ACTU
E3 : Vanquish : on l'a vu et on y a joué
Vanquish, le dernier jeu de PlatinumGames, est l'une des grosses stars à venir chez Sega. Histoire de savoir ce que les créateurs de Bayonetta et MadWorld vont nous proposer comme nouvelle folie, nous sommes allés assister à une présentation du jeu, avant de prendre la manette en main et de commencer à dégommer des robots par nous-mêmes.
Le scénario de Vanquish ne vole pas très haut : c'est le futur, les pays sont en crise, les Etats-Unis sont de nouveau opposés à la Russie, et les seconds vont réussir à pirater un satellite des premiers et s'en servir pour détruire San Francisco, ce qui n'est vraiment pas très sympa. On n'en sait pas beaucoup plus, et en toute honnêteté on s'en fout un peu.
Le héros jouera un scientifique ayant inventé une super armure, disposant de toute une tripotée de gadgets, la principale d'entre elles étant bien sûr le boost. Celui-ci vous permettra de vous déplacer à grandes vitesses pendant quelques instants, afin par exemple de glisser d'une couverture à une autre rapidement. À l'inverse, il sera également possible d'utiliser une fonction d'augmentation de la perception, qui se traduira en pratique par un passage en bullet time : celui-ci pourra être déclenché quand vous utilisez le boost et que vous visez, ou quand vous vous prenez trop de coups dans la gueule.
Nous avons pu voir trois niveaux, mais sur ces trois-là un seul a réellement retenu notre attention par son esthétique : il se situe sur un train lancé à grande vitesse traversant la gigantesque station spatiale. C'est très classique, mais les décors sont vraiment vastes et leur design avec une très large dominance de blanc change agréablement de ce que proposent généralement les autres jeux du genre.
Maintenant que l'on a un peu compris les bases, il est temps de voir comment se joue le jeu. Pour schématiser, on pourrait le présenter comme un Gears of War fait par des japonais. C'est un TPS, et on tire sur des ennemis en se planquant derrière les nombreuses zones de couverture. Il y aura d'autres soldats (mais pas en super armure, eux) qui évolueront à vos côtés, qui pourront être blessés et qu'il faudra relever. Le côté japonais intervient avec la présence de robots géants et de super soldats en armure, mais surtout parce que tout est beaucoup plus rapide que dans ces TPS occidentaux aux héros tout patauds.
Ici, le joueur glisse et virevolte, offrant un spectacle vraiment dynamique quand on prend la peine d'utiliser toutes les capacités de l'armure. Vous pourrez par exemple glisser d'un coup de boost vers un ennemi, lui infliger une attaque au corps à corps sous forme de petit salto, et pendant que vous êtes en l'air, viser pour déclencher le bullet time et arroser la racaille autour de vous. Les boss seront bien évidemment gigantesques et possèderont des points faibles qu'il faudra viser afin de révéler un point encore plus faible qui fera baisser sa barre de vie, entrainant ensuite une transformation et l'apparition de nouveau point faible et... enfin vous voyez le principe.
Au niveau des choses qui seront dans le jeu mais dont on ne sait pas grand chose, on sait qu'il sera possible de customiser ses armes. On ne sait pas non plus combien d'armes différentes, trois d'entre elles pouvant être portées en même temps. Il y a un système de score, mais celui-ci semble malheureusement assez basique : pas de ranking en fin de mission, et il ne faudra pas non plus compter sur un système vous incitant à placer des enchainements de fous et à jouer avec classe. C'est un peu dommage, surtout quand on connait les précédentes productions du studio. La partie technique est pour l'instant correcte mais sans plus : c'est propre mais ça ne met pas de claque. En revanche le jeu est parfaitement fluide, ce qui est toujours un bon point.
Voilà pour ce petit avant-goût de Vanquish. Le jeu tente d'apporter un peu de fraicheur et de folie aux TPS duck & cover qui pullulent depuis des années, et il semble bien parti pour réussir.
Le scénario de Vanquish ne vole pas très haut : c'est le futur, les pays sont en crise, les Etats-Unis sont de nouveau opposés à la Russie, et les seconds vont réussir à pirater un satellite des premiers et s'en servir pour détruire San Francisco, ce qui n'est vraiment pas très sympa. On n'en sait pas beaucoup plus, et en toute honnêteté on s'en fout un peu.
Le héros jouera un scientifique ayant inventé une super armure, disposant de toute une tripotée de gadgets, la principale d'entre elles étant bien sûr le boost. Celui-ci vous permettra de vous déplacer à grandes vitesses pendant quelques instants, afin par exemple de glisser d'une couverture à une autre rapidement. À l'inverse, il sera également possible d'utiliser une fonction d'augmentation de la perception, qui se traduira en pratique par un passage en bullet time : celui-ci pourra être déclenché quand vous utilisez le boost et que vous visez, ou quand vous vous prenez trop de coups dans la gueule.
Nous avons pu voir trois niveaux, mais sur ces trois-là un seul a réellement retenu notre attention par son esthétique : il se situe sur un train lancé à grande vitesse traversant la gigantesque station spatiale. C'est très classique, mais les décors sont vraiment vastes et leur design avec une très large dominance de blanc change agréablement de ce que proposent généralement les autres jeux du genre.
Maintenant que l'on a un peu compris les bases, il est temps de voir comment se joue le jeu. Pour schématiser, on pourrait le présenter comme un Gears of War fait par des japonais. C'est un TPS, et on tire sur des ennemis en se planquant derrière les nombreuses zones de couverture. Il y aura d'autres soldats (mais pas en super armure, eux) qui évolueront à vos côtés, qui pourront être blessés et qu'il faudra relever. Le côté japonais intervient avec la présence de robots géants et de super soldats en armure, mais surtout parce que tout est beaucoup plus rapide que dans ces TPS occidentaux aux héros tout patauds.
Ici, le joueur glisse et virevolte, offrant un spectacle vraiment dynamique quand on prend la peine d'utiliser toutes les capacités de l'armure. Vous pourrez par exemple glisser d'un coup de boost vers un ennemi, lui infliger une attaque au corps à corps sous forme de petit salto, et pendant que vous êtes en l'air, viser pour déclencher le bullet time et arroser la racaille autour de vous. Les boss seront bien évidemment gigantesques et possèderont des points faibles qu'il faudra viser afin de révéler un point encore plus faible qui fera baisser sa barre de vie, entrainant ensuite une transformation et l'apparition de nouveau point faible et... enfin vous voyez le principe.
Au niveau des choses qui seront dans le jeu mais dont on ne sait pas grand chose, on sait qu'il sera possible de customiser ses armes. On ne sait pas non plus combien d'armes différentes, trois d'entre elles pouvant être portées en même temps. Il y a un système de score, mais celui-ci semble malheureusement assez basique : pas de ranking en fin de mission, et il ne faudra pas non plus compter sur un système vous incitant à placer des enchainements de fous et à jouer avec classe. C'est un peu dommage, surtout quand on connait les précédentes productions du studio. La partie technique est pour l'instant correcte mais sans plus : c'est propre mais ça ne met pas de claque. En revanche le jeu est parfaitement fluide, ce qui est toujours un bon point.
Voilà pour ce petit avant-goût de Vanquish. Le jeu tente d'apporter un peu de fraicheur et de folie aux TPS duck & cover qui pullulent depuis des années, et il semble bien parti pour réussir.