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[E3 2016] Premier Dreadnought dans Dawn of War III
par Nicaulas,
email @nicaulasfactor
Parmi les nombreuses adaptations de la licence Warhammer 40000 en jeux vidéo, les deux premiers Dawn of War, développés par Relic Entertainment, ont marqué les joueurs chacun à sa manière. Solide RTS tournant autour de la capture de points stratégiques et de l’accumulation de ressources, le premier épisode lorgnait avec succès du côté des grands pontes de la stratégie. Tactical mettant en avant la gestion d’escouade et le micro-management, le deuxième épisode n’avait pas grand-chose à voir avec son prédécesseur, mais passait l’examen haut la main. Pour ce troisième opus, Relic a voulu mélanger le meilleur des deux mondes, en conservant les héros et la gestion d’escouade du second, mais en réintroduisant la construction de bâtiments et la collecte de ressources du premier.
Toujours en pré-alpha, le jeu s’est légèrement dévoilé lors d’une présentation vidéo à laquelle nous avons pu assister, malgré le fait qu’on préfère jouer plutôt que regarder. Pour nous mettre dans l’ambiance , la phrase d’intro de la présentation était « si vous êtes fans des anciens, vous risquez d’être surpris ». La vidéo retraçait une mission (a priori assez tardive dans le jeu) dans laquelle le joueur incarne les Space Marines et part à l’assaut d’une base Eldar sur une planète de glace. Dans un premier temps, on est effectivement surpris puisqu’il n’y a qu’une seul unité présente, Gabriel Angelos, un mastodonte qui dirige les Blood Ravens et est l’archétype du tank (sac à PV, gros marteau, destructeur au corps-à-corps).
Les premiers combats ressemblent alors à ceux d’un hack’n slash : on progresse en éliminant des groupes d’ennemis en utilisant ses capacités. Un peu plus tard, un script se déclenche et on est alors rejoint par une première vague de renforts : quelques Space Marines, mais surtout un deuxième héros (on peut en avoir trois par partie), une dénommée Solaria qui pilote un gigantesque exosquelette armé de deux sulfateuses. On retrouve alors la gestion d’escouade de l’épisode II. Les ennemis varient, ainsi que leurs positions, et on doit s’adapter en conséquence. Après quelques Eldars supplémentaires survient la troisième phase de la partie : la conquête de points stratégiques et l’utilisation de ressources pour construire des bâtiments et des unités spéciales (comme les Dreadnoughts). Il s’agissait surtout de conquérir des points de « heavy cover », des cercles à l’intérieur desquels les unités bénéficient d’un bonus de protection très important, puis de préparer l’assaut final en produisant des unités lourdes.
Apparemment bourrin au vu du nombre d’unités lourdes engagées, l’assaut final était en fait question de maîtrise du terrain et de priorisation des cibles, notamment les bâtiments défensifs Eldars et le dernier point d’heavy cover dont la destruction a accéléré la victoire. Si la vidéo laissait penser que la mission était assez simple, on nous a assuré que les joueurs mettraient plus de temps pour la maîtriser, notamment à cause des scripts qui pourraient les surprendre et de la découverte progressive du terrain et des ennemis.
Pour une pré-alpha, le jeu est déjà très bien foutu, avec des animations et des effets tout à fait honorables. Et si on gardera à l’esprit qu’il s’agissait d’une vidéo de présentation, par conséquent soigneusement choisie et préparée, il faut bien avouer que c’était convaincant. L’équilibre entre les principes du I et du II semble réfléchi et efficace, le contenu s’annonce tout aussi copieux qu’auparavant et l’emballage promet d’être soigné.
Les premiers combats ressemblent alors à ceux d’un hack’n slash : on progresse en éliminant des groupes d’ennemis en utilisant ses capacités. Un peu plus tard, un script se déclenche et on est alors rejoint par une première vague de renforts : quelques Space Marines, mais surtout un deuxième héros (on peut en avoir trois par partie), une dénommée Solaria qui pilote un gigantesque exosquelette armé de deux sulfateuses. On retrouve alors la gestion d’escouade de l’épisode II. Les ennemis varient, ainsi que leurs positions, et on doit s’adapter en conséquence. Après quelques Eldars supplémentaires survient la troisième phase de la partie : la conquête de points stratégiques et l’utilisation de ressources pour construire des bâtiments et des unités spéciales (comme les Dreadnoughts). Il s’agissait surtout de conquérir des points de « heavy cover », des cercles à l’intérieur desquels les unités bénéficient d’un bonus de protection très important, puis de préparer l’assaut final en produisant des unités lourdes.
Apparemment bourrin au vu du nombre d’unités lourdes engagées, l’assaut final était en fait question de maîtrise du terrain et de priorisation des cibles, notamment les bâtiments défensifs Eldars et le dernier point d’heavy cover dont la destruction a accéléré la victoire. Si la vidéo laissait penser que la mission était assez simple, on nous a assuré que les joueurs mettraient plus de temps pour la maîtriser, notamment à cause des scripts qui pourraient les surprendre et de la découverte progressive du terrain et des ennemis.
Pour une pré-alpha, le jeu est déjà très bien foutu, avec des animations et des effets tout à fait honorables. Et si on gardera à l’esprit qu’il s’agissait d’une vidéo de présentation, par conséquent soigneusement choisie et préparée, il faut bien avouer que c’était convaincant. L’équilibre entre les principes du I et du II semble réfléchi et efficace, le contenu s’annonce tout aussi copieux qu’auparavant et l’emballage promet d’être soigné.
Seulement présenté par l’intermédiaire d’une vidéo de gameplay, Dawn of War III nous a rassuré sur son avenir. Il faudra confirmer en y jouant, mais le mélange du I et du II semble assez équilibré et intéressant.