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Shadow Warrior 2 : Le Yin et le Wang

kimo par kimo,  email
Développeur / Editeur : Devolver Digital Flying Wild Hog Pure FPS
Malgré ses défauts, le remake de Shadow Warrior avait un peu surpris tout le monde lors de sa sortie. Il faut dire que le fast fps avait la tête basse depuis un bon moment et il était bon de revenir aux joies simples de la tuerie sans chichis. Avec le retour en forme de Doom cette année et la (pré)sortie de Killing Floor 2, on peut considérer qu’on a été gâté sur ce terrain. Shadow Warrior 2 arrive-t-il à se tailler une place dans notre petit catalogue meurtrier ?

Do you Wang some more ?

Shadow Warrior 2 prend place directement après les événements du premier, ce qui permet de réaliser qu’il s’y était sans doute passé beaucoup plus de choses que vous vous en rappelez. Pour profiter pleinement de l’histoire et recadrer les personnages que vous croisez, il vaut mieux faire une petite révision donc, mais ce n’est pas vraiment très important. Le jeu n’a rien perdu de son humour gras, il recycle sans vergogne ses blagues et ses situations. On ricane ou on est navré, c’est selon. Pour cet épisode vous avez un nouvel invité dans le crâne avec qui échanger des vannes, mais la recette fonctionne un peu moins bien cette fois-ci. De toute façon, vous n’êtes pas là pour bavasser mais pour tuer.

Pour cette suite Flying Wild Hog a décidé de prendre des risques plutôt que de se contenter de faire la même chose en plus gros. Si le premier jeu était un fps linéaire et plutôt classique, Shadow Warrior 2 est construit à la Borderland ou à la Diablo. Toute votre aventure est organisée autour d’une ville centrale et lors de vos missions, vous explorez des environnements isolés et distincts, générés aléatoirement. Il y a du loot, des ennemis avec des affixes et des classes, et un système de quêtes fedex qui sont juste prétextes à tuer en balançant des vannes et des grenades. Au début, tout ça fait un peu peur, mais heureusement, le gameplay nerveux du jeu est plus présent que jamais. On fait des doubles sauts, on dash à l’infini (il n’y a plus de barre d’endurance) en passant les ennemis au fil du sabre. Il semble que l’ambition du jeu ait donc été de conserver un gameplay viscéral et de proposer un contenu plus large mais aussi inépuisable. Le pari est à demi-réussi.



Sur la quantité, le jeu fait le travail. Le premier volet avait fait consensus sur son combat rapproché mais le combat à distance était un peu fade. Ce second volet se rachète avec un nombre d’armes conséquent. Tronçonneuses, arcs, mini-guns, fusils d’assaut, lance grenade, l’arsenal est très varié. Ça explose, ça défouraille, ça snipe, autant dire que quand votre arsenal est complet, il y en a pour tous les goûts et toutes les situations. Il y a du déchet bien sûr, mais les armes les plus réussies sont vraiment jouissives et en les essayant toutes on est parfois surpris. Quand on a trouvé son précieux, il est parfois dur de s’en séparer. Il se peut bien que vous sacrifiez l’efficacité du sacro-saint dps pour avoir le plaisir de garder votre fusil à pompe préféré un peu plus longtemps. Les armes blanches ne sont pas en reste et vous avez rapidement un petit inventaire dans lequel choisir. Ces armes blanches profitent toutes des attaques spéciales qui se déclenchent désormais avec le bouton droit et la direction. Intuitif et efficace. Ces pouvoirs peuvent désormais se charger à condition que vous arriviez à garder les ennemis à distance le temps nécessaire. Même si l’intérêt des armes à feu a été largement revu à la hausse, il y a peu de chance que vous sortiez sans votre sabre.

Pimp my Wang

Contrairement au premier Shadow Warrior, les armes n’évoluent pas. Mais les ennemis droppent des gemmes qui servent à améliorer et modifier vos armes, soit avec des modes de tir particuliers, soit avec des enchantements élémentaux. On se retrouve d’ailleurs très vite avec un trouzillon d’améliorations impossibles à classer correctement. Avec un inventaire aussi lourdingue, vous n’allez pas passer votre temps à peaufiner votre build, mais même sans être peaufiné, l’utilisation de ces gemmes peut radicalement changer la façon dont vous utilisez vos armes. Vous pouvez transformer votre pistolet en revolver explosif de glace et votre fusil d’assaut en machine à coups critiques spécialisée pour tuer les gros ennemis.



Car toutes ces gemmes permettent surtout de s’adapter aux différents types d’ennemis. Comme dans Diablo, ils se déplacent par pack et ont des résistances et des points faibles (faiblesse, résistance et immunité à un type de dégâts, régénération…). Il va falloir adapter votre équipement pour pouvoir faire face à tout type de monstre et il est tout simplement impensable de ne pas avoir trois ou quatre armes spécialisées chacune pour un type de dégât différent. Le bestiaire est varié et votre attitude change drastiquement selon la classe du monstre qui vous fait face (élite, extraordinaire etc..). Comme dans Diablo, certains combos sont particulièrement pénibles. En difficulté maximale, on a parfois l’impression de constamment combattre des boss, ce qui peut être grisant, mais aussi frustrant si on ne dispose pas de quoi le descendre.

Wang possède aussi ses classiques pouvoirs. Certains font plutôt office de soutien (invisibilité, soins) d’autre servent à étourdir les ennemis ou à les immobiliser. Sur le papier, ces pouvoirs sont très utiles, mais là encore, tout dépend de la difficulté. La plupart des monstres vraiment dangereux y sont immunisés et dans les difficultés supérieures, les pouvoirs offensifs sont quasiment… inoffensifs. D’ailleurs, si le nombre de compétences à débloquer est important (une bonne trentaine), seulement 5 voire 6 sont très utiles, le reste servant de bonus pour améliorer légèrement la qualité de vie du joueur. N’espérez donc pas trop personnaliser votre Wang.



Même si vous ne vous servirez probablement pas de toutes les armes et de toutes les compétences, en combat, il y a suffisamment de choses à y faire - esquiver, se soigner, passer d’une arme à l’autre - pour que ces pouvoirs nous manquent vraiment. Vous devez rester mobile et, s’il est tout à fait possible de jouer sans l’interface qui donne tout un tas d'info, il faut reconnaître que celle-ci, en indiquant les classes des monstres et les dégats, aide à s’y retrouver dans le feu de l’action. Car Shadow Warrior 2 est parfois un énorme fouillis. Comme les cartes sont ouvertes, il est possible d’aggro plusieurs groupes d’ennemis et de transformer l’écran en orgie de flammes, d’explosions et de tripes (ou de boulons, selon les ennemis). Malgré tout, le joueur a les moyens et les outils de se tirer du pétrin. La mobilité est le maître mot et les environnements vastes et verticaux permettent au joueur de fuir et d’organiser sa tuerie là où bon lui semble. Esquiver comme un papillon, piquer comme une guêpe, et dégrossir comme un bousier, tel pourrait-être le mantra de notre ami Wang.

Le yin et le Wang

Au premier abord, Shadow Warrior 2 semble voir les choses en grand et offrir un contenu plutôt conséquent et généreux. Mais malgré un procédural qui fabrique des niveaux au kilomètre, on ne peut pas dire que le jeu offre beaucoup de variété. Les niveaux ont beau être bien générés, sans aberration et cohérents, on retombe quand même régulièrement sur les mêmes morceaux. Avec trois environnements, on a rapidement l’impression de passer notre vie à revisiter les mêmes lieux, d’autant que les missions nous font effectivement revenir aux mêmes endroits. Doom aussi avait peu d’environnements, mais comme chaque niveau représentait un secteur précis, et était conçu de façon particulière (bureau, usine, enfer…), ça donnait du caractère, une identité aux lieux traversés. Ici on a ville japonaise, campagne japonaise et ville futuriste lambdas, toutes conçues sur le même principe : une carte ouverte constituée de blocs d’espaces agencés les uns aux autres. Bref le sentiment de progression en prend un coup.



Le gameplay aussi en est affecté, même si ce n’est pas forcément de façon négative. Puisque les ennemis et les agencements des niveaux sont aléatoires, Shadow Warrior 2 compte moins sur le placement et la complémentarité des ennemis que le premier remake ou que Doom. Ca élimine l’artificialité des « vagues », mais le jeu repose du même coup presqu’entièrement sur le gameplay plutôt que sur la conception des niveaux et les spécificités des ennemis. Le bestiaire est varié, mais tout est placé pêle-mêle sur la carte, et s’assemble en fonction de ce que le joueur va rencontrer et « aggro ». Du coup le jeu troque la gestion de l’espace et des ennemis par un gameplay basé sur le kiting et de crowd control tout droit piqué à Path of Exil (pour être équitable on évite de ne citer que Diablo). La gestion d’espace est secondaire à celle du type d’ennemis, et ceux-ci ne sont pas forcément adaptés à leur environnement. Tout ça donne parfois des combats confus où il vaut mieux bourriner au lance-roquette de loin avant de finir les morceaux. On est loin de la lisibilité de Doom. Il y a bien des zones qui ressemblent à des arènes, mais le joueur peut toujours fuir ou éviter les groupes de monstres et survoler toute la carte jusqu’aux objectifs, et les monstres se téléportent aussi parfois pour ne pas avoir à gérer le terrain. Si les environnements ajoutent de la verticalité par rapport au premier Shadow Warrior, celle-ci n’est pas forcément partie prenante du combat. Au final, les combats sont comme les environnements. De qualité, mais pas vraiment marquants et se ressemblant tous.

Kool and the Wang

C’est d’ailleurs ce qui, entre autre, met un peu de plomb dans l’aile à la rejouabilité. Difficile d’avoir des passages préférés dans le jeu, les moments marquants se comptent sur le doigt de la main. L’autre problème, c’est que si vous terminez le jeu en difficulté maximale, recommencer le jeu n’a pas énormément d’intérêt, puisque vous pouvez êtes si puissant que vous pouvez la plier entièrement une seconde fois en 2h30 (sans exagération). Dans Shadow Warrior premier du nom, même en gardant vos pouvoirs et vos armes, le jeu continuait à offrir du challenge en difficile. Ici, avec les cartes ouvertes procédurales qui empêchent aux développeurs de concevoir des challenges spécifiques, le joueur survole les missions et n’a pas forcément très envie d’engager des combats similaires et sans réels enjeux (puisque les ennemis réapparaissent).  Bien sûr, dans un tel jeu, le plaisir des affrontements est une fin en soi, mais celui-ci peut malgré tout être entaché par le manque de relief et l’impossibilité de s’investir dans les situations narratives, mais surtout dans les situations de combat.



Le multi souffre du même défaut par ailleurs. Vos alliés sont justes des anonymes de plus dans le vaste monde bordélique de Shadow Warrior. Pris dans la frénésie des combats, vous ne tournerez probablement jamais la tête vers eux et jouerez comme si vous étiez seul. L'intention reste bonne mais le jeu ne s'y prète pas vraiment : le gameplay déjà bien musclé n'offre que peu de place pour le coop.

Un petit point sur la technique. Le jeu est hyper fluide d'après les retours et notre expérience, les paramètres de personnalisation sont nombreux, pour les graphismes mais aussi pour le plaisir du joueur : du FOV à la taille et l'opacité de l'interface, vous pouvez avoir ce que vous voulez à l'écran, comme vous le voulez. Bref, un vrai paramètrage PCmaster Race. Par contre, évitez la localisation française si possible, elle contient de nombreux bugs textuels (noms des missions manquants, apostrophes et cédilles qui s'affichent mal).

TL;DR

Avec l'apparition d'une composante Borderland, on avait un peu peur pour Shadow Warrior 2. Heureusement le jeu de Flying Wild Hog évite l'écueil de la chasse au loot et n'oublie pas d'être avant tout un fps brutal et intense. On dira donc que le pari est réussi pour ce Shadow Warrior. Le gameplay est agréable et la partie arme a feu s'est presque hissée à la hauteur du combat à l'arme blanche. On lui reprochera un bordel parfois désagréable, une gestion d'inventaire catastrophique, et un level design inexistant qui se fait parfois sentir. Parfois répétitif, Shadow Warrior 2 n'a pas l'intelligence de son ainé ou du dernier Doom. Il compense par une générosité qui finit par emporter le morceau au moins le temps d'une partie. Il y a peu de chance qu'on y rejoue souvent, ou qu'on se plonge dans le multi. Mais Shadow Warrior 2 propose une bonne tranche de fps bien gras, et il serait dommage de s'en passer.
Shadow Warrior 2 est un très bon shooter. On peut regretter que, curieusement, la création de contenu procédurale nuise un peu à la variété de jeu et à sa replay-value. Mais inutile de bouder son plaisir pour ça. Si vous êtes fans de fast fps, vous passerez sur ces quelques défauts, sinon attendez une promo. 
 

Commentaires

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fak_auf
 
"en essayant de ne pas devenir fou à cause des aberrations chromatiques "
à fond !
mais ça serait pas un peu fait exprès ? genre pour simuler une vision stéréoscopique, et dire "regardez, notre jeu est en 3d relief"....
Turom_
 
astraunaute ?
klownk
 
...vous glissera dans le casque... ?
sfabien
 
Ca m'angoisse la respiration du personnage. J'ai l'impression d'étouffer avec elle ! Sinon c'est bien foutu je trouve, on se sent vraiment dans le corps du protagoniste.
mOrbide
 
(Où est Routine d'ailleurs, bordel ?)
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Tribune

Fougère
(19h21) Fougère Mais c'est mignon dit moi
BeatKitano
(16h50) BeatKitano Je pose ça là pour les fans d'A-RPG qui veulent sortir un peu du medfan. La demo est prometteuse [store.steampowered.com]
BeatKitano
(09h46) BeatKitano T'as une bonne vieille carte amd qui fait pas tourner les jeux qui demande du raytracing hardware ? Utilise linux! [youtube.com]
Saturday 15 March 2025
Laurent
(17h29) Laurent (16h59) non mais il a une démo jouable sur steam
Le vertueux
(16h59) Le vertueux choo.t > Mais il n'est pas encore sorti void war, si ?
Friday 14 March 2025
Samax
(16h38) Samax choo.t > Ah merci j'en avais pas du tout entendu parler ! C'est ajouté à ma wishlist.
choo.t
(15h42) choo.t Samax > kirk.roundhouse > Si vous aimez FTL, Void War peut peut-être vous intéresser, c'est FTL × WH40K.
Samax
(13h37) Samax kirk.roundhouse > Avec plaisir :) Je te conseille de suivre ce guide (toute l'install se fait automatiquement via l'installeur, pas besoin de passer par mod manager): [steamcommunity.com]
GTB
(12h56) GTB Dans le SH Transmission, ils parlent longuement de leurs intentions, leur approche pour renouveler la licence en gardant son essence, abordant l'écriture, le design, les musiques, les thématiques.
GTB
(12h52) GTB BeatKitano > Yep. Entre le remake et ce qu'annonce ce Silent Hill f, le fan de la licence que je suis est comme un gosse. J'aime bcp ce qu'ils tentent avec ce f. Très hâte d'en voir plus.
kirk.roundhouse
(11h45) kirk.roundhouse Samax > Ah mais merci pour cette recommandation ! J'ai des centaines d'heures sur FTL, et je sens que je vais repartir pour un tour.
Samax
(11h32) Samax (C'est génial et très bien écrit, j'ai déjà 150 heures dessus depuis que je l'ai découvert, et ça tourne très bien sur Steam Deck)
Samax
(11h31) Samax Et pour ceux qui ne connaissent pas, on peut considérer FTL Multiverse comme une vraie suite à FTL, vu la quantité de contenu et de mécaniques ajoutées au jeu.
Samax
(11h28) Samax Je pense pas que ça ait déjà été mentionné ici, mais j'ai découvert il y a pas longtemps que FTL Multiverse avait bénéficié d'une traduction intégrale en français, et à part quelques coquilles par moments elle est globalement de très bonne qualité.
Requiem
(05h47) Requiem Ayant fait le Remake du 2 y'a pas longtemps, qui m'a rendu très nostalgique, ça me rassure de voir ça, l'ambiance à l'air d'être la.
BeatKitano
(04h40) BeatKitano Silent Hill f. Je sais pas si le nom est bon mais le trailer est intriguant [youtube.com]
Thursday 13 March 2025
Samax
(21h33) Samax kirk.roundhouse > Ok merci ! Parfait, ça pourra me servir pur mon installation de Jellyfin :)
kirk.roundhouse
(20h54) kirk.roundhouse Ou alors assigner matériellement des disques de stockage à une VM qui va servir de support pour un OS NAS, et faire des pool ZFS
kirk.roundhouse
(20h52) kirk.roundhouse Samax > le passthrough c'est le fait d'assigner matériellement un périphérique à une VM pour qu'elle l'utilise comme sur un système bare metal. C'est pratique par exemple pour assigner une CG à une VM qui ferait du transcodage, du calcul tensor ou cuda
CBL
(20h30) CBL wizzim > le pire c'est qu'Nvidia pourrait écrire un wrapper 32 bit -> 64 bit.
Samax
(20h24) Samax skör > Quand tu parles de passthrough, c'est en opposition avec LXC j'imagine ? Bon je vais me renseigner sur le sujet en tout cas.
Samax
(20h23) Samax CBL > kirk.roundhouse > BeatKitano > skör > Merci pour les infos :) Je vais privilégier Debian alors. Etpour arch j'ai des mauvais souvenirs avec pacman donc je préfère une distro avec apt en effet
wizzim
(18h31) wizzim La conservation du jeu vidéo, c'est vraiment pas ça...
wizzim
(18h30) wizzim Vidéo intéressante sur NVidia qui "abandonne" PhysX: [youtube.com]
Wednesday 12 March 2025
skör
(19h44) skör Samax > Tout est dit :) LXC c'est top. J'utilise également Debian dessus avec 5go de disque pour des petits services. Proxmox gère très bien le Passthrough aussi.
Laurent
(18h31) Laurent (18h07) merci pour ton oeil affuté
BeatKitano
(18h10) BeatKitano toof > "Moraleees, moraaaleeeeesEUH"
toof
(18h07) toof Frostis : «  voirE le premier » (désolé je suis relou et je vais pas faire un commentaire à chaque fois :)
BeatKitano
(17h29) BeatKitano Sinon oui pour un particulier c'est pas un mauvais moyen. Mais si ça merde, faut pas mettre ça sur le dos de la distro nécessairement.
BeatKitano
(17h28) BeatKitano CBL > Heu... quand ça couille pas totalement le montage des disques parce que le kernel aime pas WSL (j'ai déjà eu le cas de disques qui dégageaient sans raison au bout de X minutes)
CBL
(17h22) CBL A noter que le meilleur moyen de tester une distro Linux pour serveur est d'utiliser WSL
BeatKitano
(17h07) BeatKitano (je parle de arch). Pour le reste ouais, en headless du moment que ça fait tourner ce que tu veux et que les updates sécu sont serieuses, ça n'a pas d'importance.
BeatKitano
(17h06) BeatKitano CBL > (16h21) Ouais enfin les rolling release c'est pas franchement une super idée pour un serveur qui fait juste tourner quelques services en local.
kirk.roundhouse
(16h50) kirk.roundhouse Samax > (14h28) les repo essentiellement. S'il n'y a pas un paquet dans les repo Debian, il est souvent dispo sur Ubuntu. Je préfère ça que d'installer les paquets à la main, ou ajouter des repo "officieux". Et je priorise Debian.
CBL
(16h24) CBL Alors que Node est un binaire tout con sans la moindre dépendance
CBL
(16h24) CBL La seule distro qui m'a fait des misères est RHEL. Impossible de mettre à jour Node sans changer de version majeure de RHEL
CBL
(16h22) CBL J'utilisais pas mal Ubuntu mais vu que je déploie sur AWS, je suis passé sur la distro d'Amazon
CBL
(16h21) CBL Pour avoir essayé pas mal de distros côté serveur, y'a finalement pas des masses de différences mis à part le gestionnaire de paquets
Samax
(15h36) Samax BeatKitano > Ok merci, c'est parfaitement clair. Je vais partir sur du Debian alors
BeatKitano
(14h33) BeatKitano Debian me semble être un choix bien plus sage.
BeatKitano
(14h32) BeatKitano Je fais actuellement tourner un de mes nas sur arch (parce que j'avais que ça sous la main et que j'avais pas envie de me prendre la tête) mais j'oublie de faire les majs de temps en temps et je recommande pas.
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Du coup faut assurer la maintenance et en headless ça peut vite devenir chiant quand t'as des interventions manuelles a faire [wiki.archlinux.org]
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Samax > Un bureau tu le mets a jour régulièrement pour diverses raisons. Un serveur headless tu veux un truc stable et tu vas pas installer des tas de trucs souvent (du moins un serveur arr).
Samax
(14h28) Samax Et quelle est la différence concrète entre Ubuntu et Debian pour du headless? Ubuntu est basée sur debian donc ça doit être peu ou prou la même chose non?
Samax
(14h27) Samax BeatKitano > Ok merci pour la précision. Mais pourquoi c'est pas la plus adaptée exactement?
Samax
(14h26) Samax kirk.roundhouse > Nickel merci pour les infos !
BeatKitano
(14h23) BeatKitano Samax > Pas du arch pour un serveur en tout cas. J'adore la distro mais c'est pas la plus indiquée pour un serveur arr*
kirk.roundhouse
(14h20) kirk.roundhouse Et j'en crée sur base Arch, Ubuntu et Debian, selon mes besoins.
kirk.roundhouse
(14h18) kirk.roundhouse Samax > avec proxmox tu as la possibilité de créer des conteneurs LXC. Je n'utilise que ça en headless : [pve.proxmox.com]
Samax
(13h52) Samax skör > kirk-roundhouse m'a conseillé ça aussi, du coup je pense que je vais tenter, mais tu conseillerais quoi comme distro linux pour du headless (essentiellement pour faire tourner des serveurs pour mon réseau local)?
skör
(08h54) skör Dragonir > Proxmox depuis quelques années. Ca marche très bien
Tuesday 11 March 2025
Zaza le Nounours
(23h41) Zaza le Nounours Nicouse > si t'as envie de tester Linux en condition réelles, plutôt que de te faire chier avec des VM, trouve-toi un petit SSD sacrificiel et installe l'OS dessus.
kirk.roundhouse
(22h57) kirk.roundhouse Dragonir > Nutanix et proxmox
Nicouse
(22h46) Nicouse (22h13) kirk.roundhouse > possiblement, mais c'est d'abord mon ignorance de linux qui est prépondérante :-D
Dragonir
(22h35) Dragonir Tiens en parlant d'hyperviseur, vous les migrés vers quoi vos environnements VSphere d'entreprise ?
kirk.roundhouse
(22h13) kirk.roundhouse Nicouse > peut être. Mais peut être aussi que les problèmes que tu rencontres sont essentiellement dûs à l'hyperviseur que tu utilises.
Nicouse
(22h02) Nicouse kirk.roundhouse > (17h27) c'est juste pour tester avant de déployer sur un vrai pc (ou pas). Je vais pas m'emmerder à installer l'hyperviseur de W10.
LeGreg
(19h58) LeGreg MacOS -> limité à un seul vendeur de hardware. Windows -> coût des licenses et moins d'open source. Linux -> un sacré bordel mais gratuit et souvent open source. Android -> limité en dehors du support tablette/téléphone, écosystème google.
LeGreg
(19h54) LeGreg Mais c'est comme partout, on a dix solutions imparfaites et il faut faire son choix selon ce qui sera un point bloquant ou pas.
LeGreg
(19h53) LeGreg Si la gratuité et/ou l'open source est le critère principal, alors il n'y a pas d'alternative ou très peu (OSes plus obscurs et sans doute avec un support moindre).
LeGreg
(19h52) LeGreg Alors oui, c'est gratuit (pas de licence par machine), c'est flexible et le support hardware est suffisant (ou atteint la barre minimale au niveau hardware) pour que ça puisse être utilisé par une grande partie de l'industrie.
LeGreg
(19h49) LeGreg Dans mon expérience, les points mis en avant par les développeurs Linux sont souvent des points qui n'ont que peu d'intérêt ou sont au détriment de l'utilisateur final et aussi souvent des développeurs d'applications.
Alroc
(18h33) Alroc Portage GO de typescript : [x.com]
kirk.roundhouse
(17h27) kirk.roundhouse Faut utiliser un hyperviseur KVM si vous voulez faire tourner correctement des VM linux. Des VM tout court aussi d'ailleurs. Et pas cette cochonnerie de virtualbox.
Zaza le Nounours
(07h25) Zaza le Nounours Et c'est aussi pour ça du coup que si on fait que jouer sur son PC, les 9900X3D et 9950X3D ne servent littéralement à rien, puisque dans tous les cas on les utilisera qu'à moitié.
Zaza le Nounours
(07h24) Zaza le Nounours Et pour faire ça, ça passe par l'installation de la Xbox Game Bar, qui "optimise" le bordel en coupant le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(07h23) Zaza le Nounours Nicouse > le 9800 a qu'un seul CCD, alors que les 9900 et 9950 en ont deux, mais le Vcache est posé que que sur un seul des deux. Donc faut s'assurer que les jeux utilisent le CCD avec Vcache pour en tirer parti.
BeatKitano
(04h55) BeatKitano Et pour les drivers cpu: pas exactement vrai, y’a toujours le microcode à update. Sous arch c’est géré automatiquement à chaque update système.
BeatKitano
(04h52) BeatKitano J’ai toujours eu des merdes avec Linux +enviro de bureau sous les VMs (fenêtres lentes, bugs de store) des fois installer les pilotes hôte aident mais ça sera jamais aussi fiable que bare metal.
Nicouse
(00h14) Nicouse Et me vlà maintenant avec Arch...je viens de finir l'install sur ma VM à partir de l'iso. J'ai pu télécharger des packages durant l'install... et v'là que maintenant rebooté sous l'os installé, j'ai plus de réseau. 'tin c'est l'apprentissage the hard way.
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h51) merci CBL
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h25) lapin compris le CCD avec le Vcache :-o
Nicouse
(00h13) Nicouse merci, j'avais oublié l'existence du noyau et que les drivers cpu/chipset étaient dedans. J'ai dû lire ça... un jour...
CBL
(00h05) CBL (Juste t'assurer que ton noyau est à jour)
CBL
(00h04) CBL (c'est directement dans le noyau donc tu n'as rien à télécharger)
Monday 10 March 2025
CBL
(23h51) CBL Internet me dit que le support a été ajouté avec Linux 6.9 et amélioré avec Linux 6.13
CBL
(23h47) CBL Zaza le Nounours > Y'a bien des pilotes pour un CPU histoire d' en tirer partie
Zaza le Nounours
(23h26) Zaza le Nounours En gros : "it just works" (en théorie). Et de toute façon, t'auras bien d'autres prises de tête à venir.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours *parquer le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours Nicouse > y a pas vraiment de drivers pour les CPU. Et comme c'est "que" un 9800X3D, t'as même pas à te prendre la tête avec les histoires de Xbox Gamebar pour parsuer le CCD qui n'a pas de
Nicouse
(22h46) Nicouse Petite question en passant: je vais recevoir une config plutôt récente genre chipset AMD B650E avec un 9800X3D. Sur Amd.com je vois bien les pilotes pour windows, rien pour linux. Comment je sais que linux va tirer parti de mon matos ?
Nicouse
(22h45) Nicouse Vivement que je lance la VM d'Arch, ça va être la fête du slip...
Nicouse
(22h44) Nicouse Là je me suis dit, putain c'est pas gagné.
Nicouse
(22h43) Nicouse Au final, je m'aperçois au bout d'une grosse demi-heure, sans doute bien plus, qu'en fait ce con de synaptics avait conservé comme source de paquets l'iso d'install (cdrom). Il n'allait jamais chercher sur le net. Ce CON....
Nicouse
(22h42) Nicouse Toujours pas de paquet steam de trouvé. Je me dis, c'est pas possible il doit pas avoir accès au net ce con à travers la vbox. Mais non, je lance FF et me balade sur youtube.
Nicouse
(22h41) Nicouse Je me résous à regarder sur le net, je trouve même un tuto sur la v.12.9. Rien n'y fait..
Nicouse
(22h40) Nicouse Alors y'en a des évidents à éliminer, genre les langues. J'en essaie un ou deux.. je reboote, rien. J'insiste pas, ça me gonfle. Rien n'est évident. Je repasse à steam.
Nicouse
(22h39) Nicouse Je me dis bon je vais plutôt regarder pour le DE, on verra pour steam ensuite... et là le drame aussi (moins mais bon). Dans Synaptics, tu tapes KDE et là t'as trouze mille packages qui sortent.
Nicouse
(22h38) Nicouse Je me fous dans la ligne de commande, apt search blabla, apt update, apt upgrade, toujours pas de paquet steam.
Nicouse
(22h38) Nicouse je file dans Synaptics, je trouve pas le paquet steam.
Nicouse
(22h37) Nicouse Debian 12.9, je tente Xfce. En effet c'est minimaliste mais à la limite je n'ai jamais été à fond dans l'eye-candy. Cela dit j'aimerai bien installer un autre DE type KDE pour voir, et surtout tester Steam. Et là, c'est le drame.
Nicouse
(22h36) Nicouse Bon les deux Fedora, j'imagine que ça n'aime pas trop Vbox: la version xfce n'a jamais booté l'install, la version Wkstation plante au reboot d'install. Verdict: poubelle
Nicouse
(22h35) Nicouse Me voilà avec Debian 12.9, Fedora Wk 41, Fedora Wk 41 mais sous Xfce et enfin Arch.
Nicouse
(22h34) Nicouse Anecdote d'hier soir... je teste plusieurs distributions sous VirtualBox en prévision de mon futur PC qui est en transit.
Nicouse
(22h34) Nicouse Sinon...pour revenir à Linux, je plussoie quasiment 100% des posts de CBL. La diversité de Linux n'excuse pas l'herméticité.
Nicouse
(22h33) Nicouse C'est aussi ce qui fait que les US gardent toujours la main sur leurs matériels de guerre. Enfin la France aussi a sa propre régulation, la CIEEMG, mais a priori plus light.
Nicouse
(22h32) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse Pour ceux qui se posaient des questions sur le F35, n'oublions pas ITAR
Le vertueux
(22h10) Le vertueux ahhhh je ne sais pas...
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