TEST
D.Cage présente : le test d'Inside
Développeur / Editeur : Playdead
Salut, bande de nazes, c’est D.Cage. Oui, vous pouvez vous prosterner, je ne m’en offusquerai pas. Vous pensiez que ces gredins de Factornews allaient tranquillement fêter leurs 15 ans sans que j’intervienne ? Que nenni ! Après tout, ces furoncles ne font que me dénigrer. Et quand ils ne le font pas, c’est pour annoncer ma mort sur Wikipédia. Si si, je vous jure ! Alors quand ils sont venus me voir à l’E3, je les ai bien envoyé chier. Tac ! Nananère ! Bien fait ! Toi même ! Et pour finir de gâcher votre petite sauterie, j’ai décidé de vous parler d’un jeu que j’ai détesté : Inside.
Inside, autant vous le dire tout de suite, c’est tout pourri. Déjà, les mecs de Playdead, ils veulent faire un jeu narratif… sans aucun dialogue. Ah ah ah, les cons ! Je peux vous dire qu’à Quantic Dream, si on avait eu un département game design, on s’y serait bien marré. Dans leur bouse, il y a un petit garçon qui visiblement s’est perdu. Deuxième énorme erreur : on joue directement ledit garçon ! Alors que tout bon créateur aurait décidé de faire jouer l’un des parents, en appuyant sur X pour rechercher son rejeton. Maximum émotion.Alors je dois leur concéder quelques bons points. Il y a très peu de touches de gameplay et la palette gris-marron est tout à fait à mon goût. Il y avait là un terreau fertile pour un maximum d’émotions. Mais là encore, c’est foiré. Aucune musique de cinéma frissonnante, trop d'énigmes, trop de gameplay, aucun personnage qui pleure et aucune explosion. En plus, les mecs ont fait leur jeu en 3D, mais restent sur du gameplay classique en 2D. Les cons.
Et puis parlons de l’histoire. Moi, j’y ai rien compris : pas de méchants bien identifiés, des passages obscurs et une fin complètement lolesque. En plus, ça manquait d’aliens. Franchement, ces jeux cérébraux qui laissent le joueur se creuser le ciboulot pour l’interpréter à sa propre manière, moi ça me laisse de marbre.
Inside, c’est vraiment l’antithèse d’un jeu Quantic Dream. Franchement c’est nul, mais il parait que ces cons de Factor, ils adorent. C’est vraiment des branques. Je leur souhaite de mourir pour leurs 15 ans.