TEST
AC2 : La Bataille de Forli
Grâce à vos 320 MSP/ 4€, Rebecca Crane a réussi à reconstituer le segment 12 de la mémoire génétique d'Eizo. Un souvenir qui vous mènera au coeur de la ville de Forli en état de siège : les sbires de l'Espagnol cherchent à récupérer le fragment d'Eden par tous les moyens, et il faudra prendre part à la bataille pour protéger la ville
Sur le papier, ça s'annonce chouette.
Dans les faits, une bonne partie de cette extension vous demandera simplement d'occire des vagues d'ennemis en escortant Machiavel et Caterina Sforza, des alliés à l'instinct de conservation particulièrement mince. Les combats ne sont malheureusement pas la partie la plus passionnante d'Assassin's Creed, et le background qu'essaye vaguement d'installer l'extension est vite mis à mal par les remarques complètement hors contexte des assaillants, tout à occire le "célèbre assassin" plutôt que de s'intéresser à leur invasion ou aux VIPs que l'on protège. Le tout semble un peu bricolé, et on ne se sent à aucun moment parti prenante de la bataille épique promise dans le pitch. Après les missions cohérentes et peaufinées du jeu original, on était en droit d'attendre mieux.Sur le papier, ça s'annonce chouette.
Un mot sur la machine volante, mise à disposition aux abords de la ville fortifiée : elle ne sert à rien. Inutilisable pendant les missions, elle permettra juste de faire quelques vols d'agrément, sans le moindre but.
Vers la fin de ce DLC, Ubi cesse enfin de nous obliger à enchaîner les combats et lâche de (très courtes) missions pouvant être abordée de façon discrète. Satisfaction de courte durée, l'extension prenant fin de façon abrupte après moins d'une heure de jeu du compteur. Pour voir la suite, il faudra payer Bonfire of the Vanities à venir le mois prochain. Pas sûr qu'on y reprenne grand monde.
Même les ulta-fans se sentiront volés