ACTU
Videospiel über à l'aise

Udo Nagel est un politicien allemand au pouvoir qui veut lutter contre la délinquance juvénile. Pour cet homme, un des facteurs qui font que nos jeunes deviennent des criminels est l'absentéisme scolaire. Mais que font ces jeunes quand ils ne vont pas à l'école ? Ils jouent aux jeux vidéo bien sur. Certains squattent les bornes de démo des boutiques toute la journée à tel point que les autorités ont suggéré d'éteindre ces bornes jusqu'à 15h.
En France, certains poussent le bouchon un peu loin. La XS Arena, une immense salle de jeu en réseau parisienne, proposait il y a encore peu de temps un forfait "no school" permettant de jouer toute la journée. Au Japon, l'Etat avait demandé à Enix de sortir les Dragon Quest le week-end ou les jours fériés pour éviter d'avoir un taux d'absentéisme délirant à l'école et au travail. Vraie solution ? Faux problème ?
Je doute que le fait de sécher fasse des gens des criminels sinon la fac deviendrait un centre de recrutement de la Mafia. Je doute aussi du fait que l'impossibilité de jouer "oblige" les jeunes à aller en cours. Mais au moins, cette mesure ne pointe pas directement du doigt les jv mais plutôt leur usage immodéré. En tout cas, je suis sur qu'on tire plus de leçons de quatre heures de Bully que d'une heure d'analyse d'un texte d'Heidegger.
En France, certains poussent le bouchon un peu loin. La XS Arena, une immense salle de jeu en réseau parisienne, proposait il y a encore peu de temps un forfait "no school" permettant de jouer toute la journée. Au Japon, l'Etat avait demandé à Enix de sortir les Dragon Quest le week-end ou les jours fériés pour éviter d'avoir un taux d'absentéisme délirant à l'école et au travail. Vraie solution ? Faux problème ?
Je doute que le fait de sécher fasse des gens des criminels sinon la fac deviendrait un centre de recrutement de la Mafia. Je doute aussi du fait que l'impossibilité de jouer "oblige" les jeunes à aller en cours. Mais au moins, cette mesure ne pointe pas directement du doigt les jv mais plutôt leur usage immodéré. En tout cas, je suis sur qu'on tire plus de leçons de quatre heures de Bully que d'une heure d'analyse d'un texte d'Heidegger.