La vérité, la vraie, c'est que depuis la nuit des temps du jeu d'infiltration, j'ai toujours été une buse. Peu importe l'attention que j'y porte et la minutie dont je fais preuve, il y a immanquablement un moment où un garde sorti de nulle part va tout faire foirer, me forçant à finir la map en dézinguant tous les sbires qui courent vers moi. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai laissé tomber petit à petit le genre. Enfin, jusqu'à Metal Gear V : The Phantom Pain.
Foule disclojeure : il convient de noter que le dernier MGS auquel j'ai joué est Metal Gear Solid 3 : Snake Eater, à l'époque où je manifestais encore un intérêt pour les consoles, la télé et la politique, bref tous ces trucs auxquels on arrête de prêter attention vers 22 ans. Vous n'aurez donc pas de mise en contexte par rapport aux derniers opus.