ACTU
Bernard Depierre, Lionnel Luca et Jacques Remiller
Retenez bien ces noms, ce sont ceux de trois députés UMP pour qui vous êtes priés de ne pas voter aux prochaines législatives.
Estimant que la signalétique actuelle sur les boîtes de jeux ne suffit pas à empêcher nos chères têtes blondes de devenir psychopathes, ils préconisent l'interdiction pure et simple de la vente de jeux video trop violents.
C'est le jeu Rule of Rose qui, ayant déjà mis en émoi l'Europe (et dont la date de sortie en France est incertaine), a (re)mis le feu aux poudres et affole nos trois censeurs. Du coup ils ont déposé un amendement à la loi sur la prévention de la délinquance en cours de discussion à l'Assemblée Nationale.
Ils s'en expliquent ci-dessous, tandis que Lionnel Luca atteint tout seul et sans peine le point Godwin dans cette interview :
Pendant ce temps à Bruxelles, la Commission examine le projet français d'accorder un crédit d'impôt à l'industrie du jeu video, mesure elle-même controversée car elle ne concernerait que les quelques jeux video considérés comme "culturels".
Estimant que la signalétique actuelle sur les boîtes de jeux ne suffit pas à empêcher nos chères têtes blondes de devenir psychopathes, ils préconisent l'interdiction pure et simple de la vente de jeux video trop violents.
C'est le jeu Rule of Rose qui, ayant déjà mis en émoi l'Europe (et dont la date de sortie en France est incertaine), a (re)mis le feu aux poudres et affole nos trois censeurs. Du coup ils ont déposé un amendement à la loi sur la prévention de la délinquance en cours de discussion à l'Assemblée Nationale.
Ils s'en expliquent ci-dessous, tandis que Lionnel Luca atteint tout seul et sans peine le point Godwin dans cette interview :
Demandons-nous simplement comment un enfant ou un adolescent complètement immergé pendant des heures chaque jour, dans un monde virtuel fait de violence gratuite, de meurtre, de torture, sort-il du jeu ? Est-il encore apte à distinguer le réel du virtuel ? Le tolérable de l'inacceptable ?
(...)
Notre responsabilité d'élus doit nous conduire à voter l'interdiction totale de commercialisation, de vente ou de location des jeux ultraviolents sur l'ensemble de notre territoire, au risque de sanctions pénales et financières.
Pendant ce temps à Bruxelles, la Commission examine le projet français d'accorder un crédit d'impôt à l'industrie du jeu video, mesure elle-même controversée car elle ne concernerait que les quelques jeux video considérés comme "culturels".