ACTU
Une daube de plus au ciné : PoP le film
par Pixel Mort, d'après Gameblog
email
Il existe deux types de films adaptés de jeux vidéo : les nanars fauchés et les nanars à budget.
Ces derniers sont sans doute les plus douloureux à regarder dès lors qu'on pense à ce qui aurait pu être fait avec les sommes investies : une pyramide en or massif, la sauvegarde du cabillaud, Shenmue 3. Si on en croit ces quelques extraits, la version grand écran de Prince of Persia devrait appartenir à la seconde catégorie.
Le casting est plutôt haut de gamme, Jake Gyllenhaal et Ben Kingsley en tête. Le premier a bénéficié d'un soin tout particulier en ce qui concerne sa pilosité : juste assez de poils pour ne pas être confondu avec la princesse de Perse, mais pas assez pour risquer de s'aliéner une certaine portion du public féminin. Les esprits chagrins se demanderont pourquoi Disney n'a pas opté pour un comédien effectivement perse, à ceux-là nous répondront qu'Aladdin était de toute évidence joué par un rital. De plus, les historiens s'accordent à dire que la prétendue propension des perses à courir sur les murs et à remonter le temps est largement exagérée.
Le film est produit par Jerry Bruckheimer et ne vise rien de moins que la réitération d'un succès à la Pirates des Caraïbes. De fait, la chose semble plus apte à remuer les foules que le récent navet dérivé de Street Fighter. Avec un peu de bonne volonté, on aperçoit quelques jolis décors et un bout de bataille potentiellement épique.
Ces derniers sont sans doute les plus douloureux à regarder dès lors qu'on pense à ce qui aurait pu être fait avec les sommes investies : une pyramide en or massif, la sauvegarde du cabillaud, Shenmue 3. Si on en croit ces quelques extraits, la version grand écran de Prince of Persia devrait appartenir à la seconde catégorie.
Le casting est plutôt haut de gamme, Jake Gyllenhaal et Ben Kingsley en tête. Le premier a bénéficié d'un soin tout particulier en ce qui concerne sa pilosité : juste assez de poils pour ne pas être confondu avec la princesse de Perse, mais pas assez pour risquer de s'aliéner une certaine portion du public féminin. Les esprits chagrins se demanderont pourquoi Disney n'a pas opté pour un comédien effectivement perse, à ceux-là nous répondront qu'Aladdin était de toute évidence joué par un rital. De plus, les historiens s'accordent à dire que la prétendue propension des perses à courir sur les murs et à remonter le temps est largement exagérée.
Le film est produit par Jerry Bruckheimer et ne vise rien de moins que la réitération d'un succès à la Pirates des Caraïbes. De fait, la chose semble plus apte à remuer les foules que le récent navet dérivé de Street Fighter. Avec un peu de bonne volonté, on aperçoit quelques jolis décors et un bout de bataille potentiellement épique.