TEST For Honor, mais juste un doigt
par miniblob,
Ça tient parfois à peu de chose de cultiver sa différence lorsque l'on parle de jeux vidéo. Prenez le fameux Factortime par exemple, vous pensez que c'est la preuve de l'indépendance de vos dévoués serviteurs vis à vis du tempo des campagnes marketing ? En réalité, c'est plus souvent la conséquence d'un gros poil dans la main, d'une actualité chargée voire d'une méchante panne informatique. Dans le cas de For Honor, les trois ingrédients se sont savamment combinés pour aboutir à une découverte tardive du titre. Peut-on en ressortir indemne lorsque l'on se décide à plonger dans le bain d'un jeu essentiellement multi quatre mois après sa sortie ?