ACTU
Ma RV est en carton, pirouette, cacahouète.
par CBL,
email @CBL_Factor
Google se lance à son tour dans la réalité virtuelle avec un SDK Android permettant de simplifier les choses en prenant en charge la distortion et le dédoublement du rendu. C'est destiné aux solutions dans lesquelles on insère un téléphone Android dans un casque qui ne contient rien mis à part deux lentilles.
Pour faire votre propre casque de RV, Google vous propose de faire les poubelles et d'en assembler un en carton. Il vous faut quelques autres composants comme des lentilles mais l'ensemble ne devrait pas couter trop cher.
Pendant ce temps la bataille juridique entre Oculus et ZeniMax se poursuit. Oculus s'est fendu d'une longue réponse à la plainte de ZeniMax mais au final on tourne en rond. Oculus répète que ZeniMax se cognait totalement de la RV et des travaux d'Oculus avant que les sous de Facebook ne tombent, qu'Oculus n'a volé aucun morceau de code source et que l'implication de Carmack a eu beau être importante, l'essentiel du boulot a bien été abattu par Palmer Luckey.
Ceci étant dit, Oculus admet dans sa réponse la grande majorité des allégations de ZeniMax y compris la violation du fameux NDA qui est au centre de la plainte. Le NDA précise que l'intégralité des travaux de Palmer Luckey et de ses échanges avec id software sont la propriété de ZeniMax à condition d'être réalisés dans un usage approprié ("proper purpose" en anglais). Oculus explique que le NDA n'est pas valide car le "proper purpose" est trop vague. Tout le procès repose sur l'appréciation de ces termes. C'est pour cela que les deux compagnies mettent en avant tout une série de faits sans rapport juridique direct afin de faire pencher la balance de leur côté. C'est très loin d'être gagné pour Oculus.
Pour faire votre propre casque de RV, Google vous propose de faire les poubelles et d'en assembler un en carton. Il vous faut quelques autres composants comme des lentilles mais l'ensemble ne devrait pas couter trop cher.
Pendant ce temps la bataille juridique entre Oculus et ZeniMax se poursuit. Oculus s'est fendu d'une longue réponse à la plainte de ZeniMax mais au final on tourne en rond. Oculus répète que ZeniMax se cognait totalement de la RV et des travaux d'Oculus avant que les sous de Facebook ne tombent, qu'Oculus n'a volé aucun morceau de code source et que l'implication de Carmack a eu beau être importante, l'essentiel du boulot a bien été abattu par Palmer Luckey.
Ceci étant dit, Oculus admet dans sa réponse la grande majorité des allégations de ZeniMax y compris la violation du fameux NDA qui est au centre de la plainte. Le NDA précise que l'intégralité des travaux de Palmer Luckey et de ses échanges avec id software sont la propriété de ZeniMax à condition d'être réalisés dans un usage approprié ("proper purpose" en anglais). Oculus explique que le NDA n'est pas valide car le "proper purpose" est trop vague. Tout le procès repose sur l'appréciation de ces termes. C'est pour cela que les deux compagnies mettent en avant tout une série de faits sans rapport juridique direct afin de faire pencher la balance de leur côté. C'est très loin d'être gagné pour Oculus.