The Black Mirror
C’est l’histoire d’un mec…
Samuel Gordon, jeune homme de la noblesse anglaise vient d’apprendre que son grand-père adoré, William Gordon, le même qui le faisait sauter sur ses genoux étant petit, s’est suicidé en s’empalant comme un mouton à un méchoui après s’être défenestrer de la vieille tour du manoir. Après avoir quitté le domaine familial pendant une douzaine d’années, Sami revient pour jouer à Columbo ou plutôt Sherlock Holmes.
L’autre coté du miroir
Techniquement, The Black Mirror n’est pas une révolution. Les décors, très riches et collant parfaitement avec l’ambiance « vieille demeure galloise » sont en 3D précalculée. Les personnages sont, par contre, en 3D temps réel de médiocre qualité : les modèles sont basiques et les animations sommaires et lentes. L’ambiance sonore est cependant de bonne qualité et se lie bien à l’univers. Les dialogues entre les personnages sont corrects mais sans plus, c’est plus proche de la narration que de la discussion et les phrases ne s’enchaînent pas forcément convenablement. Les voix sont pourtant bien choisies.
Suivez le guide
Le jeu est dans l’ensemble bien conçu, le scénario tient la route, les énigmes restent logiques et ne sont pas très difficiles. On demeure rarement bloqué à un endroit grâce à l’interface qui permet de savoir si on a rien oublié. Reste la linéarité qui empêche parfois d’avancer.