ACTU
Heil Razer
par CBL,
email @CBL_Factor
Comme l'an dernier, Razer a profité du CES pour présenter un nouveau concept foireux évidemment sans montrer le moindre prototype. Apres le SwitchBlade, voici le Fiona.
C'est le même esprit que la mablette de la Wii : une tablette (ici un PC) à laquelle on a collé deux nunchuk de PS Move. Il y a un accéléromètre, du retour de force, un écran multi-touch et ça peut même piler la glace pour les margaritas. Au niveau hardware, un core i7 devrait assurer la partie CPU et on imagine que le GPU intégré du SandyBridge devrait assurer la partie graphique. Razer espère sortir ce truc à la fin de l’année avec Windows 8. On souhaite bon courage pour convertir les PCistes en même temps aux tablettes et aux pads.
Vous noterez qu'on parle un chouia de hardware mais c'est parce qu'on va aborder un sujet qui m’intéresse : les PCs portables. Sur le stand on peut tester le Blade, "le premier vrai PC portable de jeu". L'objectif de Razer etait de faire un pc portable aux perfs correctes, à l'autonomie decente et au poids respectable. Du coup la bête embarque un écran 17 pouces, un Core i7 2640M, une GeForce GT555M épaulés par 8 Go de mémoire centrale et 2 Go de mémoire vidéo, le tout pensant environ 3 kg. Le hic est qu'ils vendent cela 2800 dollars. Croyez-en un vieux routard du transportable pour joueurs, c'est beaucoup trop cher.
Au final, le poids et l'autonomie on s'en fout un peu pour ce genre de machines. On ne sort pas un 17 pouces dans le train ou dans l'avion surtout si on ne peut pas poser sa souris pour jouer. C'est destiné à être transporté du bureau au salon ou chez les potes pour faire une LAN. La batterie fait office d'onduleur. Et comme dit Boris, le poids est synonyme de fiabilité. Pour 1000 dollars de moins, on se paye une petite bombe de chez MSI. Certes c'est moins sexy mais les perfs sont meilleures.
Le petit plus du Blade c'est le mini-écran tactile qui remplace le pave numérique. En pratique ca ne sert à rien car on ne peut pas regarder à la fois l’écran principal et son petit frère. Il y a aussi des touches programmables avec affichage LED mais Razer aurait mieux fait de les coller près de ZQSD, là où elles auraient eu une chance de servir.
C'est le même esprit que la mablette de la Wii : une tablette (ici un PC) à laquelle on a collé deux nunchuk de PS Move. Il y a un accéléromètre, du retour de force, un écran multi-touch et ça peut même piler la glace pour les margaritas. Au niveau hardware, un core i7 devrait assurer la partie CPU et on imagine que le GPU intégré du SandyBridge devrait assurer la partie graphique. Razer espère sortir ce truc à la fin de l’année avec Windows 8. On souhaite bon courage pour convertir les PCistes en même temps aux tablettes et aux pads.
Vous noterez qu'on parle un chouia de hardware mais c'est parce qu'on va aborder un sujet qui m’intéresse : les PCs portables. Sur le stand on peut tester le Blade, "le premier vrai PC portable de jeu". L'objectif de Razer etait de faire un pc portable aux perfs correctes, à l'autonomie decente et au poids respectable. Du coup la bête embarque un écran 17 pouces, un Core i7 2640M, une GeForce GT555M épaulés par 8 Go de mémoire centrale et 2 Go de mémoire vidéo, le tout pensant environ 3 kg. Le hic est qu'ils vendent cela 2800 dollars. Croyez-en un vieux routard du transportable pour joueurs, c'est beaucoup trop cher.
Au final, le poids et l'autonomie on s'en fout un peu pour ce genre de machines. On ne sort pas un 17 pouces dans le train ou dans l'avion surtout si on ne peut pas poser sa souris pour jouer. C'est destiné à être transporté du bureau au salon ou chez les potes pour faire une LAN. La batterie fait office d'onduleur. Et comme dit Boris, le poids est synonyme de fiabilité. Pour 1000 dollars de moins, on se paye une petite bombe de chez MSI. Certes c'est moins sexy mais les perfs sont meilleures.
Le petit plus du Blade c'est le mini-écran tactile qui remplace le pave numérique. En pratique ca ne sert à rien car on ne peut pas regarder à la fois l’écran principal et son petit frère. Il y a aussi des touches programmables avec affichage LED mais Razer aurait mieux fait de les coller près de ZQSD, là où elles auraient eu une chance de servir.