ACTU
Razer lance l'Open Source Virtual Reality
par CBL,
email @CBL_Factor
A la place de présenter un nouveau produit débile au CES, Razer a annoncé un casque de réalité virtuelle. Vendu 200 dollars, il comporte un écran de 5,5 pouces affichant du 1080p@60Hz ainsi que les habituels gyroscope/accéléromètre/boussole, offre un champ visuel de 100 degrés mais n'a pas de système de tracking de la position de la tête.
Mais ce n'est pas vraiment un casque Razer. C'est une version assemblée d'un casque répondant au Open Source Virtual Reality, un initiative lancée par Razer, Gearbox, Leapmotion, Sixense et d'autres. Avec l'explosion de la RV, la création d'un standard ouvert devenait nécessaire afin d'assurer la compatibilité des jeux avec les différents casques du marché. L'OSVR répond à ce besoin sur les deux aspects du problème :
-côté matériel, ils fournissent une liste de composants et des plans d'assemblages pour faire son propre casque
-côté logiciel, le SDK sera évidemment open source
C'est beau sur le papier mais dans les faits il y a quelques soucis. Le premier est que les principaux acteurs du marché de la RV répondent aux abonnés absents à savoir Sony, Oculus, Samsung et Google. On a l'impression que ce standard est surtout un moyen pour les petits de luter contre les gros un peu comme quand trois CE2 se mettent ensemble pour tabasser un CM1. Mis à part Gearbox, les studios de JV sont aussi absents de la discussion mais on commence à avoir l'habitude.
Le second est que la RV n'a rien de fermé. Le SDK de l'Oculus Rift est totelement open source. Quant au projet Google Cardboard, il est accessible à tous et son but est que chacun puisse faire son propre casque de RV. Google recrute d'ailleurs activement dans ce domaine et on ne serait pas surpris de les voir annoncer un Nexus VR au prochain Google I/O.
Mais ce n'est pas vraiment un casque Razer. C'est une version assemblée d'un casque répondant au Open Source Virtual Reality, un initiative lancée par Razer, Gearbox, Leapmotion, Sixense et d'autres. Avec l'explosion de la RV, la création d'un standard ouvert devenait nécessaire afin d'assurer la compatibilité des jeux avec les différents casques du marché. L'OSVR répond à ce besoin sur les deux aspects du problème :
-côté matériel, ils fournissent une liste de composants et des plans d'assemblages pour faire son propre casque
-côté logiciel, le SDK sera évidemment open source
C'est beau sur le papier mais dans les faits il y a quelques soucis. Le premier est que les principaux acteurs du marché de la RV répondent aux abonnés absents à savoir Sony, Oculus, Samsung et Google. On a l'impression que ce standard est surtout un moyen pour les petits de luter contre les gros un peu comme quand trois CE2 se mettent ensemble pour tabasser un CM1. Mis à part Gearbox, les studios de JV sont aussi absents de la discussion mais on commence à avoir l'habitude.
Le second est que la RV n'a rien de fermé. Le SDK de l'Oculus Rift est totelement open source. Quant au projet Google Cardboard, il est accessible à tous et son but est que chacun puisse faire son propre casque de RV. Google recrute d'ailleurs activement dans ce domaine et on ne serait pas surpris de les voir annoncer un Nexus VR au prochain Google I/O.