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FactorAwards 2011 : Passons au petit salon
par Skizomeuh,
email @Skizomeuh
Les salons qui jalonnent l'année sont des évènements incontournables pour discerner le futur du média. Il leur fallait donc des prix dédiés.
Même si on est loin de la conférence de la honte de Nintendo en 2009 avec son Wii Music et Ravi Drums ou celle sous acide d'Ubi en 2010, les conférenciers de l'E3 de cette année nous ont régalé avec plein d'absents, de mauvaises surprises et de petits ratages. Devant la platitude de la conf Sony tout juste ratrappée par la PSVita et le gros show de claquette du lancement de la Wii U à base de développeurs et éditeurs venus faire les puputes à Miyamoto, c'est finalement Microsoft qui l'emporte d'une courte tête.
Tout d'abord grâce au gros moment de solitude du fameux "controller disconnected" de MW3 dans la toute première minute du show, balaise. Puis Kinect qui a monopolisé les 2/3 du show avec des types faisant semblant de s'y croire et de s'amuser et la speakerine trop contente de contrôler mollement par la voix un Xbox Live où les jeux ont été complètement occultés, le tout devant un auditoire figé entre malaise et torpeur.
L'année dernière, pour sa première édition, le Paris Game Week s'est escrimé à tacler aux genoux les deux autres événements du même type installés à Paris, le Festival du JV et le Micromania Game Show.
La tactique a réussi : cette année, le SELL avait le champ libre pour réaliser son rêve, une sorte d'E3 du pauvre avec des jeux déjà sortis ou sur le point de l'être, plein d'éditeurs, mais sans le moindre studios de dev et encore moins d'indés. Bref, un salon-supermarché.
Award du plus bel instant de solitude en conférence : La conf E3 de Microsoft
Même si on est loin de la conférence de la honte de Nintendo en 2009 avec son Wii Music et Ravi Drums ou celle sous acide d'Ubi en 2010, les conférenciers de l'E3 de cette année nous ont régalé avec plein d'absents, de mauvaises surprises et de petits ratages. Devant la platitude de la conf Sony tout juste ratrappée par la PSVita et le gros show de claquette du lancement de la Wii U à base de développeurs et éditeurs venus faire les puputes à Miyamoto, c'est finalement Microsoft qui l'emporte d'une courte tête.
Tout d'abord grâce au gros moment de solitude du fameux "controller disconnected" de MW3 dans la toute première minute du show, balaise. Puis Kinect qui a monopolisé les 2/3 du show avec des types faisant semblant de s'y croire et de s'amuser et la speakerine trop contente de contrôler mollement par la voix un Xbox Live où les jeux ont été complètement occultés, le tout devant un auditoire figé entre malaise et torpeur.
Award du plus gros salon de JV français, et c'est logique vu qu'il a bouffé tous les autres : Le Paris Game Week
L'année dernière, pour sa première édition, le Paris Game Week s'est escrimé à tacler aux genoux les deux autres événements du même type installés à Paris, le Festival du JV et le Micromania Game Show.
La tactique a réussi : cette année, le SELL avait le champ libre pour réaliser son rêve, une sorte d'E3 du pauvre avec des jeux déjà sortis ou sur le point de l'être, plein d'éditeurs, mais sans le moindre studios de dev et encore moins d'indés. Bref, un salon-supermarché.