ACTU
Epic Games fait payer tout le monde
par CBL,
email @CBL_Factor
Le métavers de Tim Sweeney ne décolle pas mais il ne compte pas abandonner pour autant. Comme Mark Zuckerberg, il est persuadé que c'est l'avenir et par avenir comprenez "une future grosse source de revenus". Mais pour l'instant, comme ça ne rapporte rien, il faut bien que quelque chose d'autre paye les factures. Selon les termes actuels de la licence d'Unreal, les développeurs qui ne vendent pas de jeux n'ont pas besoin de payer de royalties.
Le moteur est totalement gratuit pour eux. Cela inclut les gens qui utilisent Unreal pour les effets spéciaux, le design industriel, l'architecture, le marketing. la simulation... Mais les choses font changer : Epic Games va désormais faire payer tout ce petit monde en suivant le modèle économique d'Adobe ou Autodesk à savoir un abonnement mensuel par personne utilisant le moteur. A noter que c'était le cas pour Unreal 4 pendant la première année : il fallait payer 20 dollars par personne. On se demande comment Epic Games va savoir qui fait quoi et identifier les resquilleurs. On est surpris que ce n'est pas arrivé plus tôt : cela fait des années que des productions à plusieurs millions de dollars utilisent Unreal sans payer un centime à Epic.
Si les gens normaux n'ont pas encore bien compris l'intérêt du métavers, les publicitaires sont à fond dedans. Shell a fait un partenariat avec six créateurs pour développer une carte pour Fortnite Creative dans laquelle on fait le plein virtuel de sa bagnole dans une station service.
Le moteur est totalement gratuit pour eux. Cela inclut les gens qui utilisent Unreal pour les effets spéciaux, le design industriel, l'architecture, le marketing. la simulation... Mais les choses font changer : Epic Games va désormais faire payer tout ce petit monde en suivant le modèle économique d'Adobe ou Autodesk à savoir un abonnement mensuel par personne utilisant le moteur. A noter que c'était le cas pour Unreal 4 pendant la première année : il fallait payer 20 dollars par personne. On se demande comment Epic Games va savoir qui fait quoi et identifier les resquilleurs. On est surpris que ce n'est pas arrivé plus tôt : cela fait des années que des productions à plusieurs millions de dollars utilisent Unreal sans payer un centime à Epic.
Si les gens normaux n'ont pas encore bien compris l'intérêt du métavers, les publicitaires sont à fond dedans. Shell a fait un partenariat avec six créateurs pour développer une carte pour Fortnite Creative dans laquelle on fait le plein virtuel de sa bagnole dans une station service.