ACTU
Emotion : Seasons of Heaven dévoile son trailer
Salut, bande d'aigris, c'est D. Cage. Comme d'habitude, les raclures de bidet du web qui composent la rédaction de Factornews (que Dieu Orson Welles les maudisse jusqu'à la quinzième génération de consoles Sony) ont salopé le travail de respectables Auteurs.
Je veux bien entendu parler du plus américain des studio français, ou l'inverse, je ne sais plus, Any Arts Production, qui a comme promis dévoilé le premier trailer digne de ce nom de son projet Seasons of Heaven, une exclusivité Nintendo Switch. Alors qu'importe que le studio n'ait plus de pognon, qu'importe qu'il n'ait pas de devkit Switch, qu'importe que la démo soit du in engine Unreal 4 avec des assets génériques filés avec le moteur, qu'importe les animations à la truelle, qu'importe le gros twist de l'enfant à l'hopital qui vit par procuration dans ses rêves, qu'importe messieurs-dames !
Car l'émotion©, la vraie, est là. Un enfant autiste, un chien, une musique envoûtante, tout y est. Dès les premiers accords, j'ai même lâché une larmichette qui est malencontreusement tombée sur le bouton X de mon pad, faisant prendre une douche au personnage de mon prochain jeu que je playtestais. L'émotion, c'est le futur du jeu vidéo, celle qui fera triompher les vrais joueurs contre l'oppresseur Factornews et toute sa clique de mécréants. La Switch tient vraiment son Last Guardian !
Je veux bien entendu parler du plus américain des studio français, ou l'inverse, je ne sais plus, Any Arts Production, qui a comme promis dévoilé le premier trailer digne de ce nom de son projet Seasons of Heaven, une exclusivité Nintendo Switch. Alors qu'importe que le studio n'ait plus de pognon, qu'importe qu'il n'ait pas de devkit Switch, qu'importe que la démo soit du in engine Unreal 4 avec des assets génériques filés avec le moteur, qu'importe les animations à la truelle, qu'importe le gros twist de l'enfant à l'hopital qui vit par procuration dans ses rêves, qu'importe messieurs-dames !
Car l'émotion©, la vraie, est là. Un enfant autiste, un chien, une musique envoûtante, tout y est. Dès les premiers accords, j'ai même lâché une larmichette qui est malencontreusement tombée sur le bouton X de mon pad, faisant prendre une douche au personnage de mon prochain jeu que je playtestais. L'émotion, c'est le futur du jeu vidéo, celle qui fera triompher les vrais joueurs contre l'oppresseur Factornews et toute sa clique de mécréants. La Switch tient vraiment son Last Guardian !