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Splatoon 2

Frostis Advance par Frostis Advance,  email  @FrostisAdvance
Support : Switch
En 2015, Nintendo a pris tout le monde par surprise avec Splatoon, un TPS à destination de la Wii U. Le succès a très vite été au rendez-vous, et malgré une console qui a fait un flop, cette nouvelle licence s’est écoulée à plus de 4,8 millions d’exemplaires. Deux ans plus tard, voici donc sa suite, Splatoon 2, cette fois-ci sur Nintendo Switch. Et en grand amateur de tentacules, j’ai évidemment replongé une nouvelle fois dans la peinture.

Splatoon, mais avec un 2


Avant toutes choses, sachez que l’on a affaire à un TPS à la sauce Nintendo. Si vous cherchez un jeu sanglant, des armes de bourrin, une tronçonneuse en guise de baïonnette, des grenades à fragmentations et une course au kill, vous pouvez déjà passer votre chemin, puisque la série Splatoon ne vous propose (presque) rien de cela. Ici, le but est de peindre le plus possible de surface de votre couleur afin de remporter des matchs de Guerre de Territoire, en 4 VS 4. Quant aux personnages, vous ne trouverez pas non plus de gros balourds à la Gears of War ou de beaux gosses comme dans Uncharted, mais des Inklings, une sorte de calamar humanoïde.
Ce Splatoon 2 reprend donc les bonnes idées de son petit frère, tout en ajoutant une bonne dose de nouveauté. On retrouve aussi ce découpage en deux parties. D’un côté, une aventure en solo et de l’autre, une section multijoueur qui nous prendra beaucoup, mais alors beaucoup d’heures de jeu si on accroche au style et à l’ambiance. Mais commençons par le mode solo, puisqu’il s’agit du plus petit morceau que propose ce titre. 

Octariens compris !

Le premier épisode proposait déjà un mode solo plutôt cool, dans lequel nous pouvions faire connaissance avec l’univers du jeu. Il faisait aussi office d’excellent tutoriel pour apprendre à manier notre Inkling, mais aussi tester les différentes armes du jeu. Ce Splatoon 2 ne déroge pas à la règle et se permet même une vraie suite scénaristique ! Deux ans se sont écoulés suite aux événements de l’épisode Wii U et nous retrouvons sans surprise les Octariens, un peuple tout en tentacules. Ils ont encore fait les cons et cette fois-ci, ils ont carrément enlevé le Grand Poisson-Charge qui est un élément important de la ville de Chromapolis, lieu de vie des Inklings. On apprend aussi que Ayo, la sœur de Oly (les deux stars de Splatoon, remplacées maintenant par Coralie et Perle) a disparu. Bref, c’est le bordel et nous voilà donc repartis à l’aventure, à la tête du nouvel escadron espadon.

Si le pitch de base est complètement loufoque, le jeu ne l’est pas moins, proposant un univers coloré et un peu barré, le tout agrémenté par des musiques mêlant Rock et J-Pop. Dans ce mode Héros, il faudra enchaîner un certain nombre de niveaux, cachés dans 5 mondes, afin de délivrer les Poissons-Charge qui feront office de récompense de fin de stage. Des récompenses qui nous donneront le droit d’aller mettre une raclée aux différents boss, afin de déverrouiller l’accès au monde suivant, et ainsi de suite. 



Si votre skill s’améliorera progressivement comme dans n’importe quel jeu, la maniabilité de Splatoon 2 est par contre, totalement intuitive. Nintendo oblige, la prise en main se veut simple d’accès et tout le monde comprend rapidement ce qu’il faut faire et comment jouer. Les déplacements se font via les sticks comme dans n’importe quel FPS/TPS console, le tir principal via la gâchette ZR et l’arme secondaire s’active avec R. Chaque tir fera baisser le niveau du réservoir de peinture que porte votre petit Inkling. Heureusement, celui-ci peut se remplir en plongeant dans la peinture, sous forme calamar. Le petit plus de ce mouvement est aussi de prendre rapidement de la vitesse, mais aussi de grimper sur pratiquement n’importe quelle surface, que ce soit au sol ou sur un mur. 

Une fois tous ces mouvements maîtrisés, vous êtes normalement capable de recouvrir le monde de votre plus belle peinture et dézinguer la totalité des Octariens. A cela s’ajoute une arme spéciale que l’on peut obtenir en trouvant les items cachés et qui s’active d’une pression sur le site droit. Rien de plus simple ! Et s’il vous prend l’idée de vouloir ajuster votre visée avec le gyroscope de la console, c’est aussi faisable.

Du classique donc, mais du bien mieux que dans le premier jeu. L’aventure a même des goûts de Super Mario Galaxy dans la structure des niveaux, ce qui est plutôt un bon point. Tout comme la difficulté, bien mieux gérée et plus progressive, alors que dans Splatoon premier du nom, seul le boss de fin était compliqué à battre. De plus, il semble que Nintendo ait pensé à mieux intégrer ce mode Héros dans l’univers du jeu, puisque les armes proposées pour cette aventure proviennent toutes de la boutique d’un certain Cartouche, qui se fera ensuite un plaisir de les proposer à l’achat pour le mode multijoueur. 

Paintball pour tout le monde

Le cœur de Splatoon 2 se trouve dans son mode multijoueur. Contrairement au mode Héros qui permet de progresser dans des niveaux, le mode multijoueur propose des parties très dynamiques en 4 vs 4 (sans IA) avec comme but premier : balancer de la peinture sur toute la map. Et il faudra faire vite et bien, puisque chaque match ne dure que 2 minutes et 30 secondes. Durant ce temps, la bataille fait rage et il n’est d’ailleurs pas rare de perdre son match dans les dernières secondes, puisque votre peinture peut être recouverte par celle de l’adversaire, puis par la vôtre, et ainsi de suite. Même avec un bon skill et un bon équipement, si vos collègues font n’importe quoi, c’est la défaite assurée face à 4 joueurs coordonnés.

Mais même dans la défaite, on peut tout de même garder la tête haute grâce à un nombre de points octroyé à chaque joueur. En effet, chaque petite parcelle de terrain recouvert par vos soins vous donne des points. La victoire en équipe est évidemment le but premier, mais le petit plus est aussi de terminer premier de son équipe. Un petit concours de « qui a le plus gros tentacule » se lance donc à chaque partie. En plus de cela, et contrairement au mode Héros, l’arme spéciale ne s’active qu’en ayant un certain nombre de points. Il est donc important de jouer avec cet aspect du jeu.



Un nombre de point ô combien important au final, puisqu’il définira aussi votre rang. Du rang 1 à la toute fin du rang 9, seul les matchs Guerre de Territoire sont disponibles. Par contre, une fois passé le rang 10, la section Match Pro s’ouvrira devant vos yeux de céphalopodes. Sous ce nom se cachent en fait trois autres modes de jeux. On retrouve l’Expédition Risquée, dans laquelle il faudra rester sur une plateforme mobile afin de l’accompagner jusqu’au camp adverse. Il y a aussi la Mission Bazoocarpe dont l’objectif sera d’apporter un totem jusque dans le camp adverse. Enfin, reste la Défense de Zone, dont le but sera évidemment de défendre une zone prédéfinie. Et que les amateurs du classement se rassurent : cette fois-ci, votre rang sera séparé. Il est donc possible d’être S+ dans Mission Bazoocarpe et C- en Défense de Zone.

Enfin, lorsque votre rang est encore plus élevé, les Matchs de Ligue ouvrent leurs portes. Là, on rentre très clairement dans l’eSport, avec des Matchs classés dans lesquels il est possible de créer son équipe de 2 ou 4 joueurs. Dans la première option, on sera automatiquement fusionné avec un autre duo, pour former une équipe complète.



A ce moment-là, les joueurs de Splatoon sur Wii U se disent certainement que les nouveautés ne sont en fait pas légion. Et ce n’est pas totalement faux ! Les modes de la section Match Pro étaient déjà disponibles et quelques maps du premier épisode se retrouvent dans ce Splatoon 2. Heureusement, les développeurs ont ajouté 6 nouvelles maps, avec Scène Sirène, Chantier Narval, Allées Salées, Institut Calam’arts, Gymnase Ancrage et Piste Méroule, et même si elles sont toutes très bonnes à jouer, ça ne fait pas lourd pour une suite. 

Nintendo se veut rassurant et a déjà annoncé que de nombreuses mises à jour gratuites viendront agrémenter l’expérience de jeu et le contenu de Splatoon 2, tout comme cela avait été fait pour le premier épisode. Au passage, notons que le bond graphique n’est pas vraiment de la partie. Oui, Splatoon 2 est visuellement pétillant via une direction artistique hyper colorée, mais on reste globalement au niveau du premier opus sorti sur Wii U en 2015. On peut tout de même noter quelques effets supplémentaires ici et là, une projection de peinture plus réaliste, des reflets plus jolis et surtout, très important, aucun ralentissement puisque Splatoon 2 tourne à la perfection.

Le choix des armes

Qui dit PaintBall, dit armes qui balancent de la peinture. Si on commence notre premier match en ligne avec le Liquidateur Junior, une arme un peu pourave, il sera en effet possible de s’en offrir de bien meilleures au fil des matchs. Chaque victoire nous donnant de l’argent, que l’on pourra dépenser comme une blogueuse mode chez H&M. Dans la belle ville de Chromapolis, seul Cartouche est habilité à vendre des armes. Chez lui, on trouve de tout et surtout de plus en plus de choix au fur et à mesure que notre rang progresse.

On retrouve 6 types d’armes, toutes avec trois statistiques différentes : la portée, les dégâts et la cadence. Vous vous doutez bien qu’aucune arme n’est parfaite dans ces trois catégories, donc il faudra forcément faire quelques compromis lors de l’achat. De plus, les types d’armes conditionnent aussi un peu votre manière de jouer. La plupart des joueurs optent pour des flingues de type Encreur, parce qu’il s’agit certainement de l’arme la plus simple à utiliser, qui permet de se battre au corps à corps, tout en balançant raisonnablement de la peinture.



Mais si vous êtes du genre à rester en retrait pour couvrir les copains, préférez plutôt une arme de type Concentrateur, qui est un équivalent du sniper. Pour ceux qui veulent faire des points rapidement, il y a les options Rouleau et Seauceur, par contre, attention à votre jauge de peinture qui descendra assez rapidement. Il reste aussi les Badigeonneurs, sortent de grosse sulfateuse mais très lourde à manier. Enfin, petite nouveauté : le double encreur. Cette nouvelle arme se tient à deux mains et permet de faire une petite roulade pour esquiver les attaques. C’est la seule permettant de faire ce mouvement.

De plus, chaque arme est accompagnée d’une arme secondaire et d’une arme spéciale. Généralement, si l’arme principale est moisie, les deux autres sont bonnes. Il faudra encore une fois faire quelques compromis à ce niveau.

La classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller.

Dans Splatoon 2, il ne faut pas faire un amalgame entre la coquetterie et la classe. La mode y tient une place très importante. S’il s’agit avant tout d’avoir du style, il est aussi question de petits bonus. S’il nous reste encore assez d’argent à dépenser, trois boutiques du centre commercial Branchie garderont leurs portes ouvertes pour nous. On pourra s’acheter toutes sortes de couvre-chef chez Couvre-Seiche, des vêtements chez Culture Couture, et des chaussures chez Au pied Malin.

La petite subtilité est que chaque accessoire est composé d’une à quatre aptitudes possibles, donnant donc quelques bonus au joueur. Cela va d’une amélioration de l’arme secondaire, en passant par une réduction de l’encre, une augmentation de la vitesse, etc. Un point non négligeable qu’il faudra prendre en compte lors d’un achat. Même si oui, on peut aussi s’acheter cette super casquette parce qu’on la trouve juste cool. Sachez tout de même que tout n’est pas figé et qu’il est possible de créer ses propres aptitudes, via un personnage traînant dans Chromapolis. 

Salmon Run : le sashimi du bon goût

Ce nouveau mode de jeu nous propose de faire face à des vagues d’ennemis, dans une équipe de 1 à 4 joueurs. Le but ne sera pas de peindre tout le niveau, mais de buter des Salmonoïdes et des Salmonoboss afin de récupérer des œufs de poisson dorés. Dit comme ça, c’est hyper simple. Mais en réalité, ça l’est un peu moins.

Les deux niveaux proposés pour le moment, l’Épave des Braves et le Barrage Salmonoïdes, sont sujets aux marées et autres petits problèmes de brouillard, réduisant la surface de combat ou la visibilité. Des petites variations bienvenues et qui pimentent les trois manches de chaque run. En plus de cela, les armes seront imposées. Il est donc impératif de savoir se servir de tout sous peine de galérer très rapidement. Evidemment, tout travail mérite salaire et si dans les autres modes l’argent règne, ici, c’est les œufs de poisson. A chaque fin de match, les comptes sont faits pour tout le monde (pas de partage, chaque joueur gagne la totalité du butin) afin d’avoir la possibilité de débloquer certains bonus et tenues, que la petite société M. Ours SA se fera un plaisir de nous offrir. 

Le genre de score avec une équipe soudée !

Honnêtement, même si ce n’est pas le mode de l’année, le Salmon Run apporte un petit vent frais entre des parties de Guerre de Territoire. Et comme chaque petit vent frais, celui-ci ne sera pas disponible tout le temps. Par exemple, à l’heure où j’écris ces lignes, le Salmon Run n’est ouvert que de 8h à 20h aujourd’hui. Ensuite, il faudra attendre deux jours pour pouvoir y jouer 24h de suite. Un choix assez bizarre de la part de Nintendo. 

Un mode local aux petits oignons

Le premier opus sur Wii U proposait un mode deux joueurs en "presque" split screen (un sur la TV, l'autre sur le Wii U Gamepad). C’est cool. Sauf que le mode était complètement naze et n’était donc joué par personne. Avec Splatoon 2, pas de split screen disponible. Mais comme la Nintendo Switch est une console de salon à emporter partout, un mode local sans fil est maintenant disponible ! Et Nintendo n’a pas fait les choses à moitié en proposant plusieurs façons de se connecter localement.

La première est évidemment celle qui se fera le plus régulièrement, à savoir la connexion sans fil en mode portable de 8 consoles Switch maximum. La seconde est déjà plus technique et sera certainement celle utilisé dans les tournois eSport, en proposant de connecter 8 consoles Switch en mode dockées, via une connexion Ethernet, en passant par un simple switch / routeur. Pas besoin de connexion à internet, tout est en LAN. En plus de cela, ce mode permet à deux autres consoles de se connecter en mode spectateur. 

Vous avez déjà vu 3040€ sur une table ? Et bien voilà.

Ce mode local s’active dans le Calamarcade, dans la ville de Chromapolis et surtout le bon goût de proposer tous les modes de jeux et même le Salmon Run. Petite précision pour les deux moules au fond de la salle : non, il n’est pas possible de faire du game sharing comme sur Nintendo 3DS. Il faudra impérativement que chaque joueur possède une console et un jeu. 

SplaNet 2, le réseau social des Calamars connectés

L’application mobile Nintendo Switch Online a accompagné la sortie de Splatoon 2. Disponible gratuitement sur iOS (par ici) et sur Android (par là), elle se concentre, pour l'instant, uniquement sur Splatoon 2. En s’y connectant via notre compte Nintendo, on accède à un portail portant le nom de SplaNet 2, proposant tout un tas de choses, comme nos statistiques personnelles, notre équipement, le calendrier des maps, nos résultats des 50 derniers matchs, les nouvelles armes gratuites à télécharger, etc. Le tout est évidemment partageable sur les différents réseaux sociaux, encore dans un but de savoir qui a le plus gros tentacule. Il est aussi possible de commander des fringues spéciales, que l’on ne peut obtenir que par ce biais. 

Une autre option est aussi de la partie : le chat vocal. Celui-ci ne s’active uniquement que si les joueurs sont dans la même partie. En gros, il est impossible de se servir de l’application de Nintendo pour téléphoner gratuitement. Un choix largement discutable, ne serait-ce que par le côté pratique de la chose. Et si la qualité du son n’est pas trop mal, il est clairement dommage de devoir passer par une application mobile quand la totalité des autres consoles et PC s’en passent très bien. De plus, l’application devra obligatoirement être au premier plan, sous peine d’être coupée.

Si son design coloré, son ambiance musicale teintée de J-Pop et son character design peut être un peu déroutant, ne vous y trompez pas, Splatoon 2 fait déjà partie des indispensables de la Nintendo Switch, même avec ses petits défauts. Possédant un gameplay solide, une durée de vie sans fin, une communauté toujours hyper connectée et un aspect eSport, Splatoon 2 devrait normalement combler les fans de TPS nerveux sur consoles.

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Tribune

Samax
(16h38) Samax choo.t > Ah merci j'en avais pas du tout entendu parler ! C'est ajouté à ma wishlist.
choo.t
(15h42) choo.t Samax > kirk.roundhouse > Si vous aimez FTL, Void War peut peut-être vous intéresser, c'est FTL × WH40K.
Samax
(13h37) Samax kirk.roundhouse > Avec plaisir :) Je te conseille de suivre ce guide (toute l'install se fait automatiquement via l'installeur, pas besoin de passer par mod manager): [steamcommunity.com]
GTB
(12h56) GTB Dans le SH Transmission, ils parlent longuement de leurs intentions, leur approche pour renouveler la licence en gardant son essence, abordant l'écriture, le design, les musiques, les thématiques.
GTB
(12h52) GTB BeatKitano > Yep. Entre le remake et ce qu'annonce ce Silent Hill f, le fan de la licence que je suis est comme un gosse. J'aime bcp ce qu'ils tentent avec ce f. Très hâte d'en voir plus.
kirk.roundhouse
(11h45) kirk.roundhouse Samax > Ah mais merci pour cette recommandation ! J'ai des centaines d'heures sur FTL, et je sens que je vais repartir pour un tour.
Samax
(11h32) Samax (C'est génial et très bien écrit, j'ai déjà 150 heures dessus depuis que je l'ai découvert, et ça tourne très bien sur Steam Deck)
Samax
(11h31) Samax Et pour ceux qui ne connaissent pas, on peut considérer FTL Multiverse comme une vraie suite à FTL, vu la quantité de contenu et de mécaniques ajoutées au jeu.
Samax
(11h28) Samax Je pense pas que ça ait déjà été mentionné ici, mais j'ai découvert il y a pas longtemps que FTL Multiverse avait bénéficié d'une traduction intégrale en français, et à part quelques coquilles par moments elle est globalement de très bonne qualité.
Requiem
(05h47) Requiem Ayant fait le Remake du 2 y'a pas longtemps, qui m'a rendu très nostalgique, ça me rassure de voir ça, l'ambiance à l'air d'être la.
BeatKitano
(04h40) BeatKitano Silent Hill f. Je sais pas si le nom est bon mais le trailer est intriguant [youtube.com]
Thursday 13 March 2025
Samax
(21h33) Samax kirk.roundhouse > Ok merci ! Parfait, ça pourra me servir pur mon installation de Jellyfin :)
kirk.roundhouse
(20h54) kirk.roundhouse Ou alors assigner matériellement des disques de stockage à une VM qui va servir de support pour un OS NAS, et faire des pool ZFS
kirk.roundhouse
(20h52) kirk.roundhouse Samax > le passthrough c'est le fait d'assigner matériellement un périphérique à une VM pour qu'elle l'utilise comme sur un système bare metal. C'est pratique par exemple pour assigner une CG à une VM qui ferait du transcodage, du calcul tensor ou cuda
CBL
(20h30) CBL wizzim > le pire c'est qu'Nvidia pourrait écrire un wrapper 32 bit -> 64 bit.
Samax
(20h24) Samax skör > Quand tu parles de passthrough, c'est en opposition avec LXC j'imagine ? Bon je vais me renseigner sur le sujet en tout cas.
Samax
(20h23) Samax CBL > kirk.roundhouse > BeatKitano > skör > Merci pour les infos :) Je vais privilégier Debian alors. Etpour arch j'ai des mauvais souvenirs avec pacman donc je préfère une distro avec apt en effet
wizzim
(18h31) wizzim La conservation du jeu vidéo, c'est vraiment pas ça...
wizzim
(18h30) wizzim Vidéo intéressante sur NVidia qui "abandonne" PhysX: [youtube.com]
Wednesday 12 March 2025
skör
(19h44) skör Samax > Tout est dit :) LXC c'est top. J'utilise également Debian dessus avec 5go de disque pour des petits services. Proxmox gère très bien le Passthrough aussi.
Laurent
(18h31) Laurent (18h07) merci pour ton oeil affuté
BeatKitano
(18h10) BeatKitano toof > "Moraleees, moraaaleeeeesEUH"
toof
(18h07) toof Frostis : «  voirE le premier » (désolé je suis relou et je vais pas faire un commentaire à chaque fois :)
BeatKitano
(17h29) BeatKitano Sinon oui pour un particulier c'est pas un mauvais moyen. Mais si ça merde, faut pas mettre ça sur le dos de la distro nécessairement.
BeatKitano
(17h28) BeatKitano CBL > Heu... quand ça couille pas totalement le montage des disques parce que le kernel aime pas WSL (j'ai déjà eu le cas de disques qui dégageaient sans raison au bout de X minutes)
CBL
(17h22) CBL A noter que le meilleur moyen de tester une distro Linux pour serveur est d'utiliser WSL
BeatKitano
(17h07) BeatKitano (je parle de arch). Pour le reste ouais, en headless du moment que ça fait tourner ce que tu veux et que les updates sécu sont serieuses, ça n'a pas d'importance.
BeatKitano
(17h06) BeatKitano CBL > (16h21) Ouais enfin les rolling release c'est pas franchement une super idée pour un serveur qui fait juste tourner quelques services en local.
kirk.roundhouse
(16h50) kirk.roundhouse Samax > (14h28) les repo essentiellement. S'il n'y a pas un paquet dans les repo Debian, il est souvent dispo sur Ubuntu. Je préfère ça que d'installer les paquets à la main, ou ajouter des repo "officieux". Et je priorise Debian.
CBL
(16h24) CBL Alors que Node est un binaire tout con sans la moindre dépendance
CBL
(16h24) CBL La seule distro qui m'a fait des misères est RHEL. Impossible de mettre à jour Node sans changer de version majeure de RHEL
CBL
(16h22) CBL J'utilisais pas mal Ubuntu mais vu que je déploie sur AWS, je suis passé sur la distro d'Amazon
CBL
(16h21) CBL Pour avoir essayé pas mal de distros côté serveur, y'a finalement pas des masses de différences mis à part le gestionnaire de paquets
Samax
(15h36) Samax BeatKitano > Ok merci, c'est parfaitement clair. Je vais partir sur du Debian alors
BeatKitano
(14h33) BeatKitano Debian me semble être un choix bien plus sage.
BeatKitano
(14h32) BeatKitano Je fais actuellement tourner un de mes nas sur arch (parce que j'avais que ça sous la main et que j'avais pas envie de me prendre la tête) mais j'oublie de faire les majs de temps en temps et je recommande pas.
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Du coup faut assurer la maintenance et en headless ça peut vite devenir chiant quand t'as des interventions manuelles a faire [wiki.archlinux.org]
BeatKitano
(14h29) BeatKitano Samax > Un bureau tu le mets a jour régulièrement pour diverses raisons. Un serveur headless tu veux un truc stable et tu vas pas installer des tas de trucs souvent (du moins un serveur arr).
Samax
(14h28) Samax Et quelle est la différence concrète entre Ubuntu et Debian pour du headless? Ubuntu est basée sur debian donc ça doit être peu ou prou la même chose non?
Samax
(14h27) Samax BeatKitano > Ok merci pour la précision. Mais pourquoi c'est pas la plus adaptée exactement?
Samax
(14h26) Samax kirk.roundhouse > Nickel merci pour les infos !
BeatKitano
(14h23) BeatKitano Samax > Pas du arch pour un serveur en tout cas. J'adore la distro mais c'est pas la plus indiquée pour un serveur arr*
kirk.roundhouse
(14h20) kirk.roundhouse Et j'en crée sur base Arch, Ubuntu et Debian, selon mes besoins.
kirk.roundhouse
(14h18) kirk.roundhouse Samax > avec proxmox tu as la possibilité de créer des conteneurs LXC. Je n'utilise que ça en headless : [pve.proxmox.com]
Samax
(13h52) Samax skör > kirk-roundhouse m'a conseillé ça aussi, du coup je pense que je vais tenter, mais tu conseillerais quoi comme distro linux pour du headless (essentiellement pour faire tourner des serveurs pour mon réseau local)?
skör
(08h54) skör Dragonir > Proxmox depuis quelques années. Ca marche très bien
Tuesday 11 March 2025
Zaza le Nounours
(23h41) Zaza le Nounours Nicouse > si t'as envie de tester Linux en condition réelles, plutôt que de te faire chier avec des VM, trouve-toi un petit SSD sacrificiel et installe l'OS dessus.
kirk.roundhouse
(22h57) kirk.roundhouse Dragonir > Nutanix et proxmox
Nicouse
(22h46) Nicouse (22h13) kirk.roundhouse > possiblement, mais c'est d'abord mon ignorance de linux qui est prépondérante :-D
Dragonir
(22h35) Dragonir Tiens en parlant d'hyperviseur, vous les migrés vers quoi vos environnements VSphere d'entreprise ?
kirk.roundhouse
(22h13) kirk.roundhouse Nicouse > peut être. Mais peut être aussi que les problèmes que tu rencontres sont essentiellement dûs à l'hyperviseur que tu utilises.
Nicouse
(22h02) Nicouse kirk.roundhouse > (17h27) c'est juste pour tester avant de déployer sur un vrai pc (ou pas). Je vais pas m'emmerder à installer l'hyperviseur de W10.
LeGreg
(19h58) LeGreg MacOS -> limité à un seul vendeur de hardware. Windows -> coût des licenses et moins d'open source. Linux -> un sacré bordel mais gratuit et souvent open source. Android -> limité en dehors du support tablette/téléphone, écosystème google.
LeGreg
(19h54) LeGreg Mais c'est comme partout, on a dix solutions imparfaites et il faut faire son choix selon ce qui sera un point bloquant ou pas.
LeGreg
(19h53) LeGreg Si la gratuité et/ou l'open source est le critère principal, alors il n'y a pas d'alternative ou très peu (OSes plus obscurs et sans doute avec un support moindre).
LeGreg
(19h52) LeGreg Alors oui, c'est gratuit (pas de licence par machine), c'est flexible et le support hardware est suffisant (ou atteint la barre minimale au niveau hardware) pour que ça puisse être utilisé par une grande partie de l'industrie.
LeGreg
(19h49) LeGreg Dans mon expérience, les points mis en avant par les développeurs Linux sont souvent des points qui n'ont que peu d'intérêt ou sont au détriment de l'utilisateur final et aussi souvent des développeurs d'applications.
Alroc
(18h33) Alroc Portage GO de typescript : [x.com]
kirk.roundhouse
(17h27) kirk.roundhouse Faut utiliser un hyperviseur KVM si vous voulez faire tourner correctement des VM linux. Des VM tout court aussi d'ailleurs. Et pas cette cochonnerie de virtualbox.
Zaza le Nounours
(07h25) Zaza le Nounours Et c'est aussi pour ça du coup que si on fait que jouer sur son PC, les 9900X3D et 9950X3D ne servent littéralement à rien, puisque dans tous les cas on les utilisera qu'à moitié.
Zaza le Nounours
(07h24) Zaza le Nounours Et pour faire ça, ça passe par l'installation de la Xbox Game Bar, qui "optimise" le bordel en coupant le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(07h23) Zaza le Nounours Nicouse > le 9800 a qu'un seul CCD, alors que les 9900 et 9950 en ont deux, mais le Vcache est posé que que sur un seul des deux. Donc faut s'assurer que les jeux utilisent le CCD avec Vcache pour en tirer parti.
BeatKitano
(04h55) BeatKitano Et pour les drivers cpu: pas exactement vrai, y’a toujours le microcode à update. Sous arch c’est géré automatiquement à chaque update système.
BeatKitano
(04h52) BeatKitano J’ai toujours eu des merdes avec Linux +enviro de bureau sous les VMs (fenêtres lentes, bugs de store) des fois installer les pilotes hôte aident mais ça sera jamais aussi fiable que bare metal.
Nicouse
(00h14) Nicouse Et me vlà maintenant avec Arch...je viens de finir l'install sur ma VM à partir de l'iso. J'ai pu télécharger des packages durant l'install... et v'là que maintenant rebooté sous l'os installé, j'ai plus de réseau. 'tin c'est l'apprentissage the hard way.
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h51) merci CBL
Nicouse
(00h13) Nicouse (23h25) lapin compris le CCD avec le Vcache :-o
Nicouse
(00h13) Nicouse merci, j'avais oublié l'existence du noyau et que les drivers cpu/chipset étaient dedans. J'ai dû lire ça... un jour...
CBL
(00h05) CBL (Juste t'assurer que ton noyau est à jour)
CBL
(00h04) CBL (c'est directement dans le noyau donc tu n'as rien à télécharger)
Monday 10 March 2025
CBL
(23h51) CBL Internet me dit que le support a été ajouté avec Linux 6.9 et amélioré avec Linux 6.13
CBL
(23h47) CBL Zaza le Nounours > Y'a bien des pilotes pour un CPU histoire d' en tirer partie
Zaza le Nounours
(23h26) Zaza le Nounours En gros : "it just works" (en théorie). Et de toute façon, t'auras bien d'autres prises de tête à venir.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours *parquer le CCD qui n'a pas de Vcache quand tu joues.
Zaza le Nounours
(23h25) Zaza le Nounours Nicouse > y a pas vraiment de drivers pour les CPU. Et comme c'est "que" un 9800X3D, t'as même pas à te prendre la tête avec les histoires de Xbox Gamebar pour parsuer le CCD qui n'a pas de
Nicouse
(22h46) Nicouse Petite question en passant: je vais recevoir une config plutôt récente genre chipset AMD B650E avec un 9800X3D. Sur Amd.com je vois bien les pilotes pour windows, rien pour linux. Comment je sais que linux va tirer parti de mon matos ?
Nicouse
(22h45) Nicouse Vivement que je lance la VM d'Arch, ça va être la fête du slip...
Nicouse
(22h44) Nicouse Là je me suis dit, putain c'est pas gagné.
Nicouse
(22h43) Nicouse Au final, je m'aperçois au bout d'une grosse demi-heure, sans doute bien plus, qu'en fait ce con de synaptics avait conservé comme source de paquets l'iso d'install (cdrom). Il n'allait jamais chercher sur le net. Ce CON....
Nicouse
(22h42) Nicouse Toujours pas de paquet steam de trouvé. Je me dis, c'est pas possible il doit pas avoir accès au net ce con à travers la vbox. Mais non, je lance FF et me balade sur youtube.
Nicouse
(22h41) Nicouse Je me résous à regarder sur le net, je trouve même un tuto sur la v.12.9. Rien n'y fait..
Nicouse
(22h40) Nicouse Alors y'en a des évidents à éliminer, genre les langues. J'en essaie un ou deux.. je reboote, rien. J'insiste pas, ça me gonfle. Rien n'est évident. Je repasse à steam.
Nicouse
(22h39) Nicouse Je me dis bon je vais plutôt regarder pour le DE, on verra pour steam ensuite... et là le drame aussi (moins mais bon). Dans Synaptics, tu tapes KDE et là t'as trouze mille packages qui sortent.
Nicouse
(22h38) Nicouse Je me fous dans la ligne de commande, apt search blabla, apt update, apt upgrade, toujours pas de paquet steam.
Nicouse
(22h38) Nicouse je file dans Synaptics, je trouve pas le paquet steam.
Nicouse
(22h37) Nicouse Debian 12.9, je tente Xfce. En effet c'est minimaliste mais à la limite je n'ai jamais été à fond dans l'eye-candy. Cela dit j'aimerai bien installer un autre DE type KDE pour voir, et surtout tester Steam. Et là, c'est le drame.
Nicouse
(22h36) Nicouse Bon les deux Fedora, j'imagine que ça n'aime pas trop Vbox: la version xfce n'a jamais booté l'install, la version Wkstation plante au reboot d'install. Verdict: poubelle
Nicouse
(22h35) Nicouse Me voilà avec Debian 12.9, Fedora Wk 41, Fedora Wk 41 mais sous Xfce et enfin Arch.
Nicouse
(22h34) Nicouse Anecdote d'hier soir... je teste plusieurs distributions sous VirtualBox en prévision de mon futur PC qui est en transit.
Nicouse
(22h34) Nicouse Sinon...pour revenir à Linux, je plussoie quasiment 100% des posts de CBL. La diversité de Linux n'excuse pas l'herméticité.
Nicouse
(22h33) Nicouse C'est aussi ce qui fait que les US gardent toujours la main sur leurs matériels de guerre. Enfin la France aussi a sa propre régulation, la CIEEMG, mais a priori plus light.
Nicouse
(22h32) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse [fr.wikipedia.org]
Nicouse
(22h31) Nicouse Pour ceux qui se posaient des questions sur le F35, n'oublions pas ITAR
Le vertueux
(22h10) Le vertueux ahhhh je ne sais pas...
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Ou alors que JE sois Robocop ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Non attends, est-ce que je ne préfèrerais pas vivre dans un monde où il existe réellement ?
Le vertueux
(22h10) Le vertueux Je suis vraiment content de vivre dans un monde où Robocop a été inventé.
Le vertueux
(19h52) Le vertueux Ça rame bien fort et l'image n'est pas très belle sur ma 2080 ti mais ça reste malgré tout une meilleur expérience qu'en 2d. Je suis content d'être robuste et d'avoir une bonne vue pour ne pas souffrir de motion sickness.
Le vertueux
(19h51) Le vertueux Mon bug dans robocop VR venait du fait que je laissais mon pouce reposé sur un des capteurs du contrôleur -_-
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