Avant même qu'on sache vraiment à quoi Scrolls allait ressembler, le second jeu de Mojang avait déjà acquis une célébrité frisant l'insolence. Pour commencer, après l'énorme succès de Minecraft, les projecteurs étaient déjà tous braqués sur le prochain titre du développeur Suédois. Les juristes de ZeniMax Media, société mère de Bethesda Game Studios, ont par ailleurs considéré que le nom Scrolls évoquait trop leur licence phare The Elder Scrolls, au risque selon eux d'une confusion qui aurait nuit, on ne sait trop comment, au mastodonte du RPG. Après des mois d'une bataille juridique médiatisée bien au-delà de la sphère vidéo-ludique, un accord est finalement trouvé et Mojang est autorisé à conserver Scrolls à condition de ne pas en déposer la marque. Bien, mais tout ça pour quoi, finalement ?