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Un Rédacteur Factornews vous demande :

 
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Eternal Starlight

ZeP par ZeP,  email  @Ze_PilOt
Développeur / Editeur : White Noise Games
Supports : Steam / VR / Oculus Quest
Prenez le prémisse d’Homeworld, mais sur terre : Elle est foutue, c’est fini, faut partir. Sauf qu’apparemment, on n’était pas seul dans l’univers. Mélangez le gameplay du même Homeworld et de FTL/Crying sun, et vous aurez une bonne idée de ce qu’offre Eternal Starlight.
Comme FTL donc, le jeu est un rogue-lite où le but sera d’équiper votre vaisseau afin de surmonter les menaces à venir. Vous pourrez donc améliorer les boucliers, l’armure,... mais aussi débloquer des ports d’armes, des modules d’améliorations pour ces armes et des capacités spéciales pour votre vaisseau. Ces upgrades sont disponibles dans des boutiques ou sur les cadavres de vos ennemis, et peuvent être revendus pour améliorer vos systèmes. Grosse différence par rapport à son modèle : Vous pouvez également acheter une flotte de chasseurs.



En combat, votre vaisseau mère dispose d’une interface holographique. C’est dans celle-ci que vous allez commander et déplacer votre flotte dans les trois dimensions. C’est ici que l'interêt de faire le jeu en VR devient évident : vous changez d’échelle de combat en écartant ou rapprochant les mains : on passe d’une échelle où les vaisseaux ont la taille de petits jouets -très satisfaisant- à celle où ils ont la taille de voitures. Vos ordres de déplacement vont se faire en dessinant le chemin à faire parcourir aux vaisseaux. VR oblige, la compréhension de l’espace est immédiate, et les manoeuvres les plus compliquées, comme faire pivoter votre vaisseau sur 3 axes pour présenter votre coque la plus blindée à l’ennemi, sont d’une limpidité et d’une facilité d'exécution qui n’aurait pas été possible à la souris (imaginez déplacer et pivoter un objet sur 3 axes en un seul mouvement à la souris….)



Les premières victoires seront relativement faciles, mais il vous faudra vite faire bon usage des modules les plus avancés, comme un bouclier temporaire infranchissable (mais où vont-ils chercher tout ça ?), de mini-sauts en hyperespace pour faire des embûches incroyables, ou d’un rayon hache. Il faudra aussi profiter des nébuleuses vous rendant invisible et des astéroïdes pouvant offrir protection et thunes. Et cibler intelligemment les systèmes ennemis, bien sûr. S’il n’y a pas de gestion d’équipage, agrandir votre flotte va augmenter le micro-management des combats, vous permettant diversions et prises en tenailles. 




Les missions commencent par un petit dialogue à choix multiples pouvant mener à plusieurs situations de combats différentes, mais surtout faire augmenter, ou diminuer, les jauges de relations avec les différentes races. Les combats tactiques vont du simple “détruire tous les ennemis” aux missions d’escorte, de scannage de zones, de défenses de point,.. Je dois bien avouer ne pas encore être arrivé au bout du jeu, mais la multitude et la diversités des armes, ainsi que la promesse d'autres vaisseaux-mère à débloquer, semble indiquer une durée de vie conséquente.

 
 
Doté d’un style low poly simple et efficace, Eternal Starlight propose une expérience proche de FTL -on a connu pire référence- avec des combats tactiques proche d’homeworld que seul la VR pouvait offrir. Un rogue-lite très recommandable au petit goût de reviens-y qui a bien sa place sur Quest (dispo également sur SteamVR).
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