ACTU
ReRoll : Engagez vous, qu'ils disaient, vous verrez le monde, qu'ils disaient
Après des mois de silence radio, ReRoll, le RPG qui voulait modéliser le monde entier pour l'offrir en terrain de jeu à un survival post-apo, donne un signe de... mort.
Malgré les efforts de Pixyul (détaillés dans ce message aux backers), le studio n'est pas arrivé à convaincre les investisseurs de mettre de l'argent dans le projet - contrairement à un nombre indéterminé de backers qui se retrouvent le bec dans l'eau. Pour son financement participatif, ReRoll avait en effet choisi une approche "à la star citizen" (avec manifestement moins de succès) : des personnages avec leurs équipements associés étaient en vente sur le site officiel pour un prix allant de 20$ à 100$, avec des packs pouvant monter jusqu'à 280$. L'argent récolté aura permis au studio de tenir jusqu'ici, mais aussi de financer le petit projet BIOS (notre preview ici) offert aux backers, qui restera jusqu'à la fin des temps à l'état d'early access.
Autant dire que cette affaire est une leçon de bon sens appliqué aux kickstarters et autres plateformes du genre : plus le projet est ambitieux, plus les risques sont élevés. Et les gars de Pixyul - des gens expérimentés issus d'Ubisoft - ne nous ont pas promis la lune; ils nous avaient carrément promis la Terre.
Malgré les efforts de Pixyul (détaillés dans ce message aux backers), le studio n'est pas arrivé à convaincre les investisseurs de mettre de l'argent dans le projet - contrairement à un nombre indéterminé de backers qui se retrouvent le bec dans l'eau. Pour son financement participatif, ReRoll avait en effet choisi une approche "à la star citizen" (avec manifestement moins de succès) : des personnages avec leurs équipements associés étaient en vente sur le site officiel pour un prix allant de 20$ à 100$, avec des packs pouvant monter jusqu'à 280$. L'argent récolté aura permis au studio de tenir jusqu'ici, mais aussi de financer le petit projet BIOS (notre preview ici) offert aux backers, qui restera jusqu'à la fin des temps à l'état d'early access.
Autant dire que cette affaire est une leçon de bon sens appliqué aux kickstarters et autres plateformes du genre : plus le projet est ambitieux, plus les risques sont élevés. Et les gars de Pixyul - des gens expérimentés issus d'Ubisoft - ne nous ont pas promis la lune; ils nous avaient carrément promis la Terre.