ACTU
l'ESL annonce des contrôles anti-dopage pour les cyberathlètes
La sortie de Kory “Semphis” Friesen, qui a admis lors d'une interview que toute son équipe utilisait de l'Adderall pour augmenter ses performances pendant un tournoi de Counterstrike, a fait suffisamment de bruit pour que les organisateurs fassent mine de découvrir le problème.
L'ESL annonce ainsi qu'il procédera à des contrôles anti-dopage (par analyse d'urine) à compter du mois d'août pendant l'ESL One de Cologne. Les tests se feront en association avec la NADA (Nationale Anti Doping Agentur) durant la compétition et pourront déboucher sur l'exclusion des contrevenants, s'il est prouvé qu'ils utilisent des substances sur une liste encore non dévoilée.
De son coté, l'homme par qui le scandale est arrivé, Semphis, ne devrait pas être inquiété : "Nous ne pouvons pas punir quelqu'un à moins d'être 100% sûr qu'il soit coupable", explique le chef de la communication de l'ESL à Motherboard. Et impossible de faire un test quatre mois après les faits.
Pour l'heure, l'ESL est la seule organisation à avoir pris des mesures pour contrer un phénomène apparemment très répandu.
L'ESL annonce ainsi qu'il procédera à des contrôles anti-dopage (par analyse d'urine) à compter du mois d'août pendant l'ESL One de Cologne. Les tests se feront en association avec la NADA (Nationale Anti Doping Agentur) durant la compétition et pourront déboucher sur l'exclusion des contrevenants, s'il est prouvé qu'ils utilisent des substances sur une liste encore non dévoilée.
De son coté, l'homme par qui le scandale est arrivé, Semphis, ne devrait pas être inquiété : "Nous ne pouvons pas punir quelqu'un à moins d'être 100% sûr qu'il soit coupable", explique le chef de la communication de l'ESL à Motherboard. Et impossible de faire un test quatre mois après les faits.
Pour l'heure, l'ESL est la seule organisation à avoir pris des mesures pour contrer un phénomène apparemment très répandu.