ACTU
Zachtronics annonce Exapunks
par Nicaulas,
email @nicaulasfactor
Après avoir changé définitivement la face du jeu vidéo avec Infiniminer (un bac à sable plein de cubes que Notch a repompé pour lancer le raz de marée Minecraft), Zachary Barth (a.k.a. Zachtronics Industries) a publié une série de jeux tous dans la même veine, qu'on pourrait qualifier de "gamification de la programmation industrielle". SpaceChem, Infinifactory, TIS-100, Shenzen I/O et dernièrement Opus Magnum, tous reposent sur le même principe : on donne au joueur des ressources et une boîte à outils en lui demandant d'agencer tout ça pour automatiser la production d'un produit en sortie. Les skins et la rusticité des outils peuvent changer (on vous conseillerait de commencer par Opus Magnum ou Infinifactory qui sont peut-être les plus abordables). Ca a l'air chiant dit comme ça, mais en réalité c'est fascinant, surtout quand on se met à comparer ses propres solutions à celles des autres joueurs et qu'on se rend compte qu'il existe des moyens plus élégants et économes d'aboutir au même résultat.
C'est donc avec un réel enthousiasme qu'on apprend l'arrivée prochaine en accès anticipé d'Exapunks, nouvelle création Zachtronics. Le pitch fait très "Neuromancer" de Gibson : on incarne un hacker du futur (du futur de 1997, certes) qui chope une saloperie qui attaque son système nerveux, et se retrouve à enchaîner les contrats de hacking plus ou moins douteux pour se payer des doses d'antidotes. Avant de devoir se mettre à hacker son propre corps pour régler définitivement le problème. Pour le joueur, il s'agira donc "d'écrire" des virus informatiques et de les lancer à l'assaut de panneaux de signalisation, de banques, d'hôpitaux, etc. De la documentation sera intégrée sous la forme de hackzines à lire dans le jeu. En toute logique, l'early access devrait durer à peu près 6 mois.
C'est donc avec un réel enthousiasme qu'on apprend l'arrivée prochaine en accès anticipé d'Exapunks, nouvelle création Zachtronics. Le pitch fait très "Neuromancer" de Gibson : on incarne un hacker du futur (du futur de 1997, certes) qui chope une saloperie qui attaque son système nerveux, et se retrouve à enchaîner les contrats de hacking plus ou moins douteux pour se payer des doses d'antidotes. Avant de devoir se mettre à hacker son propre corps pour régler définitivement le problème. Pour le joueur, il s'agira donc "d'écrire" des virus informatiques et de les lancer à l'assaut de panneaux de signalisation, de banques, d'hôpitaux, etc. De la documentation sera intégrée sous la forme de hackzines à lire dans le jeu. En toute logique, l'early access devrait durer à peu près 6 mois.