpu/chipset étaient dedans. J'ai dû lire ça... un jour...
CBL
(00h05) CBL (Juste t'assurer que ton noyau est à jour)
CBL
(00h04) CBL (c'est directement dans le noyau donc tu n'as rien à télécharger)
Monday 10 March 2025
CBL
(23h51) CBL Internet me dit que le support a été ajouté avec Linux 6.9 et amélioré avec Linux 6.13
CBL
(23h47) CBL Zaza le Nounours > Y'a bien des pilotes pour un CPU histoire d' en tirer partie
Zaza le Nounours
(23h26) Zaza le Nounours En gros : "it just works" (en théorie). Et de toute façon, t'auras bien d'autres prises de tête à venir.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours *parquer le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours Nicouse > y a pas vraiment de drivers pour les CPU. Et comme c'est "que" un 9800X3D, t'as même pas à te prendre la tête avec les histoires de Xbox Gamebar pour parsuer le CCD qui n'a pas de
Nicouse
(22h46) Nicouse Petite question en passant: je vais recevoir une config plutôt récente genre chipset AMD B650E avec un 9800X3D. Sur Amd.com je vois bien les pilotes pour windows, rien pour linux. Comment je sais que linux va tirer parti de mon matos ?
Nicouse
(22h45) Nicouse Vivement que je lance la VM d'Arch, ça va être la fête du slip...
Nicouse
(22h44) Nicouse Là je me suis dit, putain c'est pas gagné.
Nicouse
(22h43) Nicouse Au final, je m'aperçois au bout d'une grosse demi-heure, sans doute bien plus, qu'en fait ce con de synaptics avait conservé comme source de paquets l'iso d'install (cdrom). Il n'allait jamais chercher sur le net. Ce CON....
Nicouse
(22h42) Nicouse Toujours pas de paquet steam de trouvé. Je me dis, c'est pas possible il doit pas avoir accès au net ce con à travers la vbox. Mais non, je lance FF et me balade sur youtube.
Nicouse
(22h41) Nicouse Je me résous à regarder sur le net, je trouve même un tuto sur la v.12.9. Rien n'y fait..
Nicouse
(22h40) Nicouse Alors y'en a des évidents à éliminer, genre les langues. J'en essaie un ou deux.. je reboote, rien. J'insiste pas, ça me gonfle. Rien n'est évident. Je repasse à steam.
Nicouse
(22h39) Nicouse Je me dis bon je vais plutôt regarder pour le DE, on verra pour steam ensuite... et là le drame aussi (moins mais bon). Dans Synaptics, tu tapes KDE et là t'as trouze mille packages qui sortent.
Nicouse
(22h38) Nicouse Je me fous dans la ligne de commande, apt search blabla, apt update, apt upgrade, toujours pas de paquet steam.
Nicouse
(22h38) Nicouse je file dans Synaptics, je trouve pas le paquet steam.
Nicouse
(22h37) Nicouse Debian 12.9, je tente Xfce. En effet c'est minimaliste mais à la limite je n'ai jamais été à fond dans l'eye-candy. Cela dit j'aimerai bien installer un autre DE type KDE pour voir, et surtout tester Steam. Et là, c'est le drame.
Nicouse
(22h36) Nicouse Bon les deux Fedora, j'imagine que ça n'aime pas trop Vbox: la version xfce n'a jamais booté l'install, la version Wkstation plante au reboot d'install. Verdict: poubelle
Nicouse
(22h35) Nicouse Me voilà avec Debian 12.9, Fedora Wk 41, Fedora Wk 41 mais sous Xfce et enfin Arch.
Nicouse
(22h34) Nicouse Anecdote d'hier soir... je teste plusieurs distributions sous VirtualBox en prévision de mon futur PC qui est en transit.
Nicouse
(22h34) Nicouse Sinon...pour revenir à Linux, je plussoie quasiment 100% des posts de CBL. La diversité de Linux n'excuse pas l'herméticité.
Nicouse
(22h33) Nicouse C'est aussi ce qui fait que les US gardent toujours la main sur leurs matériels de guerre. Enfin la France aussi a sa propre régulation, la CIEEMG, mais a priori plus light.
Nicouse
(22h32) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse Pour ceux qui se posaient des questions sur le F35, n'oublions pas ITAR
Le vertueux
(22h10) Le vertueux ahhhh je ne sais pas...
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Ou alors que JE sois Robocop ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Non attends, est-ce que je ne préfèrerais pas vivre dans un monde où il existe réellement ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Je suis vraiment content de vivre dans un monde où Robocop a été inventé.
Le vertueux
(19h52) Le vertueux Ça rame bien fort et l'image n'est pas très belle sur ma 2080 ti mais ça reste malgré tout une meilleur expérience qu'en 2d. Je suis content d'être robuste et d'avoir une bonne vue pour ne pas souffrir de motion sickness.
Le vertueux
(19h51) Le vertueux Mon bug dans robocop VR venait du fait que je laissais mon pouce reposé sur un des capteurs du contrôleur -_-
BeatKitano
(19h30) BeatKitano Alroc > Ouais enfin méluche il est pote avec putin aussi apparemment donc bon...
Alroc
(19h08) Alroc si vous vous demandez comment aider, ben je sais pas :/
Alroc
(19h07) Alroc BeatKitano > Twitter est KO a cause d'une attaque cyber
Alroc
(19h05) Alroc BeatKitano > il a aussi chier sur les américains depuis le début. et l'autre homme politique qui fait la meme chose depuis plus de 20 ans c'est méluche, voila c'est dit !
BeatKitano
(18h28) BeatKitano Toujours pas.
Gurvy
(18h27) Gurvy [x.com]
Gurvy
(18h27) Gurvy Mais quelle triste nouvelle… [x.com]
BeatKitano
(18h22) BeatKitano (et avoir viré les américains du sol français mais bon ça tout le monde le rabache)
BeatKitano
(18h22) BeatKitano kirk.roundhouse > Ça doit être a peu près le seul point positif de tout ce que le type a fait: avoir conservé un semblant de souveraineté dans le materiel militaire.
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