ACTU
Axelle Lemaire à la PGW : putain, vingt ans !
Salut les amokläufers, c'est D.Cage, le mec que vous avez dit sur Wikipédia qu'il était mort alors que c'était même pas vrai, bande d'imbéciles. En fait là j'ai pas le temps de m'occuper de vous, vraiment. Y'avait la Paris Games Week l'autre jour — je parie que vous n'y êtes même pas allés — et elle était placée sous le signe du respect, alors honnêtement si vous voyez pas le rapport entre ça et vos petits agissements puérils à l'encontre de ma personne, je ne peux plus rien pour vous. Je voulais juste vous faire partager cette petite intervention de la Secrétaire d'État au Numérique de notre Gouvernement Actuel de France, que j'ai pris la liberté de replacer dans son contexte historique, parce que ce n'est rien de moins qu'historique :
...ah et au fait, votre petit podcast là, si vous pouviez en placer une sur ce sujet dans votre prochain numéro, je pourrais éventuellement me mettre à ne plus vous détester pour toujours. Bon je vous laisse, j'ai des émotions à faire passer.
Achieving "artistic legitimacy" is not a good reason to transform videogames. Who legitimizes art? To cede the right to decide the value of games to an authority that has nothing to do with games—or to concede the right to decide what is and is not art to any authority outside of the artist—is a dangerous trap. Creation is art. It doesn't need validation beyond that.
— Anna Anthropy, développeuse indé, dans son livre Rise of the Video Game Zinesters, mars 2012
Nous on pense pas que le jeu vidéo soit un art (...).
— Ivan Gaudé, directeur de la rédaction de Canard PC, interview dans feu Ragemag, décembre 2013
Je suis persuadée que, d’ici vingt ans, le jeu vidéo sera reconnu à part entière comme un art.
— Axelle Lemaire, secrétaire d'État au numérique, interview dans Le Monde, novembre 2016
D’ailleurs, la réalité actuelle de la création, c’est que le cinéma et le jeu vidéo se rapprochent. Chez Quantic Dream, 300 acteurs ont pris part à la réalisation de leur nouveau jeu, Detroit. Tout cela va assez vite fusionner, je pense.Maintenant je vous prie de fermer les yeux et de m'imaginer lâcher un micro. À plus les minus !
— Axelle Lemaire, immédiatement après avoir dit la phrase précédente
...ah et au fait, votre petit podcast là, si vous pouviez en placer une sur ce sujet dans votre prochain numéro, je pourrais éventuellement me mettre à ne plus vous détester pour toujours. Bon je vous laisse, j'ai des émotions à faire passer.