ACTU
Ubisoft : Libé passe à l'attaque
par CBL,
email @CBL_Factor
L'article d'Erwan Cario et de Marius Chapuis paru à la une de Libération aujourd'hui commence par un fait réfutable qui a du faire sourire Ubisoft vu qu'ils sont qualifiés de "numéro 3 mondial du secteur". Mais on espère qu'ils ont tiré la tronche en lisant le reste de l'article car c'est atterrant. Erwan et Marius ont interviewé des employés actuels et anciens d'Ubisoft Paris pour comprendre ce qu'il se passe au sein même de la surpuissante équipe éditoriale qui a droit de vie et de mort sur les projets du studios.
Derrière un paywall, on vous conseille de lire l'article si vous voulez des détails, mais grosso modo, il confirme tout ce qui a été balancé sur Twitter à l'encontre de Tommy François (VP de l’équipe éditoriale) et d'un certain M.B. Libé nomme aussi leur patron et chief creative officer d'Ubisoft, Serge Hascoët, qui ne semble pas trop inquiet des agissements de ses subordonnés, et qui participerait même à la culture sexiste des bureaux.
L'article confirme aussi que les RH protègent les dirigeants du studio au mépris des employés tout en essayant de minimiser les actes histoire que les têtes pensantes n'aillent pas voir ailleurs. Un article venant cette fois de Gamasutra est tout aussi consternant et confirme que le service RH des autres studios est tout aussi passif et complice. Il est question de filer des cartes cadeau à une victime pour la faire taire chez Ubisoft North Carolina...
Ubisoft ne confirme pas la mise à pied de Tommy François. L'avocat de ce dernier dément l'ensemble des faits reprochés à son client. Il explique que les victimes auraient dû saisir la justice afin de lui permettre de démontrer que tout est faux. Comprenez : "vous ne pouvez rien prouver".
Derrière un paywall, on vous conseille de lire l'article si vous voulez des détails, mais grosso modo, il confirme tout ce qui a été balancé sur Twitter à l'encontre de Tommy François (VP de l’équipe éditoriale) et d'un certain M.B. Libé nomme aussi leur patron et chief creative officer d'Ubisoft, Serge Hascoët, qui ne semble pas trop inquiet des agissements de ses subordonnés, et qui participerait même à la culture sexiste des bureaux.
L'article confirme aussi que les RH protègent les dirigeants du studio au mépris des employés tout en essayant de minimiser les actes histoire que les têtes pensantes n'aillent pas voir ailleurs. Un article venant cette fois de Gamasutra est tout aussi consternant et confirme que le service RH des autres studios est tout aussi passif et complice. Il est question de filer des cartes cadeau à une victime pour la faire taire chez Ubisoft North Carolina...
Ubisoft ne confirme pas la mise à pied de Tommy François. L'avocat de ce dernier dément l'ensemble des faits reprochés à son client. Il explique que les victimes auraient dû saisir la justice afin de lui permettre de démontrer que tout est faux. Comprenez : "vous ne pouvez rien prouver".