ACTU
NDcube change de nom
C'est parti pour un peu d'histoire ! NDcube est créée en 2000 en tant que coentreprise entre Nintendo et Dentsu (une énorme boîte spécialisée dans la communication), avec 78% des actions pour le premier, et le reste pour le second. Oui, le ND de NDcube vient de là. Et pour commencer, le studio a tout de suite sorti du lourd, avec F-Zero: Maximum Velocity pour la GBA. Quoi de plus normal, puisque la société avait a sa tête Takehiro Izushi et Hitoshi Yamagami, deux producteurs sur le F-Zero de la Super Nintendo. Ce n'était pas forcément le meilleur des épisodes, mais il reste cool tout de même. D'ailleurs, il est dispo dans l'abonnement du Nintendo Switch Online en mode DLC.
Tout avait bien commencé, sauf que la lune de miel aura été courte durée : fin 2003, et après quelques jeux parfaitement oubliables, tout s'arrête ou presque. Beaucoup de départs, probablement un peu de mauvaise gestion du personnel, peu d'objectifs clairs, et ce fut le calme plat jusqu'en 2010. Pendant sept ans, ce studio aura fait de la R&D, avec de multiples expérimentations. Aucun jeu n'est sorti des murs de NDcube.
Au fil des années et surtout à partir de 2010, Nintendo décide de racheter les parts de Dentsu et d'embaucher un paquet de monde provenant de Hudson Soft (les séries Bomberman, Adventure Island, Bonk ou encore Bloody Roar que j'aimais bien sur GameCube), qui ne va pas pour le mieux à cette époque. À partir de ce déclic, tout change, puisque NDcube peut revenir travailler sur des projets importants, cette fois-ci sur Wii en commençant par Wii Party (2010) et Wii Play: Motion (2011). On sent que les années de R&D ont payé. Entretemps, Nintendo annonce détenir dorénavant 96% du studio.
Grapillant des parts petit à petit, le géant de Kyoto obtient l'acquisition complète du petit studio, qui contient tout de même environ 120 employés. Et la confiance est là, puisqu'ils se retrouvent à gérer la licence Mario Party, qui fait un véritable carton depuis quelques années, notamment sur Switch.
Tout avait bien commencé, sauf que la lune de miel aura été courte durée : fin 2003, et après quelques jeux parfaitement oubliables, tout s'arrête ou presque. Beaucoup de départs, probablement un peu de mauvaise gestion du personnel, peu d'objectifs clairs, et ce fut le calme plat jusqu'en 2010. Pendant sept ans, ce studio aura fait de la R&D, avec de multiples expérimentations. Aucun jeu n'est sorti des murs de NDcube.
Au fil des années et surtout à partir de 2010, Nintendo décide de racheter les parts de Dentsu et d'embaucher un paquet de monde provenant de Hudson Soft (les séries Bomberman, Adventure Island, Bonk ou encore Bloody Roar que j'aimais bien sur GameCube), qui ne va pas pour le mieux à cette époque. À partir de ce déclic, tout change, puisque NDcube peut revenir travailler sur des projets importants, cette fois-ci sur Wii en commençant par Wii Party (2010) et Wii Play: Motion (2011). On sent que les années de R&D ont payé. Entretemps, Nintendo annonce détenir dorénavant 96% du studio.
Grapillant des parts petit à petit, le géant de Kyoto obtient l'acquisition complète du petit studio, qui contient tout de même environ 120 employés. Et la confiance est là, puisqu'ils se retrouvent à gérer la licence Mario Party, qui fait un véritable carton depuis quelques années, notamment sur Switch.
- Mario Party 9 (Wii, 2012)
- Wii Party U (Wii U, 2013)
- Mario Party: Island Tour (3DS, 2013)
- Mario Party 10 (Wii U, 2015)
- Animal Crossing: Amiibo Festival (Wii U, 2015)
- Mario Party: Star Rush (3DS, 2016)
- Mario Party: The Top 100 (3DS, 2017)
- Animal Crossing: Pocket Camp (iOS et Android, 2017)
- Super Mario Party (Switch, 2018)
- Clubhouse Games: 51 Worldwide Classics (Switch, 2020)
- Mario Party Superstars (Switch, 2021)
- Everybody 1-2-Switch! (Switch, 2023)
- Super Mario Party Jamboree (Switch, 2024)