ARTICLE
Les Fact'Or 2023
Pour conclure ce dossier, on peut dire que... Comment ça un nouveau ? Non mais il était pas là en 2023 donc bon, son avis... Oui, ok il est embauché, c'est bien... Mais je viens de finir le dossier, tu sais combien de temps ça m'a pris ?... Non, je compte pas mes heures mais... Comment ça pas de prime de fin d'année ? MAIS QUELLE PRIME DE FIN D'ANNEE ?
Hmm, bon, c'est qui ce... Je cherchais un terme, mais Connard ça colle. Ah, c'est son nom ? Mais euh, pourquoi ? Parce que c'était un petit caïd à Wow dans sa jeunesse ? Ah bah super... bon, alors je vais rester poli parce que j'ai autre chose à faire mais à quoi il a joué cette année, Monsieur Connard ?
Eh oui, nouveau venu à la rédaction mais déjà parmis nous sur le Discord Factor depuis un an, Connard vient renforcer nos rangs et semble n'avoir rien à envier à ses collègues expérimentés en terme de nombre de jeux faits cette année.
Comme d'habitude maintenant dans ce dossier, on va commencer par ses déceptions :
- Starsiege: Deadzone, un "corridor extraction shooter" pour lequel la critique sera rapide : "vide et chiant".
- Elex II, le RPG dont il a trouvé le gameplay mauvais, les visuels moches et dont l’écriture lui a déclenché des hémorragies cérébrales. Il envie ceux qui, plus ouverts d'esprit que lui, aiment ce jeu parce que dans son cas, le jeu a plutôt été une source de motivation pour qu'il aille faire son ménage
On continue avec des titres qui auraient pu être biens mais qui se sont avérés moyens :
- Solasta: Crown of the Magister, l'autre jeu D&D5 qui lui a fait réaliser que en fait, c’est nul D&D.
Pour lui le système de D&D est inutilement compliqué, inadapté au jeu-vidéo et extrêmement difficile à tutorialiser. Il aura trouvé certains dialogues sympas mais d’autres assez maladroits, rendant l’histoire plutôt moyenne. Il y a quand même passé un bon moment mais c'est principalement parce qu'il y a joué en coop.
- From Space, malheureusement très médiocre, et même si "la malédiction de la médiocrité est qu’on a besoin d’elle pour mieux apprécier l’excellence", le fait est qu'on désire tout de même l’éviter. Pour lui, peut-être que les visuels tous mignons et l’action correcte pourraient être prétextes à jouer avec ces amis que vous ne croisez pas assez souvent, s’ils acceptent de payer quinze euros.
- Into The Breach, dans lequel il n'a pas réussi à rentrer (peut-être lancé dans une mauvaise période de sa vie). Il y aura donc joué 3 heures avant de le fermer pour ne plus y toucher et ça semble être quelque chose qui lui arrive de plus en plus souvent avec les jeux solo.
- Endless Space 2, est pour lui le jeu qui n’arrive pas à combler ses désirs d’espace et qui ne soit pas non plus Elite: Dangerous. Il avoue y retourner souvent, attiré par ses rêves de space opéra et de 4X, y jouer quelques heures puis, déçu que ses fantasmes ne soient pas remplis par ce très bon jeu, fini par le mettre de de côté pour y revenir l’année suivante. Il devrait donc en toute logique le relancer en 2024.
- No Man’s Sky, un jeu qui l'aura longtemps paralysé devant sa quantité astronomique de contenu. Il se sera finalement tout de même bien amusé à récolter des ressources, construire des maisons, chercher des vaisseaux à son goût, tenter de faire fortune, avant de se dire que finalement, le contenu est large mais peu profond, la plupart des tâches ne donnant qu’une sensation modérée d’accomplissement, ou étant plus simplement gâchées par une expérience utilisateur pas toujours optimale. En plus le coop n’est pas très bien implémenté.
- Satisfactory est pour lui une valeur sûre dans les jeux d’industrialisation et d’automatisation. Il a fini par le lancer en avril dernier et s'y est bien amusé pendant une semaine avant de le fermer et de ne plus jamais le relancer.
- Midnight Fight Express, pour le plein de baston qu'il procure même si il lui manque un peu de polish et possède une histoire à se crever les yeux. C’était pas mauvais selon lui mais il a été soulagé qu'il ne dure que cinq heures.
- World Of Warcraft: Dragonflight qu'il qualifie de "Meilleure source d’ennui à payer mensuellement". En fan de Wow, il a joué à toutes les mises à jour majeures et aime toujours autant les raids mais, cette fois, la difficulté lui a semblé bien basse au point de rouler sur les bosses. Éventuellement à jouer avec les bonnes personnes.
Passons à une catégorie originale, les jeux auxquels il était plus souvent mort qu'en train de jouer :
- Hunt: Showdown, qui visiblement est plus fort que lui et où il regarde donc plus souvent les autres jouer en attendant sa résurrection qu'à chasser.
- Risk of Rain 2, ou il déplore que quoi qu'ils fassent, l'un ou l'autre des joueurs passera toujours trop de temps à regarder l'autre jouer après être mort. Il avait adoré le premier jeu, il y a fort longtemps, et pour lui le passage à la 3D a amené son lot de complexification tout en restant fondamentalement le même jeu. Ce qui l'amène à se dire que c'est peut-être lui qui a changé depuis et qu'il n'apprécie plus autant la formule la formule.
On passe à la catégorie des jeux pas mal du tout :
- HELLCARD, un petit jeu de cartes en early access sympathique, dérivé de Book of Demons. Il a trouvé le contenu un peu léger même si il aura apprécié ses quelques parties à deux avec sa compagne.
- Ixion, qu'il a beaucoup aimé, au point d’y jouer 22 heures en deux sessions, dont toute une nuit. Comme d'autres, il aura dû recommencer un chapitre suite à un bug sur la répartition de nourriture mais il en garde un bon souvenir sinon.
- Against The Storm, un jeu dont il aurait pu écrire le test si il en avait pris le temps. C'est sur une recommandation de Rock, Paper, Shotgun qu'il se sera jeté sur ce joyau mélangeant gestion de village et roguelite, sur lequel il a également passé une nuit entière. Le jeu est sorti d’early access en décembre et il caresse encore l’idée d’en faire un test un jour.
- Northgard auquel il joue en coop et les parties plutôt courtes pour un 4X lui permettent de ne pas se lasser ni de devoir réserver un mois avec des gens pour en voir la fin. Il fait remarquer que ce sont encore des vikings, mais qu'il paraît que les joueurs aiment les vikings. Ce sont probablement les successeurs des nazis et des zombies.
On arrive à la catégorie des très bons jeux auxquels il aura joué en 2023 :
- Nobody Saves The World dont le défaut de rythme dû aux allers et retours entre le jeu et ses menus est fort heureusement compensé par l’humour et les réflexions de synergies possibles entre les métamorphoses loufoques proposées. Un jeu d’aventure plein de bonne humeur.
- The Gunk, un jeu "Joli, relaxant, court mais bien dosé. En un mot : agréable".
- Last Call BBS, un jeu plein de puzzles. Des puzzles faciles et des puzzles difficiles, avec une interface qui est parfois elle-même un puzzle à résoudre. En bonus, une fiction touchante pleine de nostalgie via un regard sur une vie passée dans une époque où le monde était différent.
- The Pale Beyond, un jeu qu'il n’aurait jamais acheté si il n'avait pas fait partie de l’Humble Choice. C'est pour lui une pépite encore un peu brute mais qui l’aura tout de même conquis. Le jeu n’offre pas particulièrement de défi mécanique mais l’aventure, au cœur du désert gelé de l’Antarctique, aura résonné avec son imaginaire et ses attirances pour les récits d’exploration et de camaraderie.
- Expeditions: Rome, un jeu de rôle en partie en latin avec des romains, des combats au tour par tour, du sang et le tout bien enrobé dans un jeu de rôle bien écrit. "Un délice !"
- Hardspace: Shipbreaker, le jeu qui permet de découper des vaisseaux dans l’espace sur des airs musicaux empreints d’Americana. Un titre au capitalisme sans limite, avec son aliénation et son exploitation totale de la force ouvrière, qui est pourtant étonnamment relaxant.
- Ozymandias: Bronze Age Empire Sim, un jeu qu'il aura aimé pour être un 4X visuellement et mécaniquement simple, dans un moyen-orient qui le fait toujours rêver. Premier jeu qui lui aura sérieusement donné envie d’écrire un test si sa flemmite aiguë et son manque de confiance en lui maladif ne l’avaient pas retenu. Il dit un grand merci à Rozzo et lui laisse un <3.
- Children of Morta qui est un super roguelike à jouer à deux avec son ou sa chéri(e) et proposant une histoire centrée autour d’une famille étendue et de leur lutte pour sauver leur monde. Pour lui, c'était Hades avant l’heure, avec des personnages attachants, des animaux mignons, et une courbe de difficulté qui varie grandement. Et c’est aussi très joli.
- Payday 3, un bon jeu mais à ne payer que 10 balles plutôt que 60 grâce au Xbox Game Pass. Il nous raconte que tenter de terminer les difficultés les plus élevées sans déclencher d’assaut de la police aura été une super expérience. Les parties plus mouvementées et violentes ont aussi été plutôt sympa, mais le nombre assez peu élevé de niveaux différents lui aura permis d’en faire assez rapidement le tour. S’il suit la trajectoire de son grand frère, il y aura sans doute une grande quantité de contenu additionnel, à condition de repasser à la caisse, dans les prochaines années.
On termine avec ses 2 coups de coeur à savoir Slay The Spire et Monster Train qu'il qualifie tout simplement de "meilleurs trous noirs de sa vie". Il avoue qu'il craque parfois et relance l'un ou l'autre, les deux titres l'aspirant alors dans une "furie joueuse" et que le “allez, une partie de plus” se transforme alors en nuit de jeu et/ou manquements à ses devoirs. Il l'avoue lui-même : Il. Doit. Se. Retenir.
Hmm, bon, c'est qui ce... Je cherchais un terme, mais Connard ça colle. Ah, c'est son nom ? Mais euh, pourquoi ? Parce que c'était un petit caïd à Wow dans sa jeunesse ? Ah bah super... bon, alors je vais rester poli parce que j'ai autre chose à faire mais à quoi il a joué cette année, Monsieur Connard ?
L'année vidéoludique de Connard
Eh oui, nouveau venu à la rédaction mais déjà parmis nous sur le Discord Factor depuis un an, Connard vient renforcer nos rangs et semble n'avoir rien à envier à ses collègues expérimentés en terme de nombre de jeux faits cette année.
Comme d'habitude maintenant dans ce dossier, on va commencer par ses déceptions :
- Starsiege: Deadzone, un "corridor extraction shooter" pour lequel la critique sera rapide : "vide et chiant".
- Elex II, le RPG dont il a trouvé le gameplay mauvais, les visuels moches et dont l’écriture lui a déclenché des hémorragies cérébrales. Il envie ceux qui, plus ouverts d'esprit que lui, aiment ce jeu parce que dans son cas, le jeu a plutôt été une source de motivation pour qu'il aille faire son ménage
Elex 2
On continue avec des titres qui auraient pu être biens mais qui se sont avérés moyens :
- Solasta: Crown of the Magister, l'autre jeu D&D5 qui lui a fait réaliser que en fait, c’est nul D&D.
Pour lui le système de D&D est inutilement compliqué, inadapté au jeu-vidéo et extrêmement difficile à tutorialiser. Il aura trouvé certains dialogues sympas mais d’autres assez maladroits, rendant l’histoire plutôt moyenne. Il y a quand même passé un bon moment mais c'est principalement parce qu'il y a joué en coop.
- From Space, malheureusement très médiocre, et même si "la malédiction de la médiocrité est qu’on a besoin d’elle pour mieux apprécier l’excellence", le fait est qu'on désire tout de même l’éviter. Pour lui, peut-être que les visuels tous mignons et l’action correcte pourraient être prétextes à jouer avec ces amis que vous ne croisez pas assez souvent, s’ils acceptent de payer quinze euros.
- Into The Breach, dans lequel il n'a pas réussi à rentrer (peut-être lancé dans une mauvaise période de sa vie). Il y aura donc joué 3 heures avant de le fermer pour ne plus y toucher et ça semble être quelque chose qui lui arrive de plus en plus souvent avec les jeux solo.
- Endless Space 2, est pour lui le jeu qui n’arrive pas à combler ses désirs d’espace et qui ne soit pas non plus Elite: Dangerous. Il avoue y retourner souvent, attiré par ses rêves de space opéra et de 4X, y jouer quelques heures puis, déçu que ses fantasmes ne soient pas remplis par ce très bon jeu, fini par le mettre de de côté pour y revenir l’année suivante. Il devrait donc en toute logique le relancer en 2024.
- No Man’s Sky, un jeu qui l'aura longtemps paralysé devant sa quantité astronomique de contenu. Il se sera finalement tout de même bien amusé à récolter des ressources, construire des maisons, chercher des vaisseaux à son goût, tenter de faire fortune, avant de se dire que finalement, le contenu est large mais peu profond, la plupart des tâches ne donnant qu’une sensation modérée d’accomplissement, ou étant plus simplement gâchées par une expérience utilisateur pas toujours optimale. En plus le coop n’est pas très bien implémenté.
No Man's Sky
- Satisfactory est pour lui une valeur sûre dans les jeux d’industrialisation et d’automatisation. Il a fini par le lancer en avril dernier et s'y est bien amusé pendant une semaine avant de le fermer et de ne plus jamais le relancer.
- Midnight Fight Express, pour le plein de baston qu'il procure même si il lui manque un peu de polish et possède une histoire à se crever les yeux. C’était pas mauvais selon lui mais il a été soulagé qu'il ne dure que cinq heures.
- World Of Warcraft: Dragonflight qu'il qualifie de "Meilleure source d’ennui à payer mensuellement". En fan de Wow, il a joué à toutes les mises à jour majeures et aime toujours autant les raids mais, cette fois, la difficulté lui a semblé bien basse au point de rouler sur les bosses. Éventuellement à jouer avec les bonnes personnes.
Passons à une catégorie originale, les jeux auxquels il était plus souvent mort qu'en train de jouer :
- Hunt: Showdown, qui visiblement est plus fort que lui et où il regarde donc plus souvent les autres jouer en attendant sa résurrection qu'à chasser.
- Risk of Rain 2, ou il déplore que quoi qu'ils fassent, l'un ou l'autre des joueurs passera toujours trop de temps à regarder l'autre jouer après être mort. Il avait adoré le premier jeu, il y a fort longtemps, et pour lui le passage à la 3D a amené son lot de complexification tout en restant fondamentalement le même jeu. Ce qui l'amène à se dire que c'est peut-être lui qui a changé depuis et qu'il n'apprécie plus autant la formule la formule.
Risk of Rain 2
On passe à la catégorie des jeux pas mal du tout :
- HELLCARD, un petit jeu de cartes en early access sympathique, dérivé de Book of Demons. Il a trouvé le contenu un peu léger même si il aura apprécié ses quelques parties à deux avec sa compagne.
- Ixion, qu'il a beaucoup aimé, au point d’y jouer 22 heures en deux sessions, dont toute une nuit. Comme d'autres, il aura dû recommencer un chapitre suite à un bug sur la répartition de nourriture mais il en garde un bon souvenir sinon.
- Against The Storm, un jeu dont il aurait pu écrire le test si il en avait pris le temps. C'est sur une recommandation de Rock, Paper, Shotgun qu'il se sera jeté sur ce joyau mélangeant gestion de village et roguelite, sur lequel il a également passé une nuit entière. Le jeu est sorti d’early access en décembre et il caresse encore l’idée d’en faire un test un jour.
- Northgard auquel il joue en coop et les parties plutôt courtes pour un 4X lui permettent de ne pas se lasser ni de devoir réserver un mois avec des gens pour en voir la fin. Il fait remarquer que ce sont encore des vikings, mais qu'il paraît que les joueurs aiment les vikings. Ce sont probablement les successeurs des nazis et des zombies.
Northguard
On arrive à la catégorie des très bons jeux auxquels il aura joué en 2023 :
- Nobody Saves The World dont le défaut de rythme dû aux allers et retours entre le jeu et ses menus est fort heureusement compensé par l’humour et les réflexions de synergies possibles entre les métamorphoses loufoques proposées. Un jeu d’aventure plein de bonne humeur.
- The Gunk, un jeu "Joli, relaxant, court mais bien dosé. En un mot : agréable".
- Last Call BBS, un jeu plein de puzzles. Des puzzles faciles et des puzzles difficiles, avec une interface qui est parfois elle-même un puzzle à résoudre. En bonus, une fiction touchante pleine de nostalgie via un regard sur une vie passée dans une époque où le monde était différent.
- The Pale Beyond, un jeu qu'il n’aurait jamais acheté si il n'avait pas fait partie de l’Humble Choice. C'est pour lui une pépite encore un peu brute mais qui l’aura tout de même conquis. Le jeu n’offre pas particulièrement de défi mécanique mais l’aventure, au cœur du désert gelé de l’Antarctique, aura résonné avec son imaginaire et ses attirances pour les récits d’exploration et de camaraderie.
- Expeditions: Rome, un jeu de rôle en partie en latin avec des romains, des combats au tour par tour, du sang et le tout bien enrobé dans un jeu de rôle bien écrit. "Un délice !"
- Hardspace: Shipbreaker, le jeu qui permet de découper des vaisseaux dans l’espace sur des airs musicaux empreints d’Americana. Un titre au capitalisme sans limite, avec son aliénation et son exploitation totale de la force ouvrière, qui est pourtant étonnamment relaxant.
Hardspace : Shipbreaker
- Ozymandias: Bronze Age Empire Sim, un jeu qu'il aura aimé pour être un 4X visuellement et mécaniquement simple, dans un moyen-orient qui le fait toujours rêver. Premier jeu qui lui aura sérieusement donné envie d’écrire un test si sa flemmite aiguë et son manque de confiance en lui maladif ne l’avaient pas retenu. Il dit un grand merci à Rozzo et lui laisse un <3.
- Children of Morta qui est un super roguelike à jouer à deux avec son ou sa chéri(e) et proposant une histoire centrée autour d’une famille étendue et de leur lutte pour sauver leur monde. Pour lui, c'était Hades avant l’heure, avec des personnages attachants, des animaux mignons, et une courbe de difficulté qui varie grandement. Et c’est aussi très joli.
- Payday 3, un bon jeu mais à ne payer que 10 balles plutôt que 60 grâce au Xbox Game Pass. Il nous raconte que tenter de terminer les difficultés les plus élevées sans déclencher d’assaut de la police aura été une super expérience. Les parties plus mouvementées et violentes ont aussi été plutôt sympa, mais le nombre assez peu élevé de niveaux différents lui aura permis d’en faire assez rapidement le tour. S’il suit la trajectoire de son grand frère, il y aura sans doute une grande quantité de contenu additionnel, à condition de repasser à la caisse, dans les prochaines années.
On termine avec ses 2 coups de coeur à savoir Slay The Spire et Monster Train qu'il qualifie tout simplement de "meilleurs trous noirs de sa vie". Il avoue qu'il craque parfois et relance l'un ou l'autre, les deux titres l'aspirant alors dans une "furie joueuse" et que le “allez, une partie de plus” se transforme alors en nuit de jeu et/ou manquements à ses devoirs. Il l'avoue lui-même : Il. Doit. Se. Retenir.
Monster Train