ACTU
La fin du monde, c'est aujourd'hui
Sorti le 4 Septembre dernier sur iOS, World’s End Club sort aujourd’hui en France et un peu partout dans le monde sur Nintendo Switch. Fruit d’une collaboration entre Too Kyo Games et Grounding Inc., ce jeu d’Action-Aventure 2D agrémenté de puzzle nous propose de suivre les péripéties du « Go Getters Club », un club composé de 12 enfants d’école primaire qui vont se retrouver dans un accident de bus pour se réveiller dans un parc d’attraction sous-marin. Ils vont alors se retrouver forcés de participer à un étrange jeu qui décidera de leur sort.
Si la recette vous semble familière, c’est normal car on retrouve aux manettes deux créateurs Japonais plutôt connus, avec d’un côté Kotaro Ushikoshi, un ancien de chez Spike Chunsoft, à qui l’on doit entre autres la saga des Zero Escape ou le plus récent AI : The Somnium Files, et de l’autre Kazutaka Kodaka, créateur de la franchise Danganronpa ayant lui aussi quitté Spike Chunsoft. Les deux ont pour habitude de créer des jeux où les personnages se retrouvent enfermés dans différents lieux plus ou moins originaux et où tous doivent coopérer pour s’en sortir sous peine de finir zigouillés de manière souvent peu conventionnelle mais je pense que, vu la communication autour du jeu et le design général du machin, le ton de World’s End Club devrait être un peu (beaucoup) plus léger que leurs précédentes productions.
Si la recette vous semble familière, c’est normal car on retrouve aux manettes deux créateurs Japonais plutôt connus, avec d’un côté Kotaro Ushikoshi, un ancien de chez Spike Chunsoft, à qui l’on doit entre autres la saga des Zero Escape ou le plus récent AI : The Somnium Files, et de l’autre Kazutaka Kodaka, créateur de la franchise Danganronpa ayant lui aussi quitté Spike Chunsoft. Les deux ont pour habitude de créer des jeux où les personnages se retrouvent enfermés dans différents lieux plus ou moins originaux et où tous doivent coopérer pour s’en sortir sous peine de finir zigouillés de manière souvent peu conventionnelle mais je pense que, vu la communication autour du jeu et le design général du machin, le ton de World’s End Club devrait être un peu (beaucoup) plus léger que leurs précédentes productions.