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Un Rédacteur Factornews vous demande :

 
TEST

Horizon : Zero Dawn

kimo par kimo,  email
Support : PS4
Cela fait un moment maintenant que Sony fait monter la hype autour du nouveau jeu de GuerillaHorizon Zero Dawn. On le sait hélas, plus le soufflé monte, plus il a de chance de dégonfler à l'arrivée. Salué par la presse, le jeu semble toutefois tenir ses promesses. Peut-il convaincre jusqu'aux vieux cons aigris que nous sommes?
Guerrilla Games, studio basé à Amsterdam qui nous sert du Killzone depuis 2004 a donc eu la dure tâche de faire ses preuves sur une nouvelle IP. Killzone brillant plus pour ses exploits graphiques que pour son gameplay, on est forcément intrigué mais un peu méfiant quand on nous annonce que leur prochain jeu sera un TPS open-world avec des robots géants.

Red against the Machines

Horizon : Zero Dawn raconte en effet l'histoire d'une poignée de tribus vivant dans les ruines de ce qui semble être notre civilisation. Peuplé d'animaux-machines, ce nouveau monde a trouvé une sorte d'équilibre entre la nature, et les restes d'un temps révolu. Les humains qui l'habitent chassent désormais les machines comme on chasse le cerf, pour subsister à leurs besoins (ne me demandez pas comment). 
 
Vous y dirigerez Aloy, jeune femme victime des traditions quelque peu discriminatoires de sa tribu. Elevée à l'écart par un père de substitution, celle-ci va progressivement devenir une célébrité au delà des frontières étriquées imposées à son peuple. Armée d'une lance, de son arc, de fronde et diverses armes pas si primitives que ça, notamment des bombes collantes, des mines de proximité ou bien des flèches électriques, notre héroïne va donc tracer son chemin dans le vaste monde. Ce faisant, elle levera le voile sur les raisons de la disparition de notre ancienne civilisation, tout en bravant humains assoiffés de pouvoir et robots devenus fous.


Ce voyage vaut certainement le détour. Les talentueux développeurs de chez Guerrilla savent produire des paysages à couper le souffle. On passe des froides montagnes enneigées aux plaines ensoleillées, des tempêtes de sable du désert et de ses canyons aux pluies abondantes de la jungle luxuriante. Non seulement le jeu en met plein la vue, mais il se paye aussi le luxe d'être à peu près fluide même sur les PS4 du pauvre. Bien sûr, en y regardant de plus près, on peut chipoter. C'est qu'Horizon parie sur l'effet global plutôt que sur le fourmillement de détails qui impressionnent. Et il suffit parfois d'une lumière particulière, ou bien d'un effet de brume, pour que le joueur s'arrête spontanément pour admirer l'espace d'un instant la carte postale qu'il a devant les yeux. Pour les esthètes, un mode photo très complet est inclu et permet d'immortaliser vos meilleurs souvenirs de vacances. Il se pourrait que vous y passiez plus de temps que vous l'imaginez.



L'impression globale plutôt que les détails donc, et ce également pour la progression. Ces changements d’environnements décrochent la machoire, mais ne se concrétisent pas forcément en un changement de feeling. Si le bestiaire des ennemis s’adapte un peu au paysage, les ressources et la faune que le joueur y trouve sont les mêmes et la façon de progresser y est identique, qu'on soit au milieu du désert ou dans le froid des montagnes. En dehors de l'aspect visuel, le terrain de jeu offre donc finalement assez peu de variété. Les secrets et les zones emblématiques y sont rares, ce qui fait que l'exploration n'est au final pas si gratifiante, passé le premier émerveillement.

L'Aloy du plus fort

Pourtant au début, tout porte à croire que la variété des écosystèmes va jouer un rôle important. Chasser les robots et les animaux est censé constituer un élément central du gameplay, mais aussi de la vie des hommes et femmes qu'on croise. Le craft est par exemple incontournable, et pour fabriquer des munitions, il faut récolter des ressources sur les machines, pour les soins, sur les animaux ou les plantes. Hélas, ça n'intervient pas de façon assez significative pour avoir un impact sur le gameplay. Les ressources sont en effet omniprésentes et il n'est pas nécessaire de se rendre en terrain dangereux pour en dénicher de précieuses. Sans principe de rareté, le craft devient une activité un peu pénible et superflue, qui consiste à ramasser tout ce qui traine. De même, abattre un ennemi particulièrement dangereux n'apporte aucun avantage matériel particulier, les ressources les plus rares récoltées par ce biais ne servant à rien, si ce n'est à être revendues pour amasser un pécule guère plus utile. Cela atténue considérablement l’effet de contraste produit par les différents territoires que l’on traverse, qui ne sont au final que de simples (mais magnifiques) décors.

 
Qu’on se rassure cependant, le jeu est loin d’être un simulateur de paysage. Le bestiaire et les ennemis que vous rencontrez ne se contentent pas de faire de la figuration pour votre safari personnel. Robo-dinos, robo-crocos, robo-aigles... si le casting semble tout droit sorti de l’imagination d’un enfant de 9 ans, leur itération virtuelle est souvent bluffante. Cet ensemble forme d'ailleurs un écosystème fondé sur une complémentarité des rôles (berger, troupeaux, charognards) permettant ainsi d'anticiper les réactions de chaque bête face au danger (fuite ou combat). Si c'est assez basique, celà suffit amplement à donner l'illusion d'une vie autonome et cohérente à ce bestiaire animalier. D'ailleurs, chacun de ces robots possède forces et faiblesses. Poignarder furtivement une bande de paisibles « herbivores » n’a rien à voir avec le fait d’affronter un gigantesque robot-bison. Les adversaires les plus puissants peuvent prendre plusieurs minutes à éliminer, du moins tant qu’on n’apprend pas à les abattre efficacement. On peut affaiblir l’ennemi en arrachant ses composants et ses armures, utiliser l’un des trois éléments (glace/foudre/feu) sur différentes parties du corps de la bête, ou bien tenter de faire exploser ses réservoirs d’énergie ou de l'immobiliser. On peut même arracher son arme et s’en servir contre lui, le pirater pour les envoyer se battre contre d'autres géneurs. Il y a aussi rapidement moyen de se servir de certaines espèces comme monture. Une chose est sûre, les adversaires humains font pâle figure en comparaison.



Bref, le jeu n'est pas avare en options, et le feeling des combats est au rendez-vous. C'est en grande partie grâce à la taille et la puissance de vos ennemis. Ajustez le niveau de difficulté à votre limite, et aussitôt, le champ d'action que vous laisse le jeu devient vital pour venir à bout des robots les plus coriaces. Quand on meurt en un ou deux coups de griffes, le combat redevient un principe de chasse, où les proies peuvent devenir prédateurs. Totalement grisante, la traque des specimens les plus dangereux requiert patience, préparation et une tactique basée sur l’apprentissage des points faibles de la cible. Détruire les bons composants furtivement avant de passer à l’action sauvage. Savoir quand fuir, comment neutraliser l’ennemi, où poser des pièges. De même, une bonne connaissance de ses propres armes est un réel atout, et, si la personnalisation de ces dernières reste basique, elle n’en est pas moins essentielle pour en tirer le meilleur parti. Dommage que celà recquiert un peu trop de jongler avec les menus. C’est en tout cas l’atout principal de Horizon, avoir créé un système de combat qui ne s’épuise pas immédiatement dans la toute-puissance du joueur, et lui avoir donné des outils qui ne sont pas seulement là pour déclencher sa créativité meurtrière, mais qui sont des moyens complémentaires pour relever le challenge.

This is Horizon of the Night

C’est d’ailleurs la principale raison pour laquelle on ne s’ennuie pas au bout de quelques heures. Le reste du jeu ne sort en effet pas vraiment du carcan de l’open-world plan-plan, avec ses tours d’observation, son mode détective, son système d'XP, ses collectibles inutiles donnant des récompenses encore plus inutiles et un système de crafting doublé une fois encore – et pour une raison inconnue – d’un inventaire limité dont la gestion est pénible. Sans doute peu inspiré, Guerrilla s’est donc contenté d’un paresseux copié-collé de la formule UBIsoft et de la progression inintéressante qui va avec. L’absence de secret et le peu de spécificité des différentes régions n’aidant pas à y maintenir un quelconque intérêt, une fois les quelques activités disponibles épuisées, le joueur finit par traiter le monde d'Horizon comme celui d'un Far Cry. C’est là que le jeu atteint ses limites, n’étant finalement qu’un recyclage constant des mêmes activités, des même ennemis et des mêmes situations, mais avec un décor différent. Une fois l’euphorie de la découverte passée, la faiblesse des mécanismes de progression rattrapent donc vite le joueur.

Sans doute aussi parce que même si les environnements naturels du jeu sont extrêmement réussis, l’univers présenté au joueur est loin d’être aussi engageant. C’est bien simple, dès qu’on pénètre l’enceinte d’une ville, la magie disparait aussi sec. Les grosses cités - ou plutôt "la" d'ailleurs - sont de simples HUB sans intérêts et sans caractères, composées en fait d'à peine quelques rues. Les différents hameaux et forts rencontrés au sommet de montagnes sont vides de toute activité. L’architecture et l’échelle de ces lieux est décevante, et graphiquement, les constructions humaines sont loin d'être aussi impressionantes que les paysages de plein air. Ces villes et villages se ressemblent tous, en dehors des distinctions visuelles propres à chaque peuplade. Habités par des clones répétant les mêmes phrases en boucle, il n'y a pas de rencontre à y faire, pas d’auberge où dormir ou parier, pas de discussion avec la population locale, mais tout juste un marchand rigoureusement identique aux autres et – rarement – quelques donneurs de quêtes qui se contenteront de phrases de dialogues type « Ma fille/mon mari/mon chien/une patrouille a disparu ».


Ces quêtes secondaire d’ailleurs parlons-en rapidement. Madame Michel a perdu son chat, et après deux phrases de dialogue standard, le joueur va enquêter. Il utilise son focus, suit une piste pendant une ou deux minutes, tue les monstres en bout de piste, et sauve le chat. Voilà l’essentiel des tâches qui vous seront confiées, avec systématiquement ce genre de canevas. Aucune de ces quêtes n’a de réelle influence sur les villages fantômes où on vous les donne. Parfois le donneur de quête disparait même purement et simplement. En dehors du court segment de la loge des chasseurs, qui essaye de donner un peu de poids à vos actions, elles ne donnent aucune récompense particulière. Vous vous retrouvez avec des objets de craft tout à fait ordinaires qui encombrent déjà votre inventaire. Sans motivation narrative ou ludique, ni récompense attrayante, on finit par se désintéresser de ces quêtes bâclées qui remplissent notre temps encore moins bien que la chasse aux collectibles. Pour couronner le tout, quelques problèmes de scripts résiduels feront réagir certains personnages comme si ces quêtes n’avaient pas été complétées lorsque vous les croisez.

Aloycations carnage


 
Reste l’histoire principale. Elle se divise en deux branches. Le récit de la chute de notre civilisation est intrigant et plutôt bien menée, et malgré quelques effets de manche un peu maladroits et un abus d’audiologs et textes à récupérer, on finit par être pris par l'histoire. Ce fil narratif mène Aloy à visiter des laboratoires abandonnés aux quatre coins de la carte, et à découvrir une vérité qui fera forcément contraste quand elle retournera dans sa tribu. Le jeu réserve quelques beaux moments narratifs qui donnent un peu de profondeur à ce parcours initiatique somme toute classique.

La seconde branche, qui décrit les vissicitudes politiques des tribus n'est par contre pas particulièrement réussie, et frise régulièrement le ridicule. Non pas que l'histoire soit mauvaise, mais de nombreuses séquences manquent clairement du souffle épique qu’on est censé y trouver. Problèmes d’ambition, de temps, ou de moyen ? La mise en scène - aussi bien pendant les séquences de jeu que lors des cut-scenes - est à la traine et donne un aspect un peu minable à ces événements. Malgré tous ces défauts et à condition donc de ne pas être trop regardant sur les détails ni sur la forme, l'union des deux récits suffit à maintenir la curiosité du joueur jusqu'au bout, à défaut de concrétiser complétement un excellent potentiel. Horizon est sans doute trop coincé par une structure de jeu très classique et son statut de AAA pour donner pleine dimension à ses ambitions narratives.

 
Au final, Horizon se joue - au moins un temps - avec plaisir. Les grosses premières heures sont fabuleuses, et le joueur n'est rattrapé par les défauts qu'en milieu de parcours. S’il ne révolutionne pas l’open-world AAA classique ni ne pulvérise la concurrence, Horizon propose tout de même une alternative qui fait pencher la balance du côté du gameplay et des graphismes, sans doute un peu aux dépends du reste. C’est un jeu qui fait parfois penser à ReCore, avec lequel il partage de nombreux points communs, mais dans une version plus polie et mieux produite, et donc plus vendeuse. Sans doute grâce à des visuels plus convaincants, un système de jeu plus consensuel et moins contraignant, une finition bien plus sérieuse et, évidemment, un sens du marketing aiguisé, Horizon arrive à convaincre son public, et c'est tant mieux pour lui.

Merci à Max pour ses screenshots, à admirer dans la galerie pour se convaincre de la plastique impressionante du jeu.

Horizon est un bon jeu, mais loin d'être un jeu incroyable. Si son gameplay réjouissant assure, les défauts inhérents à l'open-world et quelques ratés dans la mise en scène de son univers finissent par ternir un peu l'expérience globale. Le jeu a certainement des atouts, mais malgré tout, lorsque la hype sera passée, il est fort possible qu'on s'en rappelle comme d'un énième open-world comme il en existe beaucoup d'autres. Ce n'est pas pour autant une raison pour bouder son plaisir.

SCREENSHOTS

 

Commentaires

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Niko
 
Je suis globalement d'accord avec tout ce qu'a dit kimo dans son test. Par contre je suis bien plus emballé que lui (peut-être parce que j'en suis encore à la phase de découverte). Les ingrédients open world sont effectivement très (très) classiques, mais Guerilla en a fait un très bon dosage.
Laurent
 
C'est bien la première fois que je fais un tuto d'1h sans m'en rendre compte... Tout est si bien intégré : présentation de l'histoire, des personnages, de leur caractère, du monde...
Pour avoir vu un peu de la suite, plus le jeu avance et plus il semble profond...l'histoire d'Aloy se dévoile tout en devenant plus mystérieuse à la fois, les interactions avec les machines sont plus nombreuses, de nouvelles mécaniques de jeu apparaissent, de nouveaux points d'intérèts, et tout ça dans des environnements magnifiques et accompagnés d'une BO très agréable.
Alors effectivement, à voir sur la durée. Sans doute qu'à la 5e attaque de camp, ça devient lourd, mais jusque là ça pousse à avancer et à l'immersion.
Feed
 
Les défauts du jeu sont bien mis en avant par Kimo:
L'inventaire est une plaie à gérer, le loot est assez inutile au final, les changements d'environnement n'ont pas d'incidence sur le gameplay, la partie combat contre les humains est dispensable (de même que cet arc narratif).

Néanmoins, pour une certaine frange de joueur, ceux qui ont aimé les derniers Tomb Raider, qui apprécient le côté chasse de Monster Hunter, le côté exaltant d'apprendre à connaître une machine, ses points faibles, préparer ses batailles et triompher, il y a beaucoup de plaisir à prendre.
Les décors, bien qu'ils n'influent pas sur le gameplay sont un magnifique cadre pour les combats. Les outils mis à disposition pour engager les machines sont nombreux, entre la furtivité, la mise en place de piège, le fait de contrôler ou corrompre une autre machine pour se faire aider ou distraire simplement... En bref, il y a vraiment de quoi s'amuser.

A côté de ça, la trame principale pousse à avancer, découvrir les origines de ce monde mystérieux (si on y est sensible). Et les décors, ruines et vestiges oubliés interrogent forcément. Que s'est-il passé pour que le monde qu'on connaît ait pu devenir ainsi?

Si ces 2 axes vous touchent, il y a de grandes chances que vous preniez beaucoup de plaisir à jouer à Horizon.
Si les défauts mis en exergue par Kimo vous semblent rédhibitoires en revanche, il y a un autre open-world qui vient de sortir qui sera peut être plus à votre goût.
kimo
 
Le test semble peut être un peu négatif, parce qu'il commence sur le bon et finit sur le moins bon, et l'expérience évidemment dépend aussi beaucoup de la façon dont on y joue, comme dit dans le test, si on ne s'éloigne pas trop de la quête principale, j'imagine les défauts sont beaucoup moins visibles.

Je considère que c'est plutôt un bon jeu, même si assez classique. Le truc cool, c'est que même s'il ne réussit pas à transcender le genre en assurant sur tous les fronts, il propose quand même un autre équilibre, ce qui lui permet quand même de ne pas être un jeu générique non plus. Il met en avant le gameplay, ce qui dans les open world n'est pas tjrs le cas, l'aspect bac à sable expérimental ayant tendance à prendre le pas sur le reste. Là ça pourrait être un jeu couloir arcade avec le même système de combat, ça passerait tranquille.

Au final, je rejoins Feed, l'offre en action aventure open-world est suffisamment large et de qualité pour trouver son bonheur. Chaque jeu a un peu ses points forts, il n'y a rien de honteux à ne pas faire l'open world ultime, surtout si pour des jeux de cette qualité.
Ouhlala
 
Je suis à 68% du jeu, et pour le moment j'ai plutot le même avis que Feed . Jeu agréable mais avec de bonnes lourdeurs : La partie inventaire est ultra pénible, les flèches de direction sont aussi assez mal gérées, et la caméra souvent bien trop proche rendant difficile certaines quêtes/combats.
Les gros points positifs, c'est le visuel (hors village/ville) qui est à tomber, et la partie chasse animal ( l'animation des monstres métalliques est aussi superbe) .Au final, je crois que ce jeu m'a fait rêver d'un Monster Hunter, ou d'un Zelda avec ce niveau technique, et cet univers, mais pas forcément de me faire un éventuel Horizon 2..
__MaX__
 
Je vais pas répéter ce qui a été dit, de toute façon Feed resume bien ce dont on a parlé en long et en large en y jouant "ensembles" avec l'oreillette PS4 sur une Party.

Même si le rythme et le découpage scénaristique est amplement améliorable... je suis jouasse, ils viennent d'annoncer qu'ils bossent sur une extension. Je suis pas forcément du genre à demander du contenu additionnel, mais s'il est au moins aussi bon que le jeu ou que les DLCs de TW3, je suis client.
sese_seko
 
Trop de jeux intéressants, pas assez de temps et de sous.

Je le prendrai lors d'une solde du PSN.
Laurent
 
2.6 Millions de copies vendues en 2 semaines : Guerrilla Games a de quoi se réjouir
noir_desir
 
J'aurais pas pensé que le jeu percerai autant, au vu des tests gk et celui-ci. Il a l'air bien sans plus. Surtout que c'est une belle performance pour une licence non installée.
__MaX__
 
Relis le commentaire de kimo un peu plus haut, le jeu a des faiblesses, il tire ses influences dans les canons du genre, mais ça n'en fait pas un jeu "bien sans plus"... enfin perso, j'ai toujours perçu l'expression "bien sans plus" comme plutôt négative. Quand quelqu'un me dit ça, j'entends "ouais tu peux passer ton chemin". Alors qu'Horizon, je motiverais n'importe qui à le faire plutôt que n'importe quel Assassin's Creed ou FarCry sans hésiter.
GTB
 
J'ai lu surtout du positif à son sujet en tout cas. Pas parfait, c'est sûr, mais l'expérience globale semble franchement agréable.
Laurent
 
Un autre bon point de ce jeu, ce sont les dialogues vraiment bien écrits, notamment lors des réparties incisives d'Aloy.
Son visage est aussi très expressif, même si ce n'est pas le cas des personnages secondaires.
Bon, par contre, si on s’arrête prendre chaque plante, on se retrouve vite avec une foret dans son sac à dos...
kimo
 
@noir_desir

c'est une licence nouvelle, mais c'est pas sûr que ce soit pas un argument de vente ces temps ci. Surtout avec le rouleau compresseur marketing qu'il y a eu, difficile d'échapper au "phénomène". Plus les graphismes sublimes et le début d'aventure très impressionnant qui doit pas mal aider le bouche à oreille.

Vu que ce qui sort ces temps-ci côté AAA, un jeu comme Horizon sort forcément un peu du lot. Pour ça, il n'y a pas besoin d'être follement original.
noir_desir
 
kimo a écrit :
@noir_desir

c'est une licence nouvelle, mais c'est pas sûr que ce soit pas un argument de vente ces temps ci. Surtout avec le rouleau compresseur marketing qu'il y a eu, difficile d'échapper au "phénomène". Plus les graphismes sublimes et le début d'aventure très impressionnant qui doit pas mal aider le bouche à oreille.

Vu que ce qui sort ces temps-ci côté AAA, un jeu comme Horizon sort forcément un peu du lot. Pour ça, il n'y a pas besoin d'être follement original.
C'est sûr mais une franchise bien implanté sert à vendre, uncharted 4 si ca n'avait pas été une nouvelle franchise pas sûr qu'il se serait aussi bien vendu.
kimo
 
sûrement, mais j'ai tendance à penser - peut-être à tort - que pas mal de gamerssont aussi très content de voir débarquer de nouvelles licences AAA, et que c'est donc un réel argument de vente. Ce qui ne veut pas dire que je pense qu'être une suite est forcément un désavantage non plus. Il y a un moment où de toutes façons, vu la comm' qui est faite autour du jeu le fait que ce soit une nouvelle licence ou pas ne change plus grand chose, à part la façon dont on vend le truc.

Personnellement, je ne considère pas que ce soit forcément plus risqué,à ce niveau de production,de faire une nouvelle licence. C'est tout autant casse gueule que de vouloir donner une suite à une licence qui s'essouffle où dont la suite pourra passer pour fade, ou "encore la même chose". Au final, il s'agit surtout de faire un jeu plutôt bon avec la bonne comm et un peu de chance pour créer un phénomène.
Laurent
 
Pour moi ce qui m'a fait acheter le jeu (et la console au passage), c'est l'univers original au titre (mélange de clanisme et de post-apo), le monde ouvert et le degré de finition de l'ensemble.
Après pas sur que si ils font 3 jeux dans ce même univers, l'appel sera toujours là, mais on verra bien.
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