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Un Rédacteur Factornews vous demande :

 
TEST

NBA 2K25

Frostis Advance par Frostis Advance,  email  @FrostisAdvance
Développeur / Editeur : Visual Concepts 2K Games
Cela fait quelques années que je n’ai pas proposé un test de NBA 2K sur Factornews. Déjà quatre ans pour être précis ! Mais cette année, après un énorme tournoi aux JO 2024 et d’excellentes saisons NBA et WNBA, il est peut-être temps de remettre le short et d’aller courir un peu sur les parquets avec NBA 2K25. Alors, est-ce un "air ball" ou un "buzzer beater" du logo ?

Retour sur les parquets

Je vais tout de suite clore un débat que j’entends partout à chaque nouvelle itération d’un jeu de sport : “C’est pareil que l’an dernier, pourquoi t’achètes le même jeu, c’est juste une mise à jour”. Alors, oui et non. Oui, NBA 2K25 ne crée pas une révolution, avec de nouvelles règles dans le basket, des nouvelles équipes NBA et tout ce qui pourrait être inventé comme dans n’importe quel autre jeu. Comme il s’agit d’une simulation de sport basée sur une ligue existante dans la vraie vie, on se retrouve évidemment en terrain connu et obligatoirement un peu bloqué. Et évidemment que je ne m’attends pas à autre chose qu’une amélioration de NBA 2K24, lui-même une évolution de l’épisode 2K23, se basant sur l'épisode 2K22, etc.



Cependant, ce nouvel opus apporte beaucoup, mais alors beaucoup de choses assez intéressantes, notamment avec un contenu absolument gargantuesque et une technique qui pousse encore un peu plus loin les potards du réalisme. Pour cette année, Visual Concepts et 2K Games ont encore mis les petits plats dans les grands en offrant ce qui est, sans aucun doute possible, le plus riche des jeux de basketball à l’instant T, et aussi le plus beau, bien aidé par la technologie Pro Play.

City Edition

Avant de parler de la technique et de votre compte en banque, parlons un peu du contenu. Comme je le disais plus haut, NBA 2K25 s’appuie sur ses acquis, tout en ajoutant ici et là des petites nouveautés. Notez que je n’ai pas exploré à fond les deux derniers épisodes, donc il est fort probable que j’annonce un truc comme étant super nouveau, alors qu’en fait pas du tout. Dans tous les cas, on retrouve les classiques, que ce soit pour les joueurs et joueuses comme moi qui ne jouent pas en ligne, les accrocs des matchs connectés, tout comme les personnes préférant plutôt la partie gestion de franchises, ou encore celles et ceux qui s’offrent un épisode de NBA 2K tous les deux ou trois ans.

MyCareer en mode GOAT

Mode iconique de NBA 2K depuis quelques années, MyCareer permet d’être maître de son destin et de jouer sa propre carrière en NBA, en créant son joueur de A à Z, de son apparence, jusqu’à son poste, sa manière de jouer et ses différents mouvements. Pour ce dernier point, j’y reviendrai un peu plus tard dans ce test, parce que c’est assez impressionnant. Bref, la personnalisation est vraiment très pointue et je dois bien l’avouer, si vous aimez le basket d’un peu de loin, il est fort probable d’être totalement perdu au début face à ce florilège de trucs et de bidules à choisir. Pour aider et pallier cette ultra personnalisation, Visual Concept propose tout de même quelques archétypes de joueurs afin d’alléger un peu la création de son personnage, en se basant sur la taille, le poids et son poste sur le terrain. Sur ce point, c’est vraiment très fidèle et il ne vous sera par exemple pas possible d’avoir un pivot avec le physique du Shaq, tout en faisant des cross-overs à la Allen Iverson à la vitesse de l’éclair (un petit top 10, ça fait plaisir).

Cette année, les développeurs ont aussi réduit le nombre de badges à 40. Ces derniers sont des sortes de compétences que l’on acquiert au fur et à mesure de notre progression dans la ligue, de notre style de jeu et des points d’expérience obtenus en match. Prenez ça comme un arbre de compétences. C’est toujours aussi bien foutu, mais je trouve que c’est quand même un peu le bordel et on se trouve très vite noyé sous une tonne d'informations. Heureusement, cette impression s’estompe avec le temps et les matchs, mais il devient urgent pour Visual Concepts de trouver un moyen d’alléger un peu l’interface.



Qui dit carrière, dit aussi scénario. Honnêtement, j’avais bien aimé l’histoire de NBA 2K19, avec notre personnage qui foire son début de carrière et part tenter sa chance en Chine, chez les Shanghai Bears, puis retrouve les USA mais en passant par la case G-League à Fort Wayne, pour enfin débarquer par la petite porte en NBA. La narration de NBA 2K20 était aussi vraiment cool, avec un protagoniste prenant la défense d’un coéquipier blessé en NCAA, quitte à foirer sa draft chez les pros. L’épisode suivant proposait de jouer le fils d’une ancienne gloire NBA, ce qui faisait échos à quelques joueurs actuels, dont, au passage, Bronny James pour cette année. Bref, c’était vraiment un petit plus assez cool, qui rythmait les débuts de carrière à coup de vidéos et de scènes façon mini-série.

Le problème c'est que cela s’est gâté avec les épisodes suivants, avec une partie orientée vers du RPG et un aspect Battle Pass vraiment pénible. On sait très bien pourquoi Visual Concepts a souhaité intégrer une ville dans sa licence, ce qui met de côté un peu la partie scénario depuis quelques années, nous obligeant à faire tout un tas d’activités annexes, quitte à en oublier qu’on est quand même là pour jouer au basket. De fait, et suite à une grogne assez globale des joueurs et joueuses, ils ont décidé de revenir à quelque chose d’un peu plus léger pour cette année.



Malheureusement pour ce 2K25, le scénario ne va pas bien loin, proposant tout simplement un joueur qui débute sa carrière dans l’équipe de notre choix, et rêvant de devenir le GOAT (Greatest Of All Time). A peine a-t-on quelques bribes d’histoire via le mode Heart of a Dynasty (que l’on peut totalement zapper) revenant sur les débuts de carrière de notre Frostis Factornews, retraçant des matchs importants au lycée, en FIBA U19, etc. Tout cela est bien trop court, planqué dans un menu et n’a absolument aucun impact sur le reste.



Au moins, il est déjà moins nécessaire de faire des aller-retours pour des quêtes annexes dans une ville bien trop grande puisque, cette année, elle se résume à une grande avenue avec quelques branches. Globalement, il s’agit tout simplement d’un lieu où il est possible de retrouver tout un tas de boutiques avec des marques bien réelles vendant des cosmétiques à prix d’or, des playgrounds bien cools avec des équipes totalement débiles et une ambiance de folie, etc. La bonne idée est aussi dans le fait de rencontrer quelques joueurs qui nous donnent rendez-vous, comme Shai Gilgeous-Alexander, Austin Reaves, Jalen Brunson ou encore Mikal Bridges, sauf qu'ils ne sont clairement pas là pour nous apprendre des choses. Les dialogues ne volent pas très haut et on sent clairement qu’il s’agit d’une sorte de contrat publicitaire plus qu’autre chose. Et non, je ne parlerai pas du temps perdu par les développeurs pour nous proposer un circuit de karting. 



Aussi, je ne peux que déplorer le même problème que les années précédentes, qui est étroitement lié au modèle économique du jeu : même avec un joueur ayant pour objectif de devenir une légende parmi les légendes, on ne commencera pas avec les capacités physiques d’un LeBron James (top 10 gratos !), l’adresse de Stephen Curry (top 35, ah ah) et ou le génie de Luka Dončić (top 25, parce que pourquoi pas). Alors oui, le QI basket sera là parce qu’on aura la manette dans les mains, mais même avec ça, notre joueur sera juste “pas ouf” de base. Concrètement, Visual Concepts propose encore et toujours un système de note globale à notre joueur et celle-ci ne casse pas le plafond en début de carrière. Du coup, on se retrouve bien souvent à galérer dans les premiers matchs, à lancer des briques sur des shoots ouverts, louper des layups de base, perdre bêtement la gonfle sur un dribble ou encore faire des passes en mousse. On en reparlera en fin d’article, mais tout cela est beaucoup trop lié aux VC.

I'm just a little kid from Akron

Ici, on s’éloigne de la personnalisation d’un personnage précis, pour s’orienter plutôt vers les équipes. Concrètement, l’idée est de vivre des saisons suivant plusieurs ères spécifiques à la NBA, et donc de revivre certains moments iconiques ou carrément réécrire l’histoire. Vous aimez cette ligue sentant les années 80 avec Magic vs Larry Bird ? Ou alors peut-être avez-vous connu, comme moi, ce merveilleux sport durant les années 90 avec les Bulls de Michael Jordan ? Vous êtes plus jeune ? Ok, alors c’est peut-être via le début des années 2000 avec le Shaq et Kobe. Ok, en fait, c’est plutôt avec LeBron James qui a dominé les années 2010 ? Et bien si vous êtes fan de Steph Curry, chance à vous, puisque son ère vient d’être ajoutée, permettant de jouer avec les Warriors de 2016 jusqu’en 2020. Et évidemment, nous avons aussi l’ère moderne, avec le Play-In Tournament et la NBA Cup.



En plus de vivre de belles tranches d’histoire, Visual Concepts a poussé le bouchon très loin : commentateurs, identités visuelles des franchises, habillages TV, voire même filtre “vieille TV”. Tout est là, tout est d’époque. Ça m'a limite foutu quelques frissons pour certains matchs.

Avec ce mode NBA personnalisable dans tous les sens, il est aussi possible de s'aventurer comme GM (General Manager) d’une franchise, prenant toutes les décisions dans un bureau en haut de son gratte-ciel, dans une sorte de jeu de gestion. Je n’ai malheureusement pas mis le nez dedans assez longtemps, mais tout de même suffisamment pour me rendre compte que c’est comme d’habitude, très complet, et que cela tient plus du RPG que du mini-jeu. Ici, tout est lié à nos choix, en commençant par celui d’être un ancien joueur ou plutôt un politicien du basket.



En plus de tout cela qui va déjà prendre un temps considérable, il est aussi possible de jouer des matchs d’exhibitions en solo ou en multijoueur (local et en ligne), ou directement les playoffs, histoire de s’affranchir d’une saison qui peut être longue : 82 matchs en NBA (pour 30 équipes) et 40 matchs en WNBA (avec ses 12 équipes). Des modes, en dehors des ères propres à la NBA, qui sont partagés avec la partie WNBA, dont on va maintenant parler.

À fond dans la WNBA mais pas trop

Depuis quelque temps, je m’intéresse d’assez près à la WNBA, la ligue féminine de basket aux USA. Cette année, l’arrivée de ma chouchou, Caitlin Clark (55 minutes de bonheur), en premier choix de la draft 2024 par le Fever d'Indiana a fait grand bruit. Si vous ne la connaissez pas, imaginez juste qu’elle a globalement le même impact que Steph Curry à son arrivée. Elle shoot du parking à la vitesse de l’éclair, enchaîne les double-doubles (au moins dix unités sur deux catégories, comme les points, passes, rebonds, contres), mais aussi des triple-doubles, tout en faisant tomber des records en passes, avec 19 caviars sur un match et 337 passes sur la saison. En septième place de cette même draft, les Sky de Chicago ont choisi Angel Reese (vous avez bien 38 minutes devant vous non ?), la bouffeuse de rebonds, prenant la première place au classement avec 13,1 unités et un record pour une rookie avec 26 double-doubles.



Bref, cette année, la WNBA a explosé et a franchi un cap médiatique, ce qui est très cool. C’est encore assez loin de ce que propose la NBA, mais il est clair que l’idée est d’aller dans la même direction. Du coup, NBA 2K25 intègre totalement la ligue avec le mode The W, proposant une sorte de MyCareer un peu plus allégée mais paradoxalement plus intéressante, puisque proposant deux archétypes de joueuses. L’une avec une note générale de 75 et un parcours classique aux USA avec de l’université. L’autre avec une expérience en Europe et une note générale de 85. Tout cela permet donc de partir direct dans une saison avec une protagoniste qui sait shooter et qui ne perd pas bêtement des ballons. Notez aussi qu’il est évidemment question de créer sa joueuse à son image, tout comme avec les hommes.



Reste tout de même que Visual Concepts ne propose toujours pas un scénario poussé. On se retrouve comme il y a quelques années à enchaîner les matchs et les conférences de presse. Au moins, on ne perd pas notre temps avec des quêtes annexes dans la ville, des entraînements un peu chiants, pas de magasin, rien. On peut aussi espérer qu’un jour, les ères WNBA fassent une apparition, tout comme les droits sur la totalité des arènes des franchises, ce qui n’est pas le cas actuellement. Dans tous les cas, je conseille fortement de vous plonger dans la WNBA, parce que le niveau est vraiment bon.

Les prouesses du Pro Play

J’ai eu une version Xbox de NBA 2K25, et j’y joue sur Xbox Series X, accompagné d’un écran 4K de qualité et d’un système audio qui l’est tout autant. Malgré cela, je dois bien avouer que les différences graphiques et sonores entre cet épisode et le précédent ne sautent pas aux yeux. C’est toujours aussi beau, ça ressemble de plus en plus à la réalité et je suis parfois surpris de la ressemblance de certains joueurs et joueuses par rapport à la réalité. De même pour l’ambiance dans les salles, qui bouillonnent lors d’un dernier quart un peu serré, ou quand quelqu’un enchaîne les gros points. Donc oui, ce NBA 2K25 est vraiment très bon techniquement, mais ce n’est pas là qu’il est le meilleur.



Finalement, tout se joue sur la technologie Pro Play. Un procédé implémenté l’an passé et qui change pas mal la donne. Concrètement, Visual Concepts avait accès, grâce à un partenariat entre 2K Games et la NBA, à des captures de mouvements de quelques joueurs NBA, généralement les plus connus et surtout ceux sur la pochette du jeu. Pour le reste des joueurs, le studio faisait appel à des joueurs de basket qui tentaient de reproduire les mouvements des joueurs NBA, afin de les capturer. C’était déjà très bien et on avait vu certaines différences avec les épisodes précédents.



Cette année, la barre est placée bien plus haut. Visual Concepts a accédé à la totalité des données vidéos de la NBA, donc de tous les mouvements des joueurs, que ce soit pour tirer, dunker, prendre un rebond, dribbler, défendre ou même jurer et s’énerver suite à une faute pas vraiment flagrante, etc. Cela donne des nombres d’ajouts totalement délirants avec environ 9 000 nouvelles animations pour NBA 2K25, comprenant 1 500 nouveaux dribbles et 1 100 nouveaux tirs signatures, évidemment tous paramétrables sur notre joueur en MyCareer.

Et c’est là que les gens regardant le basket NBA à la TV régulièrement verront la différence, tandis que les autres chercheront encore ce qui change. Ajoutons à cela un moteur de collisions un peu plus perfectionné et un nouveau moteur de dribbles rendant les mouvements bien plus fluides, et on s’approche doucement de la perfection. 



il y a malgré tout encore du travail, notamment sur ce qui n’est pas sur le parquet. Le public est toujours un peu moyennement modélisé avec des visages faisant penser à l’époque GTA IV, sorti tout de même en 2008. Et c’est un peu la même chose pour les coachs, disposant toujours de cet effet "yeux de poisson mort". De même, dès lors que l’on sort du terrain, par exemple dans les vestiaires, les bureaux ou même la ville, les mouvements de notre personnage font presque lents, lourds, maladroits et patauds. Lors d’un match, ça ne pose aucun problème, mais courir dans les rues de The City est d’une lenteur qui frise le ridicule, tout comme les animations d’entrées dans un bâtiment, etc.

Tout à jeter dans les VC

Il reste encore un mode dont je n'ai pas parlé, il s’agit de MyTeam. Chaque année, je me dis que c’est la bonne, que je vais m’y mettre et y passer un peu de temps. Mais encore une fois, on se retrouve avec une sorte d'équivalent à FUT de FC Club (anciennement FIFA chez Electronic Arts), à savoir un jeu de cartes offrant des joueurs, coachs et autres trucs pour jouer ensuite des matchs avec des équipes un peu farfelues, mais surtout certaines mécaniques dangereuses qui pointent à l’horizon. Vous savez, ce genre de jeux offrant un max de choses trop bien pour les premières heures, qui vous donnent le sentiment que tout va bien, mais qui, à un moment, vous demandent de mettre la main à la poche pour avancer à une vitesse raisonnable ? 



Et c’est là l’énorme défaut de NBA 2K dans son ensemble : un système économique à base de micro-transactions, mélangeant plusieurs monnaies virtuelles, alors que le jeu de base est vendu au prix fort. Dans les faits, si vous souhaitez jouer en ligne tout en ne dépensant rien à part votre temps et votre skill, il est fort probable de vous retrouver avec votre personnage (créé via MyCareer) possédant une note globale moyenne, et donc le niveau qui va avec, tandis que vos adversaires auront des notes de 90 à 99, et vous écrabouilleront juste parce que leur personnage va plus vite, saute plus haut, n’est pas fatigué, tire mieux, bref, est une machine surboostée aux micro-transactions. Eh oui, je parle bien de pay to win assez sale qui tue dans l'œuf toute forme de fun en ligne, de mon point de vue.

Il faut savoir que tout le jeu est basé sur un système d’expérience, que l’on augmente petit à petit en achetant des points ici et là avec une monnaie virtuelle appelée VC, pour Virtual Currency. Cette monnaie, on en gagne un peu, à coup de 500, 1000 ou 2000 unités en mode carrière, suivant ce que l’on fait. Le problème, c’est qu’il faut faire une carrière bien complète pour arriver à une note globale assez haute. Et cela prend forcément du temps (un bon 40 à 60 heures de jeu réel, donc sans aucune coupure).



Ces VC servent un peu à tout dans le jeu. De fait, si vous ne sortez pas la carte bancaire ou ne jouez pas jour et nuit, les matchs en ligne sont presque perdus d’avance. Jouez contre un joueur ayant dépensé 50 € pour 200 000 VC, et vous n’aurez quasiment aucune chance dans les premiers mois du jeu. D’ailleurs, cela commence directement avec la version du jeu que l’on achète, permettant d’avoir de 15 000 à 100 000 VC dès l’achat (j'ai d'ailleurs eu de la chance en obtenant une All-Star Edition, offrant 100 000 VC dès le départ, afin d'avoir un joueur qui sait tout de même jouer un peu au basket). Et je ne parle pas des pass de saison à 9,99 € par saison ou encore 19,99 € pour un pass Hall of Fame.

Il faut donc savoir tout cela avant de se lancer dans NBA 2K25, surtout si vous avez l’envie de jouer en ligne, ce qui n’est heureusement pas mon cas. Gardez tout de même à l'esprit que la partie solo en veut déjà beaucoup moins à votre argent, ce qui est tout de même plus agréable.
Est-ce que NBA 2K25 est un excellent jeu de basketball ? Assurément. La licence de 2K Games reste encore une fois sur la première marche du podium. Mais un podium qui n’a qu’une marche, puisqu’aucune concurrence. Peut-être que cela ferait du bien à la licence de se faire chase down block par un LeBron en furie, ne serait-ce que pour atténuer l’aspect micro-transactions. Pour le reste, c’est du tout bon et si vous aimez le basket, c’est une référence à posséder sur votre console ou PC.
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