ACTU
Manuel Noriega attaque Activision
par CBL,
email @CBL_Factor
La CIA s'est surpassée à de nombreuses occasions durant la Guerre Froide mais c'est pendant l'ère Reagan (années 80) que l'agence de renseignement a réalisé ses plus beaux chef-d'oeuvres. Elle a par exemple vendu des armes à l'Iran dans sa guerre contre l'Irak pour financer les milices contre-révolutionnaires nicaraguayennes (les fameux Contras) tout en leur permettant de vendre du crack à Los Angeles.
Elle a aussi employé le dictateur panaméen Manuel Noriega alors que la DEA voulait le coincer pendant des années car c'était un trafficant de drogue membre du cartel de Medellín de Pablo Escobar. En 1989, les US ont fini par arrêter les conneries et ont envahi Panama pour arrêter Noriega. Noriega s'est réfugié dans l'ambassade du Vatican et les US ont campé devant en mettant du rock à fond jusqu'à ce qu'il finisse par sortir.
Si tout cela vous dit vaguement quelque chose, c'est probablement parce que vous avez joué à Call Of Duty Black Ops 2 dans lequel Noriega a un petit rôle. Le problème est qu'Activision n'a pas demandé l'autorisation de l'ex-dictateur pour utiliser son nom et son image. Du coup Noriega attaque l'éditeur pour diffamation et demande des dommages et intérêts. Il se plaint que le jeu le dépeint comme un kidnappeur, un meurtrier et un ennemi de Panama (ce qu'il était).
Elle a aussi employé le dictateur panaméen Manuel Noriega alors que la DEA voulait le coincer pendant des années car c'était un trafficant de drogue membre du cartel de Medellín de Pablo Escobar. En 1989, les US ont fini par arrêter les conneries et ont envahi Panama pour arrêter Noriega. Noriega s'est réfugié dans l'ambassade du Vatican et les US ont campé devant en mettant du rock à fond jusqu'à ce qu'il finisse par sortir.
Si tout cela vous dit vaguement quelque chose, c'est probablement parce que vous avez joué à Call Of Duty Black Ops 2 dans lequel Noriega a un petit rôle. Le problème est qu'Activision n'a pas demandé l'autorisation de l'ex-dictateur pour utiliser son nom et son image. Du coup Noriega attaque l'éditeur pour diffamation et demande des dommages et intérêts. Il se plaint que le jeu le dépeint comme un kidnappeur, un meurtrier et un ennemi de Panama (ce qu'il était).