ACTU
Activision n'avait "d'autre choix" que de virer Zampella et West
Pendant l'annonce des ses résultats financiers (évidemment excellents), Activision/Blizzard a assuré par la voix de son CEO Robert Kotick que les trois clampins restants du studio fantôme Infinity Ward bossaient ferme sur un nouveau Call of Duty. Il va leur falloir quelques kilos de méta-amphétamine par intraveineuse pour livrer leur épisode en 2011.
Revenant sur cette affaire mais se gardant bien d'en dévoiler les tenants, Kotick a assuré qu'il n'avait eu "d'autre choix que de mettre fin" au contrat de Vince Zampella et Jason West : "Il était impossible pour nous de les garder, nous avons fait cela pour protéger les actifs de la compagnie et les intérêts des actionnaires".
Depuis ce fameux licenciement, 39 personnes, souvent à des postes-clé, ont quitté Infinity Ward, soit près de la moitié du studio.
Revenant sur cette affaire mais se gardant bien d'en dévoiler les tenants, Kotick a assuré qu'il n'avait eu "d'autre choix que de mettre fin" au contrat de Vince Zampella et Jason West : "Il était impossible pour nous de les garder, nous avons fait cela pour protéger les actifs de la compagnie et les intérêts des actionnaires".
Depuis ce fameux licenciement, 39 personnes, souvent à des postes-clé, ont quitté Infinity Ward, soit près de la moitié du studio.