ACTU
Ubisoft dans la ligne de mire
par CBL,
email @CBL_Factor
Suite aux accusations contre Chris Avellone, les langues se délient et l'éditeur numéro un dans la ligne de mire est Ubisoft. Cela a commencé avec Ubisoft Sofia (raconté ici) puis les accusations ont fusé de tous les côtés sur Twitter. On ne va pas rentrer dans le détail car c'est assez brut de décoffrage et certaines choses relèvent plus de la vie privée.
Mais pour résumer, des pontes d'Ubisoft comme Maxime Beland, Tommy François ou Alexandre Amancio sont accusés de comportement abusif et d'harcèlement sexuel voire d'aggressions, le tout souvent à l'occasion de fêtes trop arrosées. Pire encore : la direction des ressources humaines était généralement au courant et a décidé de ne pas sanctionner les individus accusés. La femme de Maxime Beland travaillait même dans la DRH au moment des faits racontés...
Selon une source anonyme chez Ubisoft, un message a été envoyé sur le forum interne de la boite pour expliquer que les allégations sont prises au sérieux, que des mesures vont être prises et qu'il y aura des audits externes pour les enquêtes. Mais les employés ont répondu qu'ils ne font pas confiance aux RH, qu'ils ont tenté à de multiples reprises d'évoquer ces problèmes mais sans suite et qu'il y a un manque complet de transparence.
[MAJ] : la réponse officielle n'a pas trainé et réitère la même chose postée en interne.
Mais pour résumer, des pontes d'Ubisoft comme Maxime Beland, Tommy François ou Alexandre Amancio sont accusés de comportement abusif et d'harcèlement sexuel voire d'aggressions, le tout souvent à l'occasion de fêtes trop arrosées. Pire encore : la direction des ressources humaines était généralement au courant et a décidé de ne pas sanctionner les individus accusés. La femme de Maxime Beland travaillait même dans la DRH au moment des faits racontés...
Selon une source anonyme chez Ubisoft, un message a été envoyé sur le forum interne de la boite pour expliquer que les allégations sont prises au sérieux, que des mesures vont être prises et qu'il y aura des audits externes pour les enquêtes. Mais les employés ont répondu qu'ils ne font pas confiance aux RH, qu'ils ont tenté à de multiples reprises d'évoquer ces problèmes mais sans suite et qu'il y a un manque complet de transparence.
[MAJ] : la réponse officielle n'a pas trainé et réitère la même chose postée en interne.