ACTU
Rockstar ou les voleurs d'idée
GameSpot nous apprend que Rockstar North est poursuivi par Mark Gallagher, un consultant informatique habitant les hautes terres d'Ecosse.
L'homme affirme avoir développé entre 1991 et 1993 Crime, Inc., un jeu mettant en scène des gangs se battant pour le contrôle d'une ville, puis envoyé au studio DMA. Ces derniers auraient gardé le CD mais sans engager Mark Gallagher. Déception. Quatre ans plus tard, voilà que DMA sort Grand Theft Auto, qui aura le succès que l'on sait et fera naitre des vocations de carjackers dans le monde entier.
Depuis, DMA est devenu Rockstar North, a sorti Grand Theft Auto London, Grand Theft Auto 2, Grand Theft Auto 3, Grand Theft Auto : Vice City, le tout sur consoles et PC. Les développeurs sont tous devenus milliardaires et habitent des endroits aussi minables que Beverly Hills, les Champs Elysées ou face au Central Park. Mark Gallagher, lui, porte des bottes en caoutchouc et vit toujours au fin fond de son Ecosse natale en comptant les mètres de pluie par jour. Pour se venger de cet ignoble destin, il réclame maintenant pas moins de 1,5 millions de Livres (la monnaie anglaise, pas les bouquins). Ce qui fait un gros paquet de fric, oui.
Brian Baglow, ex-employé de DMA ayant bossé sur le premier Grand Theft Auto, dément tout et trouverait d'ailleurs étonnant que le pauvre type ait mis si longtemps à se réveiller. Il raconte également que dans un premier temps, GTA devait nous mettre dans la peau d'un flic avec pour objectif d'arrêter cette saleté de racaille piqueuse de bagnoles et écraseuse de chiens que nous avons pourtant tant de plaisir à jouer.
Bonne chance quand même, Mark Gallagher, tu vas en avoir besoin pour ton procès. Au pire, tu pourras toujours te faire une coupe au bol et monter un groupe de pop avec ton chiant de frère.
L'homme affirme avoir développé entre 1991 et 1993 Crime, Inc., un jeu mettant en scène des gangs se battant pour le contrôle d'une ville, puis envoyé au studio DMA. Ces derniers auraient gardé le CD mais sans engager Mark Gallagher. Déception. Quatre ans plus tard, voilà que DMA sort Grand Theft Auto, qui aura le succès que l'on sait et fera naitre des vocations de carjackers dans le monde entier.
Depuis, DMA est devenu Rockstar North, a sorti Grand Theft Auto London, Grand Theft Auto 2, Grand Theft Auto 3, Grand Theft Auto : Vice City, le tout sur consoles et PC. Les développeurs sont tous devenus milliardaires et habitent des endroits aussi minables que Beverly Hills, les Champs Elysées ou face au Central Park. Mark Gallagher, lui, porte des bottes en caoutchouc et vit toujours au fin fond de son Ecosse natale en comptant les mètres de pluie par jour. Pour se venger de cet ignoble destin, il réclame maintenant pas moins de 1,5 millions de Livres (la monnaie anglaise, pas les bouquins). Ce qui fait un gros paquet de fric, oui.
Brian Baglow, ex-employé de DMA ayant bossé sur le premier Grand Theft Auto, dément tout et trouverait d'ailleurs étonnant que le pauvre type ait mis si longtemps à se réveiller. Il raconte également que dans un premier temps, GTA devait nous mettre dans la peau d'un flic avec pour objectif d'arrêter cette saleté de racaille piqueuse de bagnoles et écraseuse de chiens que nous avons pourtant tant de plaisir à jouer.
Bonne chance quand même, Mark Gallagher, tu vas en avoir besoin pour ton procès. Au pire, tu pourras toujours te faire une coupe au bol et monter un groupe de pop avec ton chiant de frère.