ACTU
Un dernier Crew dans le cercueil
Ross W. Scott, plus connus pour sa série Freeman’s Mind, a une marotte : les disparitions et désactivations de jeux vidéo, qu’il traite au travers de sa série Dead Game News.
Profitant de sa petite base de spectateurs et de la disparition imminente de The Crew, prévue pour le 31 mars, Ross propose une action collective pour s’opposer à la pratique.
La stratégie est simple : inciter les possesseurs du jeu à saisir leurs associations de consommateurs pour demander de maintenir l’accès au titre ou de se plaindre de la disparition de celui-ci. Puis, selon la réaction d’Ubi, pousser jusqu’à la création d’un précédent juridique utilisable contre d’autres éditeurs.
Les instructions relatives à la France sont spécifiées à 14’ et consistent à contacter le service juridique d’Ubisoft pour leur faire part de votre surprise et du mécontentement que vous provoque la désactivation du jeu que vous avez acheté, tout en spécifiant que sans action satisfaisante de leur part, vous contacterez un médiateur de la consommation. Pour les possesseurs hors de France, il est toujours possible de faire une simple réclamation auprès d’Ubisoft, qui n’en auront probablement rien à foutre, mais dont la trace pourrait se relever utile auprès des associations de consommateurs une fois l’accès au jeu retiré.
On ne sait pas trop ce que l’initiative va donner, et même si ses chances d’aboutir sont extrêmement minces, elle a le mérite d’exister et d’aller dans le sens de la préservation du jeu vidéo.
Profitant de sa petite base de spectateurs et de la disparition imminente de The Crew, prévue pour le 31 mars, Ross propose une action collective pour s’opposer à la pratique.
La stratégie est simple : inciter les possesseurs du jeu à saisir leurs associations de consommateurs pour demander de maintenir l’accès au titre ou de se plaindre de la disparition de celui-ci. Puis, selon la réaction d’Ubi, pousser jusqu’à la création d’un précédent juridique utilisable contre d’autres éditeurs.
Les instructions relatives à la France sont spécifiées à 14’ et consistent à contacter le service juridique d’Ubisoft pour leur faire part de votre surprise et du mécontentement que vous provoque la désactivation du jeu que vous avez acheté, tout en spécifiant que sans action satisfaisante de leur part, vous contacterez un médiateur de la consommation. Pour les possesseurs hors de France, il est toujours possible de faire une simple réclamation auprès d’Ubisoft, qui n’en auront probablement rien à foutre, mais dont la trace pourrait se relever utile auprès des associations de consommateurs une fois l’accès au jeu retiré.
On ne sait pas trop ce que l’initiative va donner, et même si ses chances d’aboutir sont extrêmement minces, elle a le mérite d’exister et d’aller dans le sens de la préservation du jeu vidéo.