Zoo Keeper
Sauve Keeper
Alors, Zoo Keeper, en quoi ça consiste ? C’est très simple, il y a des icônes d’animaux qu’il faut aligner par trois ou plus. Pour ce faire, il faut inverser deux icônes adjacentes en les touchant l’une après l’autre. Le meilleur moyen de se faire une idée précise est encore d’essayer le jeu Shockwave indiqué ci-dessus. Bien évidemment, les graphismes sont plus travaillés, même s’il est quand même un peu dommage de n’avoir que de la 2D et des informations dispensables sur l’écran du haut. Ajoutons à cela une localisation médiocre à base de restes d’anglais et des fautes d’orthographe, et on comprend rapidement que Zoo Keeper présente tout de même un peu mal pour de la DS.
Zoo qui pleure
Toujours est il que le principal attrait d’un puzzle game réside dans son gameplay, et il faut avouer que sur ce plan là Zoo Keeper remplit plutôt pas mal son rôle. Proposant un principe accessible à tous et pourtant tellement stratégique lors des niveaux de difficulté élevée, le titre d’Ignition se montre terriblement efficace. Cinq modes de jeux sont proposés, hélas pas tellement différents les uns des autres. On en retiendra deux en particulier : le mode deux joueurs qui bien évidemment booste la durée de vie, mais aussi un mode quête où il faut enchaîner dix défis originaux pour augmenter son salaire de gardien de zoo. Un principe sympa qui permet un peu de varier un challenge qui se répète dans les autres modes. Mais pas de quoi éviter le raclement de gorge lorsqu’on pense aux 40 euros déboursés pour un jeu au final agréable, mais qui aurait dû coûter moins cher.