Kain et Raziel sont de retours dans une nouvelle aventure. Et cette fois-ci, le suceur de sang et le buveur d'âmes sont jouables dans un même titre. Pour une fin de série en apothéose ?... (LIRE LA SUITE)
Voilà donc le cinquième opus de cette série débutée sur PS1 et à priori le dernier. Après les déceptions qu’ont constitué Blood Omen 2 et à moindre niveau Soul Reaver 2, Eidos saura-t-il conclure sa prestigieuse série avec panache ?... (LIRE LA SUITE)
Toujours dans notre session de rattrapage, voici le Test de Project Gotham Racing 2, la nouvelle référence en matière de sport automobile sur consoles.... (LIRE LA SUITE)
Titre phare du lancement de la Xbox, Project Gotham Racing avait fait une quasi unanimité grâce au contenu qu’il avait sous le capot et à la belle ligne de sa carrosserie. Sa suite réussit à sublimer ces qualités et est arrivée au grand bonh... (LIRE LA SUITE)
Dans la série "Vieux motard que j'aimais", voici le Test de Homeworld 2. Factornews, à fond à la bourre, mais pas trop.... (LIRE LA SUITE)
4 mois après sa sortie, et 4 ans après la sortie du premier opus, l'heure du bilan a sonné avec cetroisième épisode développé par Relic pour Sierra (Hein? Comment? Le numéro 3, nommé numéro 2?). Homeworld 2 nous promettait d'être une évol... (LIRE LA SUITE)
Qu'y a-t-il de plus relaxant qu'une partie de golf après une dure journée de labeur et de prises de bec diverses et variées ? Rien, et c'est pour celà que l'on vous propose le Test de Links 2004.... (LIRE LA SUITE)
Dans le petit monde du golf domestique, seuls deux séries arrivent à sortir la tête de l’eau (et à se donner quelques coups de nageoire, par la même occasion) : Tiger Woods et Links. Ce dernier ayant rejoint la grosse teboua de Microsoft, aprÃ... (LIRE LA SUITE)
Les sorties de janvier étant monnaie peu courante, voici un Test import d'un des gros jeux de ce début d'année sur PC, à savoir Deus Ex : Invisible War. Nous en ferons une mise à jour lorsque nous recevrons une version européenne début mars.... (LIRE LA SUITE)
1999, année bénie. Alors que John Romero se ridiculise en mettant sur le marché une daube infâme du nom de Daïkatana sous la coupelle de sa propre société, une de ses filiales située à Austin accouche d’un des jeux les plus extraordinaires... (LIRE LA SUITE)
