ACTU
Dishonored 2, dans les Arkane des pouvoirs
par Nicaulas,
email @nicaulasfactor
Bethesda a beaucoup misé sur Dishonored 2 pour sa conférence. Harvey Smith est venu présenter et commenter des séquences de gameplay qui ont permis d'en apprendre beaucoup plus sur un jeu resté silencieux depuis son annonce il y a un an. On commencera par un rappel : le jeu sortira le 11 novembre prochain et il sera disponible sur PS4, XBox One et bien évidemment PC. Une collector contenant entre autre un masque de Corvo sera proposée à la pré-commande, mais le montage photoshop présentant les produits ne nous a pas trop inspiré confiance.
Graphiquement, le bond en avant est notable, grâce à un moteur maison qui met l'accent sur la gestion des éclairages et fait disparaître une bonne partie de l'aliasing, sans pour autant restreindre les ambitions esthétiques du titre. Bien que plus lumineuse que Dunwall, Karnaca a sa petite personnalité et semble assez grande et ouverte. On reste sur une architecture similaire à Dunwall (c'est à dire très verticale), mais tout tourne autour du vent à la place de l'huile de baleine.
Niveau gameplay, on retrouve les grands principes du premier opus, avec quelques nouveautés et subtilités. Outre la possibilité de diriger Corvo ou Emiliy qu'on connaissait déjà, on retiendra surtout les nouveaux pouvoirs présentés, notamment celui qui permet de faire subir à plusieurs gardes un même effet (en étourdir un seul étourdit aussi tous les autres visés), la transformation en bête de l'ombre et surtout l'éclat de verre permettant un voyage dans le temps, dans une certaine mesure. Le tout donne une impression de god mod assez prononcé, mais on rappellera que c'était déjà le cas avant la sortie du premier, qui s'était avéré être très bien équilibré. On reste donc confiants.
Graphiquement, le bond en avant est notable, grâce à un moteur maison qui met l'accent sur la gestion des éclairages et fait disparaître une bonne partie de l'aliasing, sans pour autant restreindre les ambitions esthétiques du titre. Bien que plus lumineuse que Dunwall, Karnaca a sa petite personnalité et semble assez grande et ouverte. On reste sur une architecture similaire à Dunwall (c'est à dire très verticale), mais tout tourne autour du vent à la place de l'huile de baleine.
Niveau gameplay, on retrouve les grands principes du premier opus, avec quelques nouveautés et subtilités. Outre la possibilité de diriger Corvo ou Emiliy qu'on connaissait déjà, on retiendra surtout les nouveaux pouvoirs présentés, notamment celui qui permet de faire subir à plusieurs gardes un même effet (en étourdir un seul étourdit aussi tous les autres visés), la transformation en bête de l'ombre et surtout l'éclat de verre permettant un voyage dans le temps, dans une certaine mesure. Le tout donne une impression de god mod assez prononcé, mais on rappellera que c'était déjà le cas avant la sortie du premier, qui s'était avéré être très bien équilibré. On reste donc confiants.
