ACTU
E3 : Présentation d'XCOM
par CBL,
email @CBL_Factor
Le producteur d'XCOM a commencé la présentation du jeu par nous expliquer qu'ils adoraient la licence chez 2K Marin et que ce reboot était très fidèle aux anciens tout en apportant des choses en plus. Après trois minutes de jeu, on a compris que c'était évidemment du beau foutage de gueule. Ça ressemble autant aux anciens X-COM que ma grand-mère à un catcheur mexicain.
On le savait même avant la présentation et on n'était pas venu pour voir du X-COM à l'ancienne. Par contre on aurait aimé voir un bon jeu.
Tout commence dans la base de l'agence XCOM, un gros hangar d'avion. De là on peut choisir ses missions sur une carte, faire des recherches et prendre son équipements. La côté recherche est en fait ultra-limité et se limite à prendre des photos et à ramasser les trucs intéressants qu'on trouve. Le Q local nous explique qu'il a développé des nouvelles grenades incendiaires et nous en file un stock. Le choix des missions est relativement important et des nouvelles missions apparaissent au fur et à mesure. Le jeu est censé être non-linéaire et le choix de la mission est censé avoir de l'importance pour la suite mais on a quelques doutes.
Une fois la mission choisie, on choppe un shotgun et un lighting gun et on va faire la mission accompagnée de deux acolytes. On se retrouve dans le Los Angeles des années 50. Une vague ambiance horrifique s'installe. Le producteur en fait trois tonnes à base "Oooh ! Il y a des vélos d'enfants mais pas d'enfants ! Quelque chose d'horrible à du arriver ! Vite allons voir d'où viennent ces cris !". Effectivement une femme crie. Il y a de la merdasse noire par terre. On la suit. On finit par arriver à une baraque. Un homme en sort, vomit de la merdasse noire et meurt. On entre dans la maison.
Des gros blobs noirs nous attaquent. On tire dessus au fusil à pompe. C'est mou et assez risible. La fille devant moi se retient de rigoler. Je me retiens de pleurer. Le dev qui fait la démo jette une grenade incendiaires à ses pieds pour tuer un blob et ne prend même pas de dégâts. D'ailleurs on ne prend aucun dégât. On se demande si on peut crever. Le jeu n'a aucune interface et on ne sait pas combien de munitions il nous reste mais les grenades et le pompe semble illimités, ce qui détruit le peu de tension de la scène. On teste le lighting gun. Lui a des munitions limitées mais on ne comprend même pas où on vise. On finit par dégommer tous les blobs et on sauve la maitresse de maison. On a perdu un des deux acolytes. Le producteur continue d'en faire des tonnes à base de "C'était un sacrifice nécessaire pour sauver cette innocente citoyenne".
Un espèce de monolithe noir apparait dehors et se change en antenne satellite qui tire et désintègre notre deuxième pote. On bourrine sur l'antenne avec le lighting gun qui finit par exploser dans un gros éclair blanc. Le titre du jeu apparait. Fin de la démo. Le producteur répond à côté à toutes mes questions gênantes avant qu'on soit gentiment invité à sortir. On se dit que ce n'est qu'une démo et on espère que le jeu a bien plus à offrir parce que pour l'instant, tout ce qui sauve le titre c'est des graphismes correct et une ambiance 50s sympa.
On le savait même avant la présentation et on n'était pas venu pour voir du X-COM à l'ancienne. Par contre on aurait aimé voir un bon jeu.
Tout commence dans la base de l'agence XCOM, un gros hangar d'avion. De là on peut choisir ses missions sur une carte, faire des recherches et prendre son équipements. La côté recherche est en fait ultra-limité et se limite à prendre des photos et à ramasser les trucs intéressants qu'on trouve. Le Q local nous explique qu'il a développé des nouvelles grenades incendiaires et nous en file un stock. Le choix des missions est relativement important et des nouvelles missions apparaissent au fur et à mesure. Le jeu est censé être non-linéaire et le choix de la mission est censé avoir de l'importance pour la suite mais on a quelques doutes.
Une fois la mission choisie, on choppe un shotgun et un lighting gun et on va faire la mission accompagnée de deux acolytes. On se retrouve dans le Los Angeles des années 50. Une vague ambiance horrifique s'installe. Le producteur en fait trois tonnes à base "Oooh ! Il y a des vélos d'enfants mais pas d'enfants ! Quelque chose d'horrible à du arriver ! Vite allons voir d'où viennent ces cris !". Effectivement une femme crie. Il y a de la merdasse noire par terre. On la suit. On finit par arriver à une baraque. Un homme en sort, vomit de la merdasse noire et meurt. On entre dans la maison.
Des gros blobs noirs nous attaquent. On tire dessus au fusil à pompe. C'est mou et assez risible. La fille devant moi se retient de rigoler. Je me retiens de pleurer. Le dev qui fait la démo jette une grenade incendiaires à ses pieds pour tuer un blob et ne prend même pas de dégâts. D'ailleurs on ne prend aucun dégât. On se demande si on peut crever. Le jeu n'a aucune interface et on ne sait pas combien de munitions il nous reste mais les grenades et le pompe semble illimités, ce qui détruit le peu de tension de la scène. On teste le lighting gun. Lui a des munitions limitées mais on ne comprend même pas où on vise. On finit par dégommer tous les blobs et on sauve la maitresse de maison. On a perdu un des deux acolytes. Le producteur continue d'en faire des tonnes à base de "C'était un sacrifice nécessaire pour sauver cette innocente citoyenne".
Un espèce de monolithe noir apparait dehors et se change en antenne satellite qui tire et désintègre notre deuxième pote. On bourrine sur l'antenne avec le lighting gun qui finit par exploser dans un gros éclair blanc. Le titre du jeu apparait. Fin de la démo. Le producteur répond à côté à toutes mes questions gênantes avant qu'on soit gentiment invité à sortir. On se dit que ce n'est qu'une démo et on espère que le jeu a bien plus à offrir parce que pour l'instant, tout ce qui sauve le titre c'est des graphismes correct et une ambiance 50s sympa.