ARTICLE
Fact'Or 2024 - Connard
Yay ! C'est à mon tour de vous raconter ma vie, mes rêves, mes espoirs et mes amours, dans cet exceptionnel calendrier de l'avent. Vous voulez savoir quels jeux m'ont plu et quoi acheter pour combler le vide de vos vies ? Vous risquez d'être déçus :(
Cette année, j'ai beaucoup moins joué (et fait de tests) que ce à quoi je m'attendais, malgré diverses promesses à moi-même ou aux lecteurs ici même. En parcourant mes bibliothèques pour me rappeler à quoi j'ai joué, je me suis pris mon backlog en pleine gueule mais, chez Factornews, nous faisons du journalisme total, donc j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai mis de côté l'immense liste des jeux installés "pour plus tard", afin de ne sélectionner que l'infime liste des jeux auxquels j'ai joués. Vous trouverez très peu de titres sortis en 2024, déjà parce que je suis pauvre et aussi parce que je ne joue pas autant que ce à quoi je m'attendais. Suivez un peu ! Commençons donc par de la légèreté !
Fact'Or des jeux à dopamine fiable : League of Legends
Cette année, comme tant d'autres, League of Legends (les modes ARAM et TFT) et Heroes of the Storm (principalement ARAM aussi) remportent haut la main la quantité de temps de jeu global et méritent leur récompense de source de dopamine, même si Dota 2 (via un mod copiant allègrement Vampire Survivor mais avec des microtransactions et mécaniques free-to-play en plus) a tenté de rentrer par la fenêtre pour voler la vedette.À vrai dire, cette récompense est à double tranchant. Si je pointe ces jeux pour leur grande rejouabilité et la possibilité d'y passer des quantités d'heures astronomiques, l'utilisation que j'en fais n'a rien de sain, penchant plus vers l'addiction que vers une vraie envie d'y jouer. Sur la première moitié de cette année, mon emploi du temps était simple. Le matin, je me levais, je me sentais prêt à faire plein de choses puis, finalement, je choisissais entre regarder des vidéos sur YouTube ou jouer à l'un des jeux précédemment cités. Arrivée à la fin de journée, déçu et coupable devant le constat que je n'avais fait que ça, je me résolvais à faire mieux le lendemain. Puis je recommençais la même journée ad vitam aeternam. Souvent, je n'y passais même pas vraiment un bon moment mais hé, ce sont des jeux que je connais, qui me sont faciles à prendre en main et qui ne permettent de ne jouer qu'une vingtaine de minutes avant de pouvoir faire autre chose... comme relancer une partie.
La dépression, c'est de la merde mais c'est plutôt courant. Faites-vous encadrer et aider par des professionnels, même si, pour une raison qui m'échappe encore, les consultations de psychologues ne sont pas du tout remboursées par la CPAM (mais celles des psychiatres le sont en partie, avec votre mutuelle qui en rembourse aussi une !).
Fact'Or des jeux de rôles auxquels je joue avec d'autres gens et c'est bien cool : Divinity: Original Sin 2
Fort heureusement, dans ce marasme constant, il y avait tout de même des lueurs vidéoludiques qui venaient, hebdomadairement, illuminer mes soirées. Tout a commencé par un petit jeu dont vous avez peut-être entendu parler : Baldur's Gate 3. J'avais déjà joué à D&D en version papier auparavant, donc je n'étais pas perdu, et fort heureusement parce que les mécaniques de ce jeu de rôle sont un bordel sans nom. Mon mépris pour elles ne connaît aucune limite. Je vomis D&D pour sa complexité inutile qui, à mon sens, n'a rien à faire dans un jeu vidéo.Comme vous l'avez peut-être deviné, j'ai bien aimé jouer à Baldur's Gate 3. L'histoire est assez sympa, il y a plein de PNJ et de situations rigolotes, l'exploration est top (l'ajout du saut est un éclair de génie) et les combats varient du correct au prenant, quand on connaît déjà les mécaniques de D&D et qu'on n'est pas perdu devant le système d'actions débile. En bonus, ces six mois (pour environ 120 heures) passés sur le jeu ont permis de faire découvrir les jeux de rôle à un ami, qui a été conquis et qui a voulu s’attaquer à tous les autres titres du genre qui existent, ce qui fait beaucoup.
La suite est donc un retour à Divinity: Original Sin 2 (auquel j'avais joué il y a une poignée d'années), qui a l'avantage non-négligeable d'être mécaniquement un bon jeu, en plus d'être flexible et de ne pas vous couper avec des dialogues mis en scène à chaque putain de fois qu'un camarade discute avec un PNJ, même pour un connard qui ne dit que "Bonjour, je n'ai rien à dire. Bonne journée !" BG3 a vraiment testé ma patience avec ses couches de merde à dépasser pour trouver les pépites. J'ai mentionné les bugs ? Putain, les bugs, il y en avait TOUT LE TEMPS pendant le dernier acte, forçant à recharger la partie régulièrement. Si ce n'était pas assez clair avec les Factorcasts de jadis, jouez à Divinity: Original Sin 2, c'est super !
En parallèle, j'ai aussi un peu joué à Divinity: Orignial Sin, premier du nom, le temps de terminer le premier acte, toujours avec ce même ami. Les bases solides de l'opus suivant sont là, avec un humour qui marche très bien sur moi (comme les squelettes kamikazes qui portent un ciré jaune pour les rendre insensibles à l'eau) mais je dois avouer préférer les combats du second, le premier étant un peu une course à ceux qui lancent le plus vite des contrôles sur l'équipe adverse.
Pour étancher cette soif intarissable de JDR multijoueur, j'ai aussi recommencé Solasta: Crown of the Magister, dont j'ai déjà parlé l'année dernière. C'est un jeu implémentant également les règles de D&D et, en y jouant après Baldur's Gate 3, ça fait tout drôle. C'est moins bien, même s'il y a des choses clairement supérieures (exemple pris au hasard : pouvoir utiliser les compétences de n'importe quel membre du groupe pendant un dialogue, et ne donc pas devoir laisser le joueur qui a des points en charisme faire tous les dialogues) et c'est plus orienté combats, l'écriture étant... ce qu'elle est, mais le principal attrait des jeux multijoueurs, ce sont les gens avec lesquels on joue, donc on s'y amuse quand même bien !
Fact'Or du "Je suis au chômage, j'ai du temps, alors pourquoi pas ?" : Orcs Must Die! 3
Quand on a du temps, on ne s'en sert pas, on est désemparé devant tout ce qu'on se dit qu'on doit faire et on finit par jouer à LoL toute la journée comme une vieille merde. Mais parfois, un copain est là et on peut jouer à d'autres choses. Alors, on écume ses bibliothèques de jeux et on cherche ce qu'on peut lancer pour passer du temps ensemble.Le premier, c'est Space Engineers ! Sur le papier, ça a l'air super ! On récolte des ressources pour construire bâtiments et véhicules afin de récolter plus de ressources et construire des vaisseaux, stations spatiales ou colonies interplanétaires, afin de pouvoir récolter encore plus de ressources, etc. L'interface est nulle à chier, l'expérience utilisateur aussi, c'est encore un jeu à wiki (parce que c'est imbitable sans) et ça m'a saoûlé. Sinon, c'était pas mal.
Heureusement, Orcs Must Die! 3 est venu relever le niveau avec un jeu de qualité, plein de rigolitude et de contenu, pour la modique somme de 0€ (merci Epic Games). Un bon moment que je recommande chaudement aux amateurs de tower defense qui ne l'auraient pas déjà fait (il est sorti en 2021).
D'ailleurs, en parlant de jeux à 0€, Star Wars Squadrons a aussi fait un petit passage dans les dons de l'Epic Games Store et j'en ai profité pour le lancer, plein de nostalgie pour X-Wing et TIE Fighter de mon enfance (auxquels je n'avais jamais rien compris parce qu'ils étaient en anglais). J'y ai joué 1h40 avant de fermer et ne plus le relancer. Quand plus rien n'a de goût et que chaque lancement de jeu demande une motivation exceptionnelle, il me faut une histoire, ou tout du moins une mise-en-scène, plus sympa que ça pour me garder.
Restons dans les jeux gratuits, parce que, comme évoqué précédemment, j'ai pas une thune. J'ai donc testé Starborne: Frontiers à sa sortie, un autobattler dans l'espace et c'était... anesthésiant. Pas forcément chiant, hein, mais ça se joue (littéralement) tout seul et on passe de scénario en scénario sans trop de friction. Quand on est dedans, on est happé et quand on en sort, on se dit "c'était ok, à bientôt pour une nouvelle anesthésie et les bonus de connexion quotidiens". En vrai, c'était pas fou, et pas une bonne idée pour mes comportements parfois compulsifs de joueur.
Allez, je termine tout de même avec un bon jeu : Risk of Rain 2. Je n'y joue qu'en coop, donc je ne peux me porter garant du mode solo, mais c'est sympa et plein d'adrénaline, même si les parties se finissent souvent de façon décevante ("ah bah je suis mort en un seul coup") et que mourir en coop signifie "regarder le(s) copain(s) jouer la fin du niveau pour ressusciter au niveau suivant en étant trop faible pour faire quoi que ce soit".
Je pensais avoir terminé cette section mais, en relisant mes articles pour me rappeler à quoi j'ai joué, j'ai réalisé que j'ai passé du temps sur Skull and Bones. Il était gratuit, j'étais au chômage alors pourquoi pas ? Bah c'était pas dingue. C'était pas non plus nul mais si je n'avais pas eu un temps infini, je n'y aurais clairement pas joué. D'ailleurs, je ne l'ai pas acheté après sa période d'essai gratuit, ayant l'impression d'en avoir fait le tour pas longtemps après la sortie du tutoriel.
Fact'Or des jeux que j'ai testés pour Factornews : Solium Infernum
La manipulation précédente m'a permis de me rappeler que j'ai aussi joué à d'autres jeux en début d'année dont je ne me souvenais pas vraiment mais pour lesquels j'ai écrit des trucs sur ce site. Allez lire les articles pour avoir des détails, je vais rapidement passer dessus !Roguebook apporte de la nouveauté à la formule popularisée par Slay the Spire et c'est bienvenu. Hell Pie a une prise en main plutôt satisfaisante et un humour omniprésent, entre un peu lourd et faire souffler du nez. OTXO... Nope. The Red Lantern est plutôt court (moins de trois heures) mais il est super. C'est un agréable voyage plein de détente.
Marvel's Midnight Suns mélange XCOM à Slay the Spire et c'est plutôt réussi mécaniquement. Par contre, c'est loooooong, bourré de quêtes secondaires nulles et répétitives (j'ai des tendances complétionnistes qui me poussent à jouer sans m'amuser) et, si j'aime beaucoup l'idée de la relation avec et entre les gens, je suis gavé par les super-héros (d'autant plus chez Marvel).
Enfin, Solium Infernum a un concept qui me fait rêver, une direction artistique exceptionnelle (si on met de côté le choix d'avoir modélisé les personnages en 3D un peu cheap) et des mécaniques qui m'émerveillent. Cependant, je n'ai pas d'ami qui veuille y jouer, donc je n'ai pu faire que du solo et je suis passé à côté du cœur de l'expérience : marchander, supplier et planter des couteaux dans le dos de nos camarades en multijoueur. League of Geeks, comme tant d'autres studios, a plus ou moins fermé depuis la sortie du jeu. Nous vivons une triste époque. #NiqueLeCapitalisme
Fact'Or des jeux de société : Wingspan
Alors non, je ne triche pas, je parle de jeux de société en version numérique, grâce à un pack d'Humble Bundle qui m'a permis de mettre la main sur quelques-uns d'entre eux. J'ai donc découvert Sagrada, qui a des règles très simples mais que je trouve très satisfaisant, et Wingspan, un classique des jeux de plateau, qui nous émerveille avec ses petits oiseaux et sa gestion de ressources. Deux bonnes découvertes.En bonus, je triche. Comme Frosits l'a dit, nous n'avons plus de tests de jeux de société ici depuis un moment et j'ai parfois eu envie de relancer la série d'articles en ajoutant mes coups de cœur récents. Mais, évidemment, motivation, flemme, dépression, tout ça, tout ça. Je vous mets donc deux jeux de société que j'aime beaucoup et auxquels vous pourriez être tentés de jouer !
Oltréé est probablement mon titre favori. C'est l'adaptation d'un jeu de rôle papier du Grümph (auteur français prolifique) et on y joue, en coopération, un groupe de gendarmes médiévaux qui doivent s'assurer que tout se passe bien dans le voisinage. On y trouve plein de petites histoires rapides ainsi que d'autres plus longues qui rythment nos parties et nous permettent des résolutions bien plus souvent pacifiques que bagarreuses. C'est plutôt bienveillant, et je vois un peu l'univers du jeu comme un Star Trek medieval fantasy.
Keep the Heroes Out (je ne triche presque pas puisqu'il vient de terminer la campagne Kickstarter de sa version numérique) vous propose d'incarner des monstres qui doivent coopérativement défendre leur donjon contre les affreux aventuriers qui veulent en piller les trésors. C'est super mignon, les illustrations sont souvent très drôles et, même si l'équilibrage du jeu de base est très aléatoire (alternant entre un peu trop facile et bien trop difficile), c'est toujours un plaisir de péter la gueule des intrus.
Fact'Or des jeux que j'ai dit que j'allais tester mais que je n'ai pas terminés parce que jouer en solo m'est devenu presque impossible : Bah je sais pas, je ne les ai pas finis !
Ceux qui se promènent parfois sur le forum du site auront peut-être vu le sujet dans lequel j'ai proposé une liste de jeux parmi lesquels choisir ceux que je vais tester. Bon, j'ai effectivement fait un test de Solium Infernum (<3) mais on ne peut pas dire que cette entreprise fut un succès. J'ai commencé The Forgotten City, un bon jeu à faire pour tous les amateurs d'enquête, mais les conditions un peu particulières dans lesquelles je jouais (et dont je me sers comme excuse), m'ont un peu empêché de continuer (je mens, en vérité, j'aurais pu).Pas bête, j'ai pris un jeu multijoueur de la liste pour tenter de me motiver un peu plus : j'ai commencé Pit People ! Mon partenaire n'a pas été très emballé par la lenteur excessive des combats (particulièrement en mode multijoueur), donc il a fallu que je termine tout seul et... je ne joue plus tout seul. J'ai toujours espoir de le terminer un jour, parce que j'ai en théorie plutôt envie d'y jouer (la taille astronomique de mon backlog m'indique qu'il y a beaucoup de jeux dans ce cas et que je n'y joue quand même pas), mais ce ne sera pas pour tout de suite.
Enfin, j'ai mentionné, au détour d'une news, que vous pouviez attendre un test de Wayfinder. Ne retenez pas votre respiration, non plus, hein. Je l'ai commencé mais... bon, vous connaissez la suite. Si vous avez des sous, donnez-en à Airship Syndicate et allez y jouer avec des copains.
Pour être tout à fait honnête, la deuxième moitié de mon année a drastiquement changé mon rythme de vie et je n'ai plus le temps que j'avais auparavant. Alors oui, quand j'en avais plein, je n'en faisais rien et maintenant que je n'en ai plus, j'ai envie de faire plein de trucs (je me déteste :D). Je ne joue plus vraiment depuis plusieurs semaines/mois (à part le jeu de rôle hebdomadaire, Divinity: Original Sin 2 ne va pas se terminer tout seul !) et je crains de disparaître de Factornews aussi vite que j'y suis apparu. Je n'aurai finalement duré que deux mois plus ou moins régulièrement et fait quelques passages furtifs pendant près d'un an.
Aujourd’hui aussi, nous avons trois jeux Steam à offrir, qui sont le classique ARPG Titan Quest Anniversary Edition, le jeu de course parkouresque Lightfield HYPER Edition et le grand jeu de puzzle bac à sable HITMAN: The Complete First Season.
Je suis un collectionneur compulsif de jeux (auxquels je ne joue pas) et j’aime autant qu'ils aillent à des gens qui vont y jouer, plutôt qu’à des enquêteurs malins et bidouilleurs. Ainsi, je vous invite, à votre tour, en commentaire ou message privé, à partager votre vie, vos espoirs et vos peines en plus de m’indiquer pourquoi vous voulez jouer à l'un de ces jeux, après avoir terminé Dinivity: Original Sin 2, bien sûr. Dans quelques jours, les heureux élus recevront leur code.
Évidemment, je vous invite également à partager ce moment de sincérité dans les commentaires, petite pause dans ce monde cynique et hyper individualiste, sans contrepartie, pour le plaisir d’échanger avec votre prochain !
Vous savez quoi... ? J'ai mentionné mes habitudes d'achats ridicules et il se trouve que j'ai donc un fabuleux trésor de clés de jeux plus ou moins vieux à refiler. Je vais en ajouter un petit peu dans les dons d'aujourd'hui, vous pouvez dès à présent arrêter de lire si vous n'êtes pas intéressés !
Voici une petite sélection triée sur le volet :
- Jusant (petit jeu d'escalade tout mignon. Force aux employés de DONTNOD).
- DV: Rings of Saturn (simulation minière dans l'espace qui est longtemps restée dans ma liste de souhaits mais soyons honnête, je n'y jouerai pas).
- Pikuniku (tout mignon, seul ou a deux !).
- Tooth and Tail (petit STR tout mignon aussi)
- Crying Suns (roguelite spatial tout joli et tout sympa)
- Monaco (beaucoup de fun avec les copains, vivement le 2 !)
- Slay The Spire (le classique. Vous qui entrez, laissez toute espérance... de retrouver du temps libre pour d'autres choses).
- Quantum Break (un jeu de Remedy en FMV que j'ai beaucoup aimé il y a quelques années. Lance Reddick, tu nous manques).
- Wingspan (j'en ai parlé plus haut !).
- Möbius Fron '83 (Zachtronics ! <3)
- As Far As The Eye (roguelike de gestion d'un petit clan super mignon auquel j'aurai aimé jouer plus).
- Sid Meier's Civilization VI (est-il nécessaire de le présenter... ?)
- Darksiders Genesis (un jeu de Airship Syndicate (dev' de Wayfinder, cité plus haut) ! J'adore Darksiders donc j'suis un peu biaisé mais il était très sympa à faire à deux).
- XCOM: Chimera Squad (le petit frère de la série, celui-ci ne vous prendra pas une vie entière pour être terminé. Enfin, j'imagine, parce que je ne l'ai évidemment pas terminé).
- Kingdom Two Crowns (sympathique à faire à deux)
- Endless Space 2 (jouez aux jeux d'Amplitude. Prenez Endless Legend si vous préférez la fantasy, ou Humankind si vous êtes insipides).
- Trine 4 (Trine est un classique de la coop, mangez-en !)
J'ai hésité à en mettre d'autres mais mon compte initial atteignait les 250 jeux, ce qui était un poil trop pour la lisibilité et la distribution. Dans le doute, je vous rajoute Frostpunk parce que pourquoi pas. Ou Metro Exodus ? Voire Superliminal ? J'achète trop de jeux, à l'aide.
Allez, on le dit tous ensemble : jouez à Divinity: Original Sin 2 ! Aux autres aussi. Beaucoup de petits studios meurent de partout, à cause des connards de financiers aux commandes, et ils ont besoin de toute l'aide que vous pouvez leur apporter. Souvent, leurs jeux ne sont pas parfaits mais, pour reprendre l'expression de ZeP, je choisis de manger le mur de la médiocrité avec plaisir, plutôt que de filer des thunes aux salopards en costards des gros éditeurs qui ne font que de la merde et qui essorent les petites mains de l'industrie pour quelques dollars de plus. Bonne année les pandas !