ACTU
Free-to-play ou la ploutocratie appliquée aux jeux vidéo
par CBL,
email @CBL_Factor
A voir le nombre de free-to-play qui sortent sur smartphones, on aurait tendance à penser que c'est une économie rentable. Et c'est le cas. Selon une étude récente, les revenus des freemium ont augmenté de 211% l'année dernière et représentent 92% des revenus de l'App Store et de Google Play. Et pourtant il n'y a que très peu de gens qui donnent des sous.
80% des développeurs interrogés dans cette étude ont répondu que seuls 5% de leurs utilisateurs ne filent du pognon chaque mois. Selon une autre étude, ce serait même uniquement 1,5% des joueurs qui sont passés à la caisse en janvier. 10% d'entre eux (soit 0.,15% de l'ensemble des joueurs) sont même responsables de 50% des ventes.
Voilà à quoi tient le modèle free-to-play. Les smartphones étaient une plateforme prometteuse mais a été ruinée car une ultra-minorité de joueurs lâchent quelques dollars pour que leur imp creuse plus vite dans Dungeon Keeper. Il y a pourtant des développeurs qui essayent de faire les choses bien en sortant des bons jeux sans in-app purchase honteux. Mais ils sont confrontés à l'autre plaie du mobile : les clones.
80% des développeurs interrogés dans cette étude ont répondu que seuls 5% de leurs utilisateurs ne filent du pognon chaque mois. Selon une autre étude, ce serait même uniquement 1,5% des joueurs qui sont passés à la caisse en janvier. 10% d'entre eux (soit 0.,15% de l'ensemble des joueurs) sont même responsables de 50% des ventes.
Voilà à quoi tient le modèle free-to-play. Les smartphones étaient une plateforme prometteuse mais a été ruinée car une ultra-minorité de joueurs lâchent quelques dollars pour que leur imp creuse plus vite dans Dungeon Keeper. Il y a pourtant des développeurs qui essayent de faire les choses bien en sortant des bons jeux sans in-app purchase honteux. Mais ils sont confrontés à l'autre plaie du mobile : les clones.