ACTU
Tango Gameworks lève le voile sur Ghostwire: Tokyo
Après une présentation en vidéo d'une dizaine de minutes, on en sait enfin un peu plus sur Ghostwire: Tokyo, le nouveau jeu du studio de Shinji Mikami, Tango Gameworks. Presque cinq ans après The Evil Within 2, Mikami et sa bande rentrent à la maison pour nous faire incarner Akito, seul (?) survivant d'une étrange brume qui a fait partir en fumée tous les habitants de Tokyo et a entrainé l'apparition de hordes de démons. Akito ne sera pas tout seul, au moins dans sa tête, puisqu'il sera accompagné par l'esprit de KK (non, pas celui-là) et se verra également doté de pouvoir surnaturels élémentaires (eau, feu, vent) pour repousser les démons.
Voilà pour le pitch. Maintenant, en pratique, à quoi ça ressemble ? Et bien, à un FPS en monde plus ou moins ouvert (on ne sait pas si Tokyo sera découpée en plusieurs petites zones ou si elle sera d'un seul bloc), avec des missions principales et d'autres plus annexes, des pouvoirs et armes (on a vu au moins un arc) à faire progresser via un arbre de compétences que l'on débloquera au fil du jeu à coups de points d'XP, un peu d'infiltration avec des ennemis que l'on pourra one shot en les attaquant de dos... "Tout ça m'a l'air affreusement classique, déjà vu et revu cent fois", me direz-vous, et on ne pourrait pas vraiment vous donner tort : ce n'est apparemment pas sur le fond que Ghostwire: Tokyo se démarquera des autres jeux du genre. En revanche, il aura pour lui son environnement japonais urbain que l'on a finalement peu l'occasion d'expérimenter à part dans la série des Yakuza, ses ennemis au design bien tordu, et probablement quelques surprises assez barrées dont le studio a le secret, comme on peut l'apercevoir fugacement dans la vidéo.
On n'est donc pas encore complètement convaincu par le jeu, mais on va quand même continuer de guetter avec curiosité sa sortie prévue le 25 mars.
Voilà pour le pitch. Maintenant, en pratique, à quoi ça ressemble ? Et bien, à un FPS en monde plus ou moins ouvert (on ne sait pas si Tokyo sera découpée en plusieurs petites zones ou si elle sera d'un seul bloc), avec des missions principales et d'autres plus annexes, des pouvoirs et armes (on a vu au moins un arc) à faire progresser via un arbre de compétences que l'on débloquera au fil du jeu à coups de points d'XP, un peu d'infiltration avec des ennemis que l'on pourra one shot en les attaquant de dos... "Tout ça m'a l'air affreusement classique, déjà vu et revu cent fois", me direz-vous, et on ne pourrait pas vraiment vous donner tort : ce n'est apparemment pas sur le fond que Ghostwire: Tokyo se démarquera des autres jeux du genre. En revanche, il aura pour lui son environnement japonais urbain que l'on a finalement peu l'occasion d'expérimenter à part dans la série des Yakuza, ses ennemis au design bien tordu, et probablement quelques surprises assez barrées dont le studio a le secret, comme on peut l'apercevoir fugacement dans la vidéo.
On n'est donc pas encore complètement convaincu par le jeu, mais on va quand même continuer de guetter avec curiosité sa sortie prévue le 25 mars.