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Switch 2 : Tegra, c'est la vie

Nintendo a publié les specs de la Switch 2 tout en omettant le principal : ce qui fait tourner la bête. Il faut se contenter d'un "custom processor made by Nvidia". Les Internautes pensent qu'il s'agit du Nvidia Tegra T239 épaulé par 12 Go de LPDDR5. Ce dernier comprendrait un CPU 8 coeurs ARM Cortex-A78C et un GPU Ampere (comme les GeForce 30xx) embarquant 1536 CUDA cores, 48 Tensor cores et 12 RT cores.
Le tout permet à la Switch 2 d'utiliser le DLSS, ce qui a été confirmé par Nintendo et Nvidia. Accessoirement, les Tensor cores pourraient aussi servir à d'autres calculs d'IA comme isoler les voix pour le chat vocal. La Switch 2 est aussi capable de ray-tracing. Bon, avec 12 RT cores, ça ne va pas aller très loin, mais ça pourrait aider la Switch 2 à faire tourner des jeux où le ray-tracing matériel est obligatoire comme Indiana Jones and the Great Circle. L'autre surprise vient de la manière dont les jeux Switch tournent sur Switch 2.
Par le passé, la rétrocompatibilité chez Nintendo était assurée par du matériel dédié. Le Game Boy Advance embarquait le CPU du Game Boy, la Wii U les puces de la Wii et la 3DS le matos de la DS, mais ce n'est pas le cas de la Switch 2. Du coup, Nintendo a dû se tourner vers une solution logicielle. Au début, le constructeur a pensé à développer un émulateur Switch mais la Switch 2 n'a pas assez de patate pour cela. De fait, Nintendo a conçu un système qui traduit à la volée les jeux Switch en Switch 2, un peu comme ce que fait Valve avec Proton.
L'avantage de ce système, c'est que les jeux de la première Switch ont accès aux nouvelles fonctionnalités de la Switch 2, comme le chat vocal. L'inconvénient, c'est que certains jeux Switch ne se lancent pas et que d'autres ont des problèmes. Mais comme pour Proton, Nintendo peut patcher le tout via des mises à jour système. À noter que certains jeux Switch nécessitent d'utiliser des Joy-Con de première génération pour tourner et cela pour diverses raisons : les Joy-Con 2 n'ont pas de caméra infrarouge, ne rentrent pas dans les accessoires de la première Switch et ne vibrent pas aussi bien que les Joy-Con d'origine.
Le tout permet à la Switch 2 d'utiliser le DLSS, ce qui a été confirmé par Nintendo et Nvidia. Accessoirement, les Tensor cores pourraient aussi servir à d'autres calculs d'IA comme isoler les voix pour le chat vocal. La Switch 2 est aussi capable de ray-tracing. Bon, avec 12 RT cores, ça ne va pas aller très loin, mais ça pourrait aider la Switch 2 à faire tourner des jeux où le ray-tracing matériel est obligatoire comme Indiana Jones and the Great Circle. L'autre surprise vient de la manière dont les jeux Switch tournent sur Switch 2.
Par le passé, la rétrocompatibilité chez Nintendo était assurée par du matériel dédié. Le Game Boy Advance embarquait le CPU du Game Boy, la Wii U les puces de la Wii et la 3DS le matos de la DS, mais ce n'est pas le cas de la Switch 2. Du coup, Nintendo a dû se tourner vers une solution logicielle. Au début, le constructeur a pensé à développer un émulateur Switch mais la Switch 2 n'a pas assez de patate pour cela. De fait, Nintendo a conçu un système qui traduit à la volée les jeux Switch en Switch 2, un peu comme ce que fait Valve avec Proton.
L'avantage de ce système, c'est que les jeux de la première Switch ont accès aux nouvelles fonctionnalités de la Switch 2, comme le chat vocal. L'inconvénient, c'est que certains jeux Switch ne se lancent pas et que d'autres ont des problèmes. Mais comme pour Proton, Nintendo peut patcher le tout via des mises à jour système. À noter que certains jeux Switch nécessitent d'utiliser des Joy-Con de première génération pour tourner et cela pour diverses raisons : les Joy-Con 2 n'ont pas de caméra infrarouge, ne rentrent pas dans les accessoires de la première Switch et ne vibrent pas aussi bien que les Joy-Con d'origine.