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Un Rédacteur Factornews vous demande :

Forums

Le dernier film que vous avez regardé²
Arsh
Membre Factor
Membre 686 msgs
Encanto
Pour un film d'animation dont l'histoire se base sur la magie, bin, y'a rien de magique dans l'execution. Scénario plat, personnages plats, chanson osef (voir nulles), même la DA est sans relief. Ça plaira peut être aux gamins, mais pour moi ça reste l'un des pires Disney que j'ai pu voir.

Resident Evil
J'ai préféré le plus mauvais RE avec Milla Jovovich que ce film. C'est pour vous dire la purge que c'est.

Don't look up
Marrant et sympathique. Malheureusement, McKay essaie de taper un peu sur tout le monde (médiatique, politique, social,...) et se retrouve vite à faire des vannes qui ne font qu'éffleurer la surface. Moins acerbe que je ne l'aurai espéré, il reste quand même quelques bons acteurs (principalement les 2nds rôles) qui parviennent à vendre le film. A noter aussi une fin un peu évidente qui part un peu dans le "cul-cul" chez les "héros".
 
GTB
Membre Factor
Membre 2058 msgs
@Le vertueux> Excellent The Lighthouse. J'avais beaucoup aimé. D'ailleurs je ne sais pas si t'as vu, le trailer du prochain film du bonhomme est tombé il y a peu: The Northman Trailer.

Sinon au cas où, je rappelle que The Green Knight (teaser) le nouveau film de Lowery chez A24 est enfin sorti en France hier sur Amazon Prime.

@Arsh> Don't Look Up ne cherche clairement pas à être subtil; et il a pas le temps d'aller en profondeur de tout ce qu'il traite. L'idée est sans ambiguïté de coller une tartine à la bêtise, frontalement. En revanche, je le trouve intelligent dans son bourrinisme et réussi dans sa rythmique comique. Là où il devient intéressant c'est que cette caricature du monde (surtout US) qui nous fait marrer a de nombreux liants avec notre monde d'aujourd'hui. Rien que le principe du Don't Look up justement. Et ça a beau être une comédie, le regard est sombre au possible. Pas de lumière au bout du tunnel.
 
Le vertueux
J'aime les films de karaté
Membre 6695 msgs
Clairement don't look upest à la fois drôle et déprimant, c'est du bon travail et pour une fois, dans ce genre de satyre, on ne se tape pas des comédiens au rabais.
Ça n'a donné envie de m'acheter une petite carte graphique, une nouvelle roue pour mon volant à retour de force ou une poulie pour me réconforter avant qu'il ne soit trop tard.

@gtb, non je n'ai pas vu le trailer, j'évite en général, mais c'est noté en attendant qu'il sorte sur les plateformes.
 
Rouge
Membre Factor
Membre 140 msgs
Don't look Up j'ai trouvé ça un poil lourd. Même en le prenant au 3e degré j'ai trouvé les protagonistes trop caricaturaux, et si la satire n'est pas déplaisante elle aurait pu être plus percutante et moins étirée.
Malgré tout le message passe bien, les interprètes sont plutôt bon. J'imagine qu'avec une cigarette qui fait rire et quelques années de moins j'aurais trouvé ce film cultissime. Il colle bien avec l'époque et tape sur a peu près tout les trucs qui font chier avec des gros sabots.

@GTB : et c'est bien Green Knight ?
 
GTB
Membre Factor
Membre 2058 msgs
@Rouge> Je suis client du cinéma de Lowery, donc j'ai beaucoup aimé The Green Knight. C'est visuellement très réussi, et il aborde cette réécriture du poème des légendes arthuriennes avec un ton assez singulier de la fantaisie. Ça ne vise pas du tout le spectacle, c'est plutôt lent, focalisé sur le personnage, budget modeste (15 millions). Je ne suis pas fan de certains choix, notamment à la fin; mais c'est tout à fait digne d’intérêt.

Pour Don't Look Up ce que je trouve intéressant c'est justement que c'est moins une caricature qu'une amplification. L'infotainment y est à peine exagérée. En fait beaucoup de ce qui nous y fait marrer est observable, presque en l'état, dans la réalité. Particulièrement pendant la pandémie qui a exacerbé ces comportements. C'est juste moins large et global que dans le film.
 
Anglemort
Membre Factor
Membre 386 msgs
Merci pour le conseil pour the Green Knight. Je ne connaissais pas ce réalisateur et je n'en avais pas entendu parler. Je crois que c'est une des meilleures adaptations du mythe arthurien que j'ai vu, j'aurai pu avoir peur du côté moderne et expérimental (mais comme je me suis lancé sans même regarder une bande annonce j'ai pas eu l'occasion de douter) et en fait ça marche super bien.
 
Rouge
Membre Factor
Membre 140 msgs
Merci du conseil ! Même chose, très spécial mais je regrette pas du tout.
Effectivement, niveau rythme faut garder la tête froide mais visuellement wouaw, c'est un régal (la scène des géants, fiou, ça faisait longtemps que j'avais pas été aussi dérangé)
Après sur le plan narratif c'est moins réussit..
 
Poltro
Membre Factor
Membre 246 msgs
Don't look Up Je ne suis jamais arrivé à le voir comme une comédie, le sujet est trop lourd, la satire est trop juste. On finit par le subir par fascination morbide. Au niveau des acteurs ça va plutôt bien. Mais on se sent mal à la fin qui parait très longue du coup.
 
Big Apple
Membre Factor
Membre 1244 msgs
Don't look up Avec un casting en or, le film commence comme un film catastrophe lambda, vire rapidement en satire puis finalement en drame. (NB : regardez le film jusque après les crédits, petit moment sympa).
 
hohun
Membre Factor
Redac 5768 msgs
Don't Look Up, j'ai pas aimé. Quel est l'intérêt de faire une satire si c'est pour y mettre des formes (et donc les formes du message qu'on veut faire passer) aussi grossières ? On aurait pu avoir un chef-d'œuvre de l'absurde mais on se retrouve avec un Transformers de la dénonciation.

Y'avait tellement mieux à faire avec ce synopsis.
 
Bistoufly
Membre Factor
Membre 372 msgs
J'ai du mal à comprendre en quoi ce film est grossier dans son traitement.
Pour moi c'est, au contraire, complétement raccord avec les exemples irl qui nous tombent dessus toutes les semaines.
S'attendre à de la subtilité pour critiquer des comportements qui ne le sont pas, ce serait rendre ces comportements plus intelligents qu'ils ne le sont vraiment. Finalement, 99% des problèmes de notre monde tournent autour de 2-3 notions très basiques, faut pas chercher plus loin.

Mais bon, je dois être légèrement misanthrope, ça doit jouer sur ma lecture du film ^^
 
Anglemort
Membre Factor
Membre 386 msgs
Je rejoins hohun, c'est pas toujours très subtil.
Par exemple:

Quand la présidente change d'avis et décide de faire quelque chose contre le météore, la doctorante intervient et dis un truc du genre:
-AH BON ALORS COMME CA VOUS AVEZ CHANGE D'AVIS PARCE QUE VOUS ETES EN TRAIN DE PERDRE L'ELECTION !!!! :-O

Oui merci Captain Obvious, ça m'a vraiment donné l'impression que les scénaristes avaient une piètre opinion des capacités déductives de leur public... pour rester poli.


Puis bon ça se veut une satire mais nous dans la vraie vie on a eu Benjamin Griveaux et tous les autres clowns donc ça fait un peu répétition.
 
Big Apple
Membre Factor
Membre 1244 msgs
J'ai envie de défendre de le film pour ne serait-ce qu'une petite anecdote télévisuelle :

JT de 20h00 il y a quelques années avec un Pujadas aux commandes (me semble-t-il).
On avait un commentaire parfaitement hallucinant :
"C'est terrible, à cause du réchauffement climatique, le pôle nord aura bientôt fondu. La bonne nouvelle est que cela permettra d'accéder aux ressources du plancher océanique riches en énergies fossiles."
Et bien c'est exactement là que Don't Look Up met le doigt.
Sur notre capacité à "transformer" une information catastrophique en excellente nouvelle par le biais de la cupidité et de la bêtise.

J'aime aussi la critique des GAFAM avec le patron de "BASH", l'espèce d'autiste haut perché quasi copier-coller de celui de Spielberg dans Ready Player One. On a là une sorte de Pape technologique ou de Dieu des temps modernes, un gourou transhumaniste qui dirige le monde tout en le conduisant à sa perte dans une confiance délirante sous l'approbation générale des élites d'un monde corrompu jusqu'à la moelle.
 
Le vertueux
J'aime les films de karaté
Membre 6695 msgs
L'exemple que tu donnes Anglemort, ne me semble pas être une scène à caractère informatif pour le spectateur. C'était surtout un bon défouloir et fun de voir l'interaction entre les personnages.


Ils auraient pu faire une œuvre plus complexe et absurde à la kafka, mais je ne suis pas certains que ça aurait fait un meilleur film. Faut se méfier de la "subtilité", c'est pas forcément plus intéressant.
 
Anglemort
Membre Factor
Membre 386 msgs
Le vertueux a écrit :
L'exemple que tu donnes Anglemort, ne me semble pas être une scène à caractère informatif pour le spectateur. C'était surtout un bon défouloir et fun de voir l'interaction entre les personnages.


Comment tu peux trouver ça fun et defouloir alors qu'il n'y a ni décapitation ni démenbrement ?

La personne qui a hacké ton compte n'a rien compris à ta poésie.

oui on peut interpréter la scène comme ça, mais dans ce cas là je trouve que ça ne marche pas bien, puisque c'est peu de temps après la scène du plateau TV qui était beaucoup plus forte émotionellement et mettait déjà bien les points sur les i, et puis la présidente est embarrassé à peine une demi-seconde donc bon...
 
hohun
Membre Factor
Redac 5768 msgs
Bistoufly a écrit :
J'ai du mal à comprendre en quoi ce film est grossier dans son traitement.
Pour moi c'est, au contraire, complétement raccord avec les exemples irl qui nous tombent dessus toutes les semaines.
S'attendre à de la subtilité pour critiquer des comportements qui ne le sont pas, ce serait rendre ces comportements plus intelligents qu'ils ne le sont vraiment. Finalement, 99% des problèmes de notre monde tournent autour de 2-3 notions très basiques, faut pas chercher plus loin.

Mais bon, je dois être légèrement misanthrope, ça doit jouer sur ma lecture du film ^^


Il est grossier en ce sens que les traits décrits sont excessivement stéréotypés et cassent la crédibilité du message.

Des exemples :

La présidente est une narcissique qui ne se préoccupe que de ses mid-terms et de ce qui va dans son sens. Fort bien, ce sont des traits trumpistes. Sauf que dans le cas qui nous intéresse, ça n'est absolument pas raccord avec la réalité. Et une satire doit se raccrocher à la réalité pour fonctionner. Prenons le cas de Trump, parangon de la bêtise politique : aurait-il réagi comme ça ? Non, il aurait certainement dit des trucs idiots, mais il aurait vu son intérêt dès le début de faire de la comète un moyen de parler de la grandeur de l'Amérique et de faire tout son possible pour la défoncer.

Le milliardaire GAFA est complètement déconnecté de la réalité et ne cherche que son propre intérêt : en surface ça fonctionne, en pratique Bezos et consorts sont tout sauf "réellement déconnectés", et dans la réalité essaieraient probablement de se faire mousser à mort tout en contribuant à la sauvergarde de l'espèce humaine en essayant de rendre leurs systèmes encore plus indispensables au fonctionnement de la société.

Les médias n'auraient pas fait passer ça après ariana grande, au contraire, ils en auraient tellement saturé les ondes qu'ils auraient poussé les gens au désintéressement ou à la radicalisation.

Le pitch du film fonctionne avec le covid, et encore, à peine ; pour la métaphore environnementale, c'est encore plus retorsement faux, en ce sens que ça singe tellement les comportements de surface que ça invisibilise tout ce qu'il y a en arrière-plan : l'inertie politique, l'inertie industrielle, l'inertie de l'opinion. C'est tout sauf simple et une satire mieux maîtrisée aurait su montrer le côté vicieux et absurde du système, mais aussi la difficulté du changement, et pas juste faire une foire à neuneu. Bref c'est de la satire facile et paresseuse.

Le seul endroit où ça fait vraiment mouche c'est qu'effectivement, il y auraient des gens qui pensent que la comète n'existe pas et serait un complot, comme le réchauffement climatique. Ça aurait pu être intéressant de partir là-dessus au lieu d'en faire une anecdote de 30 secondes dans le film.

Bref en traitant le sujet comme une farce totale, le film devient ce qu'il essaie de dénoncer, c'est triste et paradoxalement condescendant. N'est pas Strangelove qui veut.

T'en ressors en te disant "ah ouais c'est trop vrai on vit vraiment dans une époque de débiles", alors que c'est faux. On vit dans une époque où la parole débile a trop de poids, ce qui n'est pas la même chose.
 
Le vertueux
J'aime les films de karaté
Membre 6695 msgs
1 - Pas du tout, Trump nie le réchauffement climatique (car c'est ça la comparaison comète = réchauffement climatique et pesticide). Il n'a pas DU TOUT utilisé ce problème pour rendre les USA plus grands. Donc il réagit exactement de la même manière que la présidente. Il est informé par des scientifiques d'un problème : il s'en bat les couilles.

2 - Le milliardaire est à l'image des illuminés milliardaires, tel que Steve Jobs, un maboule religieux superstitieux, mais aussi à l'image de tous ces pdg qui ne pigent rien à la technologique qu'ils vendent et aux escrocs qui vendent du rêve comme Elizabeth Holmes, Trevor Milton. C'est aussi plus généralement la confiance latente envers la science pour nous sauver. La puissance trop importante de certains hommes d'affaires. La place que prennent ces sociétés dans le pouvoir public.


3- pas compris avec Ariana grande.

4 - oui c'est vrai, je suis d'accord, on aurait pu parler des mécanismes humains face à ce problème. Mais c'est l'épisode 2, dans un premier temps, c'est bel et bien la négation qui est traité, tu ne peux pas traiter de trop de sujets à la fois.
On pourrait parler de nous, nous gamer qui utilisons des technologies polluantes qui participent au réchauffements climatiques dont certains versent dans la malbouffe et qui contribuent à utiliser les pesticides, qui mettent le chauffage trop fort au lieu de mettre un pull moche. Tout ça, alors que même que nous savons.
 
hohun
Membre Factor
Redac 5768 msgs
Le vertueux a écrit :


1 - Pas du tout, Trump nie le réchauffement climatique (car c'est ça la comparaison comète = réchauffement climatique et pesticide). Il n'a pas DU TOUT utilisé ce problème pour rendre les USA plus grands. Donc il réagit exactement de la même manière que la présidente. Il est informé par des scientifiques d'un problème : il s'en bat les couilles.


Certes, dans l'absolu, avec le réchauffement climatique, ça fonctionne. Mais à ce point-là du film (le début), on n'est pas encore conscient ou certain de l'analogie, à plus forte raison parce que le réal fait planer le doute sur le personnage (sa photo avec Clinton) - ou plus exactement, il veut probablement faire passer le message que "ce n'est pas seulement de Trump/des républicains que je parle". Donc on se retrouve avec une dissonance.

2 - Le milliardaire est à l'image des illuminés milliardaires, tel que Steve Jobs, un maboule religieux superstitieux, mais aussi à l'image de tous ces pdg qui ne pigent rien à la technologique qu'ils vendent et aux escrocs qui vendent du rêve comme Elizabeth Holmes, Trevor Milton. C'est aussi plus généralement la confiance latente envers la science pour nous sauver. La puissance trop importante de certains hommes d'affaires. La place que prennent ces sociétés dans le pouvoir public.


La confiance latente envers la science pour nous sauver ? Dans un film où la base du scénar est qu'on ne fait pas attention à ce que disent les scientifiques ? (ce qui pour le coup est absolument correct)
Le coup des milliardaires illuminés et des pdg qui pigent rien, ça rejoint ce que je dis : on se focalise sur quelques persos dont on a conscience qu'ils sont cramés au lieu de montrer la vraie perversion du système.
Par exemple, le film aurait pu mieux aborder, comme tu le dis, le fait que ces ultra-riches ont bien trop de pouvoir commercial comme idéologique. Y'a qu'à voir le Twitter de Musk : un cramé du ciboulot qui traite les gens de pédophiles, partage des memes à la con et fait plonger des cours (qui niquent l'environnement) avec un seul tweet et liké par des millions de gens. Même pas besoin de bosser, la satire s'écrit toute seule, et pourtant ça n'est pas vraiment abordé dans le film.

pas compris avec Ariana grande.


Quand les héros passent après ariana grande et sa demande en mariage

4 - oui c'est vrai, je suis d'accord, on aurait pu parler des mécanismes humains face à ce problème. Mais c'est l'épisode 2, dans un premier temps, c'est bel et bien la négation qui est traité, tu ne peux pas traiter de trop de sujets à la fois.
On pourrait parler de nous, nous gamer qui utilisons des technologies polluantes qui participent au réchauffements climatiques dont certains versent dans la malbouffe et qui contribuent à utiliser les pesticides, qui mettent le chauffage trop fort au lieu de mettre un pull moche. Tout ça, alors que même que nous savons.


Il est bien là le fond du problème, le film essaie de traiter trop de choses à la fois et essentialise en quelque sorte un problème aux facettes multiples, tout en exagérant trop certains aspects. L'idée de la comète empêche aussi mécaniquement certaines remises en question bien légitimes : avec les réchauffement climatique, tout le monde contribue au problème. Avec une comète, les héros ne peuvent pas vraiment se remettre en question vu que le phénomène même est hors de leur contrôle et ils ne peuvent agir (marginalement) que sur la façon de l'arrêter, pas sur ses causes.
 
Poltro
Membre Factor
Membre 246 msgs
Il ne faut pas oublier que la réalité de la connerie et de l'irresponsabilité dépasse la fiction, avec cette course des milliardaires pour le tourisme spatial en plein effort contre le changement climatique.
 
Arsh
Membre Factor
Membre 686 msgs
Matrix 4
Le début était plutôt bon, puis ça s'est cassé la gueule comme pas possible à tel point que j'ai failli m'endormir plus d'une fois. Bordel, elle tenait un truc pouvant vraiment rendre le film méta et intéressant tout ça pour tout abandonner dans la seconde moitié du film et balancer une repompe du 1er Matrix en plus mauvais...

Ghostbuster afterlife
Ils m'ont eu... Gros bonbon nostalgique pour ceux qui ont découvert les deux premiers films quand ils étaient minots. Le scénar vole pas haut, mais les acteurs sont bons, les plans alternent entre les très joli et le très moyen (certains fonds verts font mal aux yeux) et puis après le catastrophique SOS fantômes de 2016, on se dit que s'est possible de faire de bonnes suites plus de 30 ans après.
Bon par contre touchez pas à Back to the future.
 
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