ACTU
57mn de streaming Kingdom Come: Deliverance
Il reste un peu moins de 36h au compteur du Kickstarter de Kingdom Come: Deliverance et le dernier stretch goal, fixé au million de livres sterling, semble à portée de main. Il s'agit d'un gentil toutou qui va partager l'aventure avec nous, nous soutenir pendant les combats, se rendre certainement bien plus utile que nous à la chasse et nous lancer un regard plein de reproches pudibonds quand on ira béliner la nièce du meunier.
Histoire de donner le coup de collier final, Warhorse nous a proposé hier soir un streaming de la version du jeu qu'ils ont présentée aux éditeurs. Oui, celle-là même qui n'avait pas séduit grand monde. Vous allez donc pouvoir juger par vous-même de ce que les marionnettistes du AAA ont décidé de mettre au rebut, parce que sans magie, sans dragons et sans Elfette en armure dénudée un RPG n'a aucun avenir.
On y découvre plus en détails la ville de Rattay, qui avait déjà été montrée à l'occasion d'une précédente présentation, ainsi que le début de l'histoire. Et aussi la nièce du meunier, d'où l'inquiétude du chien. Bref, quelques dialogues, une petite promenade en ville, un coup d’affûtage d'épée et zou on enfourche notre monture et on part enquêter aux côtés du maréchal local. On pénètre alors dans un sous-bois pour y livrer combat, et même si Daniel Vávra nous précise que le système a été copieusement amélioré depuis, on mesure tout de suite la différence avec les combats auxquels nous ont habitués Bethesda ou CD Projekt RED. On termine cette longue présentation par une visite libre d'un des autres villages de la carte, cette-fois sur une build plus récente avec l'IA avancée des PNJ.
À moins que vous ne travailliez chez un éditeur, tout cela devrait normalement vous convaincre que Warhorse en a sous le pied et que le jeu devrait vraiment apporter quelque chose de nouveau dans le monde un peu sclérosé des RPG à gros budget. Plus que 22 mois à attendre pour la piétaille, accès anticipé à l'alpha puis bêta si vous êtes backer et en fonction de la dîme que vous avez versée.
Histoire de donner le coup de collier final, Warhorse nous a proposé hier soir un streaming de la version du jeu qu'ils ont présentée aux éditeurs. Oui, celle-là même qui n'avait pas séduit grand monde. Vous allez donc pouvoir juger par vous-même de ce que les marionnettistes du AAA ont décidé de mettre au rebut, parce que sans magie, sans dragons et sans Elfette en armure dénudée un RPG n'a aucun avenir.
On y découvre plus en détails la ville de Rattay, qui avait déjà été montrée à l'occasion d'une précédente présentation, ainsi que le début de l'histoire. Et aussi la nièce du meunier, d'où l'inquiétude du chien. Bref, quelques dialogues, une petite promenade en ville, un coup d’affûtage d'épée et zou on enfourche notre monture et on part enquêter aux côtés du maréchal local. On pénètre alors dans un sous-bois pour y livrer combat, et même si Daniel Vávra nous précise que le système a été copieusement amélioré depuis, on mesure tout de suite la différence avec les combats auxquels nous ont habitués Bethesda ou CD Projekt RED. On termine cette longue présentation par une visite libre d'un des autres villages de la carte, cette-fois sur une build plus récente avec l'IA avancée des PNJ.
À moins que vous ne travailliez chez un éditeur, tout cela devrait normalement vous convaincre que Warhorse en a sous le pied et que le jeu devrait vraiment apporter quelque chose de nouveau dans le monde un peu sclérosé des RPG à gros budget. Plus que 22 mois à attendre pour la piétaille, accès anticipé à l'alpha puis bêta si vous êtes backer et en fonction de la dîme que vous avez versée.