ACTU
Ubisoft : les suites de l'affaire
par CBL,
email @CBL_Factor
L'affaire Ubisoft est loin d'être finie et Jason Schreier vient d'en remettre une couche. Cet ancien de Kotaku écrit désormais pour Bloomberg et a publié un article sur le sujet. Il contient à la fois un résumé des derniers développements ainsi que de nouvelles informations sur le comportement de Serge Hascoët. Il est question de réunions dans des clubs de strip-tease et de refuser d'utiliser des personnages féminins dans les jeux car ça ne se vend pas ma bonne dame. (L'illustration de la news est tirée de l'article - c'est une photo des cinq frères Guillemot : Michel, Yves, Christian, Gérard et Claude)
Si vous voulez la version caustique, il y a aussi une vidéo de Jim Sterling qui résume l'affaire et qui explique qu'il est super déçu qu'une grande partie de la presse spécialisée ait choisi de rapidement passer l'éponge pour continuer à couvrir les jeux de l'éditeur. Pendant ce temps, le syndicat Solidaires Informatique (anciennement SUD Télécom) a annoncé qu'ils vont attaquer Ubisoft en justice. Ils ne précisent pas encore sur quelle base mais cherchent des témoins. C'est dur de les prendre au sérieux quand leur communiqué de presse est une image utilisant une police qui semble sortie d'un jeu Nintendo. C'est encore plus dur de les prendre au sérieux quand sur le même site on peut lire un ramassis de non-sens, d'exagérations et d'amalgames à propos d'une application traçant les malades du Covid-19.
La réorganisation se poursuit chez Ubi. Christophe Derennes, ancien vice-président d'Ubisoft Montreal va remplacer Yannis Mallat à la tête du studio. Mallat était aussi à la tête des autres studios canadiens (Toronto, Quebec City, Saguenay, Halifax et Winnipeg) et c'est désormais Christine Burgess Quemard, Executive Director in Charge of Worldwide Studios, qui sera en charge. Christophe est le neveu d'Yves Guillemot et a 25 ans de boite. Christine a encore plus d'ancienneté vu qu'elle a rejoint le studio en 1987 en tant qu'employé numéro 5. Ubisoft a aussi annoncé qu'une partie des bonus accordés aux managers dépendront de leur capacité à créer un lieu de travail positif et inclusif.
Si vous voulez la version caustique, il y a aussi une vidéo de Jim Sterling qui résume l'affaire et qui explique qu'il est super déçu qu'une grande partie de la presse spécialisée ait choisi de rapidement passer l'éponge pour continuer à couvrir les jeux de l'éditeur. Pendant ce temps, le syndicat Solidaires Informatique (anciennement SUD Télécom) a annoncé qu'ils vont attaquer Ubisoft en justice. Ils ne précisent pas encore sur quelle base mais cherchent des témoins. C'est dur de les prendre au sérieux quand leur communiqué de presse est une image utilisant une police qui semble sortie d'un jeu Nintendo. C'est encore plus dur de les prendre au sérieux quand sur le même site on peut lire un ramassis de non-sens, d'exagérations et d'amalgames à propos d'une application traçant les malades du Covid-19.
La réorganisation se poursuit chez Ubi. Christophe Derennes, ancien vice-président d'Ubisoft Montreal va remplacer Yannis Mallat à la tête du studio. Mallat était aussi à la tête des autres studios canadiens (Toronto, Quebec City, Saguenay, Halifax et Winnipeg) et c'est désormais Christine Burgess Quemard, Executive Director in Charge of Worldwide Studios, qui sera en charge. Christophe est le neveu d'Yves Guillemot et a 25 ans de boite. Christine a encore plus d'ancienneté vu qu'elle a rejoint le studio en 1987 en tant qu'employé numéro 5. Ubisoft a aussi annoncé qu'une partie des bonus accordés aux managers dépendront de leur capacité à créer un lieu de travail positif et inclusif.