ACTU
Le jeu vidéo s'en V&A perturber Londres
par Buck Rogers,
email
Ce n'est pas une nouveauté, le jeu vidéo n'a pas la cote, et trop souvent il sert de bouc émissaire dès qu'il y a un nouveau drame à l'horizon. On nous parle d'addiction, que les jeux rendent violent, qu'ils abîment les yeux de nos enfants, et pourquoi pas bientôt qu'ils nous font les poches. A non, ça c'est déjà le cas en fait. Bref, à l'image des comics à une autre époque, et de toutes les musiques de jeunes, le jeu vidéo n'a pas bonne presse. Mais heureusement, tout le monde n'est pas de cet avis.
Le Victoria and Albert Museum de Londres va accueillir ce samedi, et ce jusqu'en février 2019, une exposition nommée Videogames : Design/Play/Disrupt. Ce musée, qui a plus de 165 ans d'âge, est l'un des plus grand d'Europe, et bien que spécialisé dans la sculpture et les arts décoratifs (merci wiki), il va accepter en son sein ce media pourtant très décrié. Media ai-je dit ? Pour Tristram Hunt, le directeur du musée, le jeu vidéo n'est ni plus ni moins que la fusion de l'art, de l'artisanat, de la littérature, du cinéma, de la mode et de la musique. Rien que ça !
Ce sera autour de bornes d'arcades, de simulateurs, d'écrans géants, de dessins originaux mais aussi de carnets de travail de développeurs, que le public pourra appréhender le processus de création d'un jeu vidéo. L'exposition explorera des titres allant de Minecraft ou No Man's Sky, jusqu’à des œuvres un peu plus touchantes telles que The Last Of Us. Elle fera également un tour d'horizon autour de messages politiques véhiculés par les jeux, le développement de l'Esport, voire de l'influence que peut avoir le style d'un tableau sur une œuvre vidéoludique.
Cette fois loin des détracteurs, le public pourra prendre conscience de la portée que peut avoir une œuvre vidéoludique, ainsi de la somme de talents dans l’ingénierie, la programmation, les arts plastiques, la musique etc. qui arrive à travailler de concert. Et en osmose, ils peuvent parfois donner naissance à de purs chefs-d’œuvre qui ont bercé, bercent, et berceront les joueurs de génération en génération.
Le Victoria and Albert Museum de Londres va accueillir ce samedi, et ce jusqu'en février 2019, une exposition nommée Videogames : Design/Play/Disrupt. Ce musée, qui a plus de 165 ans d'âge, est l'un des plus grand d'Europe, et bien que spécialisé dans la sculpture et les arts décoratifs (merci wiki), il va accepter en son sein ce media pourtant très décrié. Media ai-je dit ? Pour Tristram Hunt, le directeur du musée, le jeu vidéo n'est ni plus ni moins que la fusion de l'art, de l'artisanat, de la littérature, du cinéma, de la mode et de la musique. Rien que ça !
Ce sera autour de bornes d'arcades, de simulateurs, d'écrans géants, de dessins originaux mais aussi de carnets de travail de développeurs, que le public pourra appréhender le processus de création d'un jeu vidéo. L'exposition explorera des titres allant de Minecraft ou No Man's Sky, jusqu’à des œuvres un peu plus touchantes telles que The Last Of Us. Elle fera également un tour d'horizon autour de messages politiques véhiculés par les jeux, le développement de l'Esport, voire de l'influence que peut avoir le style d'un tableau sur une œuvre vidéoludique.
Cette fois loin des détracteurs, le public pourra prendre conscience de la portée que peut avoir une œuvre vidéoludique, ainsi de la somme de talents dans l’ingénierie, la programmation, les arts plastiques, la musique etc. qui arrive à travailler de concert. Et en osmose, ils peuvent parfois donner naissance à de purs chefs-d’œuvre qui ont bercé, bercent, et berceront les joueurs de génération en génération.